Quels poissons privilégier pour des oméga 3 sans métaux lourds ? Pour éviter les métaux lourds dans l'alimentation pescetarienne, il est recommandé de consommer des petits poissons gras riches en oméga 3 comme les sardines, les anchois, les maquereaux ou encore le hareng.
Les poissons les moins contaminés sont : colin, merlan, sole, cabillaud, hareng, truite, anchois, maquereau, sardine…
Espadon, requin, marlin, thon, daurade, lamproie comptent parmi les poissons prédateurs qui contiennent le plus de mercure, susceptibles d'endommager le système nerveux central, tandis que les poissons à chaîne courte comme les sardines ou les maquereaux ont des niveaux inférieurs.
Sardine, hareng et raie sont les plus riches en vitamine B12. Les poissons se distinguent encore par leur contenu en vitamine E antioxydante, ainsi qu'en vitamine D, laquelle participe à la solidité du squelette et à la vigueur du système immunitaire. Saumon, bar, limande et rouget en sont les mieux pourvus.
Les poissons et les mollusques et crustacés qui contiennent des concentrations plus élevées de ces acides gras tout en présentant une faible concentration de mercure sont les suivants : anchois, capelan, omble, merlu, hareng, maquereau, meunier noir, goberge, saumon, éperlan, truite arc-en-ciel, corégone, crabe, ...
Il est riche en phosphore et en vitamine D, deux éléments essentiels qui contribuent au maintien d'une ossature normale. Donc, en plus des muscles, le thon contribue à la bonne santé des os. Il est riche en sélénium, un oligoélément au pouvoir anti oxydant qui protège les cellules contre le stress oxydatif.
Les poissons gras tels que le saumon, les sardines ou le maquereau, sont riches en Omega-3. Ces acides gras naturels aident à prévenir les maladies cardio-vasculaires et sont nécessaires au bon fonctionnement du système nerveux.
Les poissons gras, comme le saumon, le maquereau et le hareng, sont riches en oméga-3 et vous aident à vous protéger contre les maladies cardio-vasculaires.
Le cabillaud est riche en acides gras poly-insaturés, oméga 3 notamment, dont l'effet protecteur sur la santé a largement été démontré. Dans le cadre d'une alimentation variée et équilibrée, la consommation régulière de ce poisson diminuerait le risque d'infarctus du myocarde et d'accidents cardiaques graves1.
Pour des raisons pratiques, le maquereau est plus souvent dégusté en conserve que frais. C'est également un poisson gras merveilleux. Il est quasiment aussi riche en oméga 3 (EPA et DHA) que les sardines. Une portion de 100 g de maquereau couvre 5 à 6 fois le besoin quotidien en EPA et DHA !
Le saumon d'Alaska est celui qui s'en sort le mieux car la mer est moins polluée. C'est donc celui qui permet de bénéficier des bienfaits du saumon sauvage en limitant les méfaits liés à la contamination des océans.
Ils seraient potentiellement contaminés par la Listéria monocytogène, une bactérie à l'origine de la listériose, selon le site du gouvernement, Rappel Conso (source 1). Il s'agit de filets de haddock fumés de la marque Bourgain & Fils, conditionnés dans une barquette sous vide de 200 grammes.
Les espèces les plus contaminées par le mercure sont le marlin, le requin, le thon rouge, le maquereau roi et l'espadon ; ils figurent parmi les poissons à éviter ou à ne consommer qu'occasionnellement.
Co-aliments
Les boissons riches en phyto-éléments reconnus pour leurs propriétés antioxydantes, comme le thé et le café, ont également eu pour effet de diminuer fortement la bioaccessibilité du méthyl-mercure présent dans le poisson.
Bonne pour le cœur : La sardine est remplie d'oméga 3 et de vitamine B12. Elle prévient le risque de maladies cardio-vasculaires. Renforce les os avec sa vitamine D, son phosphore et son calcium. Elle contribue à lutter contre l'ostéoporose qu'elle soit fraîche ou en conserve.
Si vous avez du cholestérol, préférez effectivement le poisson à la viande rouge. Idéalement, il est conseillé d'en manger deux à trois fois par semaine et de privilégier les poissons gras. Le saumon, le thon, le maquereau ou encore les sardines et les anchois sont les bienvenus dans vos menus !
Le dos est la partie la plus tendre du cabillaud. Elle a également pour avantage d'être dépourvue d'arête. Mais si ce ce poisson à chair blanche est facile à cuisiner, il est essentiel de respecter le temps de cuisson pour éviter qu'il ne devienne tout sec.
Les bienfaits du poisson pour l'organisme ne sont plus à démontrer. Mais les produits de la mer n'ont pas que du bon. Ils sont aussi chargés en divers polluants, dont le mercure. En consommer trop est associé à un risque accru de maladie de Charcot.
L'églefin : ce poisson a une chair fine, qui n'a rien à envier à son cousin, le cabillaud.
La morue est un poisson blanc floconneux et à saveur douce comme l'aiglefin et le merlan. Elle est une excellente source de vitamine B12, de protéines, de phosphore et de niacine.
Pour éviter tout risque de toxi-infections, les femmes enceintes jeunes enfants et les personnes dont le système immunitaire est affaibli doivent éviter d'en consommer. Pour ne pas aggraver leurs symptômes (douleurs articulaires), les personnes atteintes de goutte doivent consommer la sardine avec précaution.
Leur consommation est recommandée par les autorités de santé, car ils sont riches en oméga-3, des acides gras essentiels dont le rôle bénéfique a été prouvé par une multitude d'études, particulièrement pour la santé cardio-vasculaire.
Le poisson peut en fait être consommé à tout moment de la journée, au petit-déjeuner, au déjeuner et au dîner. Mais en raison du risque d'absorber trop de mercure, il est préférable de limiter la consommation à un ou deux repas dans la journée.