C'est dans les poches des soldats américains, lors de la Seconde guerre mondiale, que le chewing-gum a débarqué dans l'Hexagone. Depuis, nous en mâchouillons en moyenne un par jour, ce qui fait de la France le deuxième plus gros consommateur au monde, derrière les Etats-Unis.
Ceux qui sont les plus nombreux à en consommer ont entre 35 et 44 ans (74%), suivis de près par les 45 et 54 ans (70%) et les 25 et 35 ans (65%). Le chewing-gum sans sucres séduit également les 18-24 ans qui sont 60% à en mastiquer.
1866 : aux Etats-Unis, un général mexicain vend à Thomas Adams un stock de chicle. Celui-ci veut le transformer en pneus de bicyclette, mis ça ne marche pas. Alors il y ajoute du sucre pour l'adoucir : le chewing-gum est né ! 1871 : Thomas Adams invente une machine pour fabriquer le chewing-gum en grande quantité.
Première distribution (en exercice en classe) le 10/05/2022
Très rare en France, sauf dans les magasins très spécialisés ou en import, le chewing-gum Hubba Bubba pourrait facilement postuler au titre de « meilleur chewing-gum au monde ».
Les nouvelles habitudes liées à la crise du Covid ont précipité les ventes de chewing-gums déjà délaissés depuis une dizaine d'années. En témoigne l'effondrement du marché du chewing-gum ces dernières années, cette confiserie phare a définitivement perdu de sa fraîcheur.
Chewing-gum, une menace pour notre planète ? Il faut en moyenne cinq ans pour qu'un chewing-gum se dégrade. Collés sur les trottoirs ou abandonnés dans la nature, les chewing-gums polluent notre environnement et enlaidissent notre ville.
Les spécialistes s'accordent à dire que la quantité est loin d'être toxique. Néanmoins pour éviter que les amalgames ne vieillissent trop vite, il est préférable de ne pas abuser des chewing-gums. Autre méfait inattendu, les migraines.
Mâché entre les repas, le chewing-gum apporte un goût frais dans la bouche et a aussi un effet positif pour les dents. Le fait de mâcher stimule la salivation et neutralise ainsi les acides nuisibles contenus dans les mets sucrés.
En France, le chewing-gum arrive dans les années 1920, juste après la Première Guerre mondiale, dans les valises des troupes américaines. Mais c'est seulement après la Seconde Guerre mondiale que le chewing-gum est réellement popularisé avec le lancement d'une marque très populaire au nom américain évocateur.
Forest Gum ®, sous l'impulsion de l'Allemand Thomas Krämer renoue avec cette tradition écologique du chewing-gum en créant un produit sain, sans additifs chimiques, sans goûts artificiels, sans sucre. Autrement dit, un chewing-gum bon pour la planète et pour la santé !
chewing-gum, chewing-gums
chewing-gum n.m. Pâte à mâcher constituée d'un mélange de gomme chicle et de...
Quelle alternative au chewing-gum classique ? Il existe une alternative : le chiclé. Il était autrefois utilisé pour la fabrication de chewing-gums. Cette gomme provient du sapotillier, un arbre d'Amérique centrale.
Une fois avalé, le chewing-gum se retrouve dans l'estomac pour être détruit par les enzymes permettant la digestion. Mais sa composition ne permet pas ce processus et il va rester intact. C'est pourquoi il va rester plusieurs heures dans le tube digestif, pour ensuite être évacué par les selles.
Vraisemblablement, cela pourrait être une conséquence des effets de la crise sanitaire avec les différents confinements ou le télétravail. Selon Lionel Trapet, directeur de Mars Wrigley, interrogé par LSA, le "désir d'une haleine fraîche" s'est moins fait ressentir et l'usage des masques n'a rien arrangé.
Le mot suisse "chiclette" se traduit par "chewing-gum".
Non, même le chewing-gum sans sucre peut déclencher une réponse insulinique et rompre le jeûne. En outre, le chewing-gum déclenche des processus digestifs tels que la production d'acide gastrique et augmente la faim (les fringales).
Une fois où je fumais une cigarette avec un chewing-gum dans la bouche, un ami m'a dit de faire attention car le fait de faire les deux en même temps pourrait augmenter le risque de cancer du palais.
La tension de la mâchoire est aussi associée à la qualité du sommeil. Mâcher des chewing gums de manière excessive mène plus facilement au bruxisme qui est un serrement dentaire nocturne intempestif.
Pris en trop forte quantité, il crée des perturbations du transit intestinal, provoquant ce que l'on appelle un « risque physiologique dérangeant ». Il est d'ailleurs utilisé dans les médicaments contre la constipation.
Mâcher un chewing-gum augmente également la concentration de calcium dans la salive, ce qui permet de renforcer l'émail des dents. Les chewing-gums sans sucres - donc non cariogènes - et labellisés UFSBD peuvent donc être consommé une vingtaine de minutes, deux à trois fois par jour.
Mâcher régulièrement des chewing-gums, à plus forte raison s'ils sont sans sucre, risque donc bien de faire gonfler le ventre.
Mâcher un chewing-gum en cas de stress favorise la détente et le bien-être. En mastiquant calmement, le pouls cardiaque baisse et la respiration se fait plus régulière.