Les gènes de la mère, tout comme ceux du père d'ailleurs, contribuent au développement de l'intelligence chez l'enfant. Cependant, l'intelligence est aussi influencée par l'environnement dans lequel l'enfant grandit.
Sachez-le, d'après une étude scientifique relayée dans la revue américaine Psychology Post, tout ça, c'est grâce aux mamans. Oui, car l'intelligence serait héréditaire et transmise par la mère.
Les résultats de cette étude permettent donc d'affirmer que 75 % des différences de niveau intellectuel entre individus âgés sont d'origine génétique. En outre, l'environnement commun ne joue pas de rôle appréciable et c'est l'environnement individuel qui explique environ 20 % des différences restantes.
L'intelligence n'est pas définie par une part d'inné et une part d'acquis.
Le développement de l'intelligence est déterminé à la fois par les gènes et par les expériences fournies par l'environnement. Toutes les études menées sur les bébés le confirment : les enfants naissent bardés de connaissances et possèdent tous les mécanismes d'apprentissage nécessaires pour développer leur cerveau.
Notre intelligence
Les chercheurs ont en tout cas émis des hypothèses sur les causes de cette baisse du QI : l'alimentation, le système éducatif, et l'usage des écrans.
L'intelligence est également fortement influencée par l'environnement. Les facteurs liés à l'environnement familial et à la parentalité, à l'éducation et à la disponibilité des ressources d'apprentissage, de même qu'à la nutrition, notamment, contribuent tous à l'intelligence.
Les gènes de l'intelligence sont issus du chromosome X. Comme la femme en possède deux, la psychologue en déduit qu'elle a plus de chance que l'homme s'être à l'origine des capacités d'intelligence cognitives (c'est-à-dire la mémorisation, l'attention, le langage, la capacité de raisonnement) de ses enfants.
Ainsi, sont considérées comme surdouées ou HPI, les personnes dont le QI est supérieur à 130 : elles ne représentent que 2,3 % de la population. 50 % de la population obtient un score de QI situé entre 90 et 110. « Mais être surdoué, c'est quand même beaucoup plus qu'un QI.
Les personnes intelligentes auraient un meilleur jugement et une meilleure capacité à créer des liens avec des gens dignes de confiance. Elles seraient aussi plus habiles à anticiper les situations et à évaluer le comportement probable d'une autre personne. De plus, cette capacité pourrait aussi être biologique.
Trois régions du cerveau impliquées dans l'intelligence
Les plus importantes se retrouvent au niveau du cortex préfrontal gauche, du cortex temporal (très largement utilisé pour l'intelligence générale) et à l'arrière du cerveau, au niveau du cortex pariétal.
Herbert Simon, économiste et sociologue, a eu beau prophétiser en 1957 que l'IA arriverait à battre un humain aux échecs dans les 10 années qui suivraient, l'IA est entrée alors dans un premier hiver.
L'être humain possède 46 chromosomes : 23 chromosomes proviennent de la mère, et 23 proviennent du père. L'humain possède ainsi deux copies de tous ses gènes : une copie de la mère et l'autre du père. C'est ainsi que les parents nous transmettent à leurs enfants certaines de leurs caractéristiques.
Les plus fréquemment admises sont les aptitudes mentales primaires (aptitudes verbales, numériques, spatiales), le raisonnement et la fluidité. D'autres auteurs enfin ont défini l'intelligence comme la forme la plus élaborée de l'adaptation de l'être humain à son environnement.
Les fruits rouges
Or, dans les bleuets, canneberges, mûres ou framboises, se concentrent de fortes doses d'antioxydants, qui combattent les radicaux libres et boostent notre cerveau. Le corps humain ne produisant pas d'antioxydants, il est impératif de les lui apporter par l'alimentation.
Misez notamment sur les produits céréaliers (seigle, avoine), la morue et les œufs.
Acides gras oméga‑3 : dans les poissons gras et les fruits de mer, les graines de lin et de chia, l'huile de canola, les noix de Grenoble, les petits haricots blancs et le soya.
Elle comprend la capacité à reconnaître des tendances, comprendre les idées, planifier, résoudre des problèmes, prendre des décisions, conserver des informations, et utiliser la langue pour communiquer.
Mais qu'est-ce que l'intelligence, exactement ? Selon Le Petit Larousse, il s'agit d'une « faculté de comprendre, de saisir par la pensée », mais aussi d'une « aptitude à s'adapter à une situation » ou encore de « donner un sens à quelque chose ».
3. La troisième enfance (6/7 ans à 11/12 ans) Généralement à cet âge, les relations et l'éducation familiale se crépitent pour céder la place à l'éducation scolaire et l'organisme social, la vie en groupe prend une importance croissante dans sa vie.