Le pic vert ou pivert, bel oiseau au bruit caractéristique lorsqu'il cogne les troncs d'arbres. Quel plaisir d'entendre le pic vert tambouriner sur les troncs d'arbres, dans nos jardins et nos forêts.
Le Pic épeiche se nourrit presque exclusivement dans les arbres, sur les troncs et les hautes branches. Il tape dans l'écorce avec son bec puissant et va notamment chercher sa nourriture, des insectes et leurs larves, avec sa langue démesurée dans les trous qu'il a réalisés.
Le grimpereau des jardins (Certhia brachydactyla) est un passereau de petite taille de la famille des Certhiidae qui se déplace par petits bonds et dont le plumage tend à se fondre avec l'écorce des arbres sur lesquels il évolue.
Le Pic épeiche se plaît là où il y a des arbres, feuillus ( charmes, chênes, hêtres...) ou conifères. C'est un oiseau très présent dans les bois, mais qui aime s'aventurer dans nos jardins pour y visiter les vieux et les grands arbres, les vergers, et les haies. Avant de l'apercevoir, vous l'entendrez.
Taper contre un tronc d'arbre permet au pic-vert de communiquer avec ses congénères, d'atteindre les insectes situés sous l'écorce et de creuser des trous dans le bois mort afin d'y pondre ses oeufs. Les pics-glandivores, eux, utilisent cette technique pour creuser des trous censés accueillir des glands pour l'hiver.
Prédateurs : Les chats domestiques et certains rapaces sont ses principaux prédateurs.
La mésange charbonnière est un des premiers oiseaux faciles à reconnaitre au chant. Ses titu titu titu ou tititu tititu tititu sont immanquables. On peut aussi entendre le hennissement aigue de la mésange bleue, très commune dans les jardins.
Je suis le pic noir, un oiseau qui tambourine avec son bec.
Explications du comportement
Un comportement qui n'est pas sans rappeler le célèbre film d'Hitchcock « les Oiseaux » ! L'explication la plus probable et la plus couramment avancée et que l'oiseau s'en prend à son reflet qu'il identifie comme un rival sur son territoire. L'attaque a donc pour but de chasser l'intrus.
La Sittelle torchepot est la seule représentante de la famille des sittidés en France métropolitaine. (Mentionné pour la première fois à Paris en 1946 au Jardin des Plantes). Sittelle vient du grec sitte, sorte de pie ou de pic vert pour Aristote. Le nom Torchepot provenant de deux mots: "torchis" et "pot".
Sachez qu'un simple coup d'œil sur le bec d'oiseau peut vous aiguiller. Un bec court et puissant indique un granivore (pinson, moineau), tandis qu'un bec long et fin vous orientera vers un insectivore (mésange, rougegorge). Les omnivores comme l'étourneau combinent un bec gros et pointu.
Ce fameux son de corne de brume. Le corps tout vibrant, il claque plusieurs fois du bec, puis tend la tête en avant, inspire, puis relève la tête, déploie son cou, et en expirant, il chante. Contrairement aux autres oiseaux, le butor conserve l'air inspiré dans son œsophage et non dans ses poumons.
Chante-t-il la pluie ? Selon les sources et les régions, l'oiseau de la pluie c'est lui ou la mésange charbonnière ou encore le pic vert.
L'araponga blanc, lui, a opté pour une autre approche : hurler à pleins poumons à la face de sa belle. Et le volume est assourdissant ! Cet oiseau, qui vit dans le nord de la forêt amazonienne, peut atteindre les 125 décibels au top de sa forme, un bruit comparable à un concert de rock ou un marteau-piqueur !
8/9 La chouette hulotte
Vous entendez un "hou hou" dans la pénombre ? C'est sûrement la chouette hulotte aussi appelée "chat-huant".
Le ricanement très sonore du pivert est souvent entendu avant même d'apercevoir l'oiseau. Ce cri est une note aiguë unique, répétée et qui ressemble à s'y méprendre à un rire moqueur.
Le cri habituel du Pouillot véloce est un 'huit' monosyllabique assez doux, caractéristique. Le "huit" du Rougequeue à front blanc avec lequel on peut le confondre est un cri plus puissant et plus appuyé. Ce cri est un cri de contact émis en toutes saisons.
C'est un oiseau assez fin, de taille petite à moyenne, un peu plus gros qu'un moineau. Son corps est arrondi et ressemble à celui du rouge-gorge. Le plumage du rossignol, relativement terne, est brun à roux foncé notamment au niveau de sa queue qu'il porte souvent redressée.
De plus, le pic semble avoir une prédilection pour les arbres déjà affaiblis, moins capable de supporter l'intrusion. Aussi, des insectes ou des champignons pathogènes peuvent pénétrer l'arbre par les trous et provoquer des dommages secondaires. Donc, souvent les arbres atteints meurent quelques années plus tard.
Il habite dans les forêts où poussent de grands arbres au Canada, dans l'est et sur une partie de la côte pacifique des États-Unis. Il creuse généralement de grands nids dans les troncs d'arbres morts et généralement fait un nouveau nid chaque année laissant libre le précédent. C'est généralement un oiseau sédentaire.
Pourquoi faire des trous? D'abord pour manger. Les pics sont la plupart d'insatiables insectivores et se nourrissent de bibittes qui vivent sous, dans et sur l'écorce des arbres.