Selon une étude citée par le Giec, cinq États (les Maldives, les Tuvalu, les Iles Marshall, Nauru et Kiribati) risquent ainsi de devenir inhabitables d'ici 2100, créant 600 000 réfugiés climatiques apatrides.
Par exemple, en 2050, l'océan Atlantique pourrait avoir grignoté les côtes de l'estuaire de la Gironde. Saint-Nazaire, Nantes et les rives de l'estuaire de la Loire risquent de ne pas être épargnées non plus, et Noirmoutier pourrait être engloutie.
2050, OUVRONS LES YEUX - Les premiers signes de la hausse du niveau de la mer viendront de l'augmentation de phénomènes météorologiques extrêmes mais, à terme, des zones entières de l'Hexagone pourraient se retrouver sous l'eau.
Les Tuvalu, menacés par la montée des eaux
Et d'ici 2050 à 2100, si la hausse des températures ne se maintient pas en dessous de 1,5 °C, 95 % du territoire pourrait bien disparaître, précise le Huffington Post. Alors pour éviter de sombrer dans l'oubli, les Tuvalu vont… se numériser !
Des lieux de vie adaptés en 2050
Ils préféreront privilégier la partie nord de la France, aux côtés de Lille notamment, qui proposera des températures plus supportables. Il semble donc que la France qu'on connaît actuellement pourrait totalement changer dans les années à venir…
La vie sur la terre s'arrêtera dans environ 2,8 milliards d'années, selon une étude menée par Jack o'Malley-James, astrobiologiste à l'université de St. -Andrews.
« Au total, j'ai compilé environ 70 critères pour en déduire que Puy-de-Dôme, Creuse et Corrèze sont actuellement les territoires les plus adaptés pour les années à venir ».
En 2100, les villes sont plus compactes et plus efficaces sur le plan énergétique. À cette date, la concentration en CO2 atteint 550 ppm (la population est de 8,5 milliards d'habitants), les températures mondiales sont en hausse, mais les conséquences des changements climatiques sont maîtrisées et en baisse.
Concarneau, Bretagne, 5 août 2050
C'est parti pour deux semaines de vacances au bord de l'eau. Plages de sable fin, eaux turquoise, forêts de pins… La côte sud du Finistère a des airs de Riviera, d'autant qu'il y fait régulièrement plus de 30 °C en été.
Les pays de l'extrême nord semblent rester à l'écart de ces préoccupations d'ici 2040 : le Canada, la Russie, les pays scandinaves, le Groenland mais aussi ceux de la grande muraille verte de l'Afrique et le Brésil utiliseront moins de 19 % de leurs ressources en eau.
Hauts-de-France. Selon les scientifiques, le nord de la France (Nord et Pas-de-Calais) serait la région la plus touchée, avec la submersion des villes de Dunkerque, Grande-Synthe, Calais et Saint-Omer. Une région, où près de 400.000 individus vivent sous le niveau de la mer.
D'après les projections du site Climadiag de Météo France, le niveau de la mer pourrait monter de 13 à 30 cm à Saint-Malo (Ille-et-Vilaine) en 2050.
Sur la base de ce dernier scénario, les chercheurs ont montré que la France de 2100 pourrait être 3,8 °C plus chaude que celle du début du XXe siècle. Une augmentation qui fait frémir. Une telle hausse des températures serait particulièrement marquée en été.
En 2008, nous avons calculé que si rien ne changeait, nous aurions en 2030 un déficit d'eau douce de 60 %. Concrètement, l'humanité dispose de 4200 km3 d'eau potable par an que nous pouvons prélever de manière durable.
En Europe, Londres (Royaume-Uni) ou encore Venise (Italie) ne sont pas en reste. En France, des villes comme Bordeaux et ses alentours, la région de Saint-Nazaire et les villages de la côte montpelliéraine pourraient être les premières à disparaître sous les eaux.
Il y a de fortes chances pour qu'il n'y ait plus la moindre trace d'humanité puisque le réchauffement climatique aura rendu la planète si aride qu'on ne pourra plus survivre aux fortes chaleurs (et ça risque d'arriver un peu plus tôt que dans 3000 ans, mais bon finissez quand même votre tasse de café).
La planète sera de plus en plus surpeuplée et ses habitants se concentreront dans les villes. Les technologies produiront davantage de richesses, mais il faudra tenir compte des inégalités et de la durabilité. La population mondiale atteindra 9,8 milliards de personnes en 2050 et se concentrera dans les villes[1].
L'éducation sera accessible à tous, n'importe où, en tous temps. Parce qu'elle sera essentiellement numérique, et donc décentralisée et démocratisée. Il n'y aura plus les contraintes physiques que nous connaissons aujourd'hui, comme le besoin de se réunir à plusieurs dans une même salle.
En septembre 2019 , il publie Devant l'effondrement : Essai de collapsologie, dans lequel il annonce que par effets systémiques l'effondrement mondial devrait se produire entre 2020 et 2040, période durant laquelle la population serait décimée par la famine, les maladies, les guerres, jusqu'à être réduite à deux ou ...
De nouveaux travaux scientifiques prédisent la fin de notre civilisation industrielle : incapable d'évoluer, elle pourrait s'effondrer comme d'autres dans l'histoire de l'Humanité, principalement à cause des inégalités dans la répartition des richesses et de la surexploitation soutenue et croissante de ressources ...
L'Australie, l'Islande, le Vanuatu, les îles Salomon et la Nouvelle-Zélande. Toutes pourraient être en mesure de continuer à produire suffisamment de nourriture pour alimenter leur population même après qu'une guerre nucléaire massive a éclaté dans notre hémisphère nord.
Avec des villes comme Lyon ou Grenoble, la région Rhône-Alpes devrait en être la principale bénéficiaire : la croissance de sa population sera de 16,8 %. Elle sera, en 2030, la région la plus peuplée après l'Ile-de-France avec 6,9 millions d'habitants.
La Corse (33 698 personnes) et la Bretagne (126 122 personnes) sont les régions qui comptent le moins d'immigrés.
En 2050, la région verra son nombre de jours de vagues de froid – ces épisodes durant lesquels les températures minimales sont inférieures de 5 °C aux normales pendant plusieurs jours – divisé par deux. Il passera ainsi de 6 à 10 selon les secteurs, à une fourchette de 2 à 5.