- d'éviter voire de supprimer les poissons fortement contaminés par PCB ou mercure : l'espadon, le marlin, le siki, le requin, la lamproie comme la lotte, le loup (ou bar), la bonite, l'empereur, le flétan, le brochet, la dorade, la raie, le sabre, le thon.
Les poissons les plus pollués sont : espadon, marlin, requin, lamproie, brochet, anguille… Les poissons moyennement contaminés sont : lotte, bonite, flétan, dorade, bar, saumon, thon… Les poissons les moins contaminés sont : colin, merlan, sole, cabillaud, hareng, truite, anchois, maquereau, sardine…
Ceux-ci comprennent le thon frais/congelé, le requin, l'espadon, le marlin, l'hoplostète orange et l'escolier (des renseignements supplémentaires sur la santé sur l'escolier sont présentés dans la feuille d'information de Santé Canada sur l'escolier et la feuille d'information de l'ACIA.
Parmi ceux-ci, on peut citer la traditionnelle sardine, crue ou cuite, le maquereau, le merluchon, le merlan, le tacaud, la vieille, le lieu noir, la carpe ou l'aile de raie.
Il recommande donc les poissons gras : le saumon mais aussi la sardine, le maquereau ou encore le hareng et « conseille de manger du poisson maigre et du poisson gras entre 2 et 4 fois par semaine ».
Les experts disent que le saumon sauvage du Pacifique est votre meilleur choix. «Sauvage signifie une moins grande accumulation de mercure, moins d'antibiotiques et d'hormones, et aussi que le poisson peut nager librement», explique la diététiste-nutritionniste Monica Auslander Moreno chez Essence Nutrition.
Il est riche en phosphore et en vitamine D, deux éléments essentiels qui contribuent au maintien d'une ossature normale. Donc, en plus des muscles, le thon contribue à la bonne santé des os. Il est riche en sélénium, un oligoélément au pouvoir anti oxydant qui protège les cellules contre le stress oxydatif.
Espadon, requin, marlin, thon, daurade, lamproie comptent parmi les poissons prédateurs qui contiennent le plus de mercure, susceptibles d'endommager le système nerveux central, tandis que les poissons à chaîne courte comme les sardines ou les maquereaux ont des niveaux inférieurs.
Les poissons qui peuvent être consommés sans restriction
Selon le rapport, l'aiglefin et le saumon sont les deux espèces de poisson qui présentent le moins de mercure et peuvent donc être consommés librement.
Les poissons ingèrent ces toxiques qui, très peu éliminés par leur organisme, se stockent mois après mois dans leurs graisses. C'est pourquoi plus un poisson vit vieux, plus il peut présenter des niveaux de PCB élevés.
Il faut éviter de manger des gros poissons le soir parce qu'ils sont riches en protéines, elles-mêmes excitantes. "Il faut privilégier les petits poissons comme les sardines, les petits maquereaux, les harengs et saumons" conseille la nutritionniste Alexandra Dalu.
Pourquoi une trop grande consommation de poisson peut-elle être néfaste ? Les poissons peuvent être contaminés par des polluants présents dans l'environnement dont les dioxines, les PCB ou le méthylmercure, qui peuvent avoir des effets néfastes sur la santé en cas de surexposition.
L'inconvénient du saumon sauvage est qu'il est paradoxalement plus contaminé que le saumon d'élevage, notamment en métaux comme le mercure. Cela s'explique par la pollution des océans, et donc par la contamination de l'alimentation des saumons.
Bonne pour le cœur : La sardine est remplie d'oméga 3 et de vitamine B12. Elle prévient le risque de maladies cardio-vasculaires. Renforce les os avec sa vitamine D, son phosphore et son calcium. Elle contribue à lutter contre l'ostéoporose qu'elle soit fraîche ou en conserve.
Le Programme National Nutrition Santé recommande ainsi de ne pas manger du poisson tous les jours : deux fois par semaine suffiraient. Pourquoi ? Bien que le poisson soit source de protéines et qu'il reste en général moins gras que la viande, il contient également moins de fer.
Ils seraient potentiellement contaminés par la Listéria monocytogène, une bactérie à l'origine de la listériose, selon le site du gouvernement, Rappel Conso (source 1). Il s'agit de filets de haddock fumés de la marque Bourgain & Fils, conditionnés dans une barquette sous vide de 200 grammes.
Quels poissons privilégier pour des oméga 3 sans métaux lourds ? Pour éviter les métaux lourds dans l'alimentation pescetarienne, il est recommandé de consommer des petits poissons gras riches en oméga 3 comme les sardines, les anchois, les maquereaux ou encore le hareng.
Pour des raisons pratiques, le maquereau est plus souvent dégusté en conserve que frais. C'est également un poisson gras merveilleux. Il est quasiment aussi riche en oméga 3 (EPA et DHA) que les sardines. Une portion de 100 g de maquereau couvre 5 à 6 fois le besoin quotidien en EPA et DHA !
Les pommes de terre, comme les pâtes, seraient recommandées lors d'un repas équilibré pour le soir. En effet, elles contiennent du tryptophane, un actif qui favoriserait le sommeil ! Attention tout de même à ne pas accompagner vos féculents de sauces grasses ou sucrées ou même de fromage.
Le meilleur choix est encore le hareng, le colin, le lieu noir et les sardines. Parmi les salmonidés, il est préférable de consommer les poissons de la famille coregonus, le saumon rouge et le saumon du Pacifique.
Les sardines, les maquereaux, les dorades, le bar (ou le loup en méditerranée), le mulet, le maigre, ou encore le thon, sont des espèces qui s'adapteront parfaitement à la chaleur vive de vos braises; tout comme les crustacés tels que la langoustine ou le homard, qui adorent aussi le barbecue.
Certaines espèces se vendent à des prix situés généralement en dessous des 15 euros le kg. Parmi ceux-ci, on peut citer la traditionnelle sardine, le maquereau, le merluchon, le merlan, le tacaud, le tilapia, le lieu noir, la carpe ou encore le mulet.