Plus de 20 % des femmes nées en 1900 n'ont pas eu d'enfant, contre 18 % des femmes nées en 1925 et 10 à 11 % pour les générations nées après 1935 (cette proportion reste stable autour de ce niveau entre les générations 1935 et 1960).
La part de la population qui ne souhaite pas avoir d'enfant demeure très faible, de l'ordre de 5 % : 4,4 % chez les femmes et 6,8 % chez les hommes, selon une enquête de l'Ined de 20102. Autour de 5 % pour les moins de 25 ans, le taux diminue à 2,5 % chez les 30-34 ans et remonte à 7 % pour les 40-49 ans.
Le nombre de naissances baisse chaque année depuis cinq ans, mais à un rythme qui ralentit au fil des années. Alors que la baisse était de 2,4 % en 2015, elle est passée à 1,9 % en 2016 puis 1,8 % en 2017, 1,4 % en 2018 et enfin 0,7 % en 2019.
Les préjugés sur les femmes qui ne veulent pas d'enfant vont bon train, et ne pas vouloir d'enfants est vu comme contraire à la norme. Non, ces femmes ne sont pas des égoïstes, des carriéristes et j'en passe. Ce sont des personnes engagées qui ont pris une décision délibérée.
Qu'on les appelle Childfree ou S'envol (Sans enfant volontaires), ils sont de plus en plus nombreux à être sûrs et certains de ne jamais enfanter. Aujourd'hui, en Occident, une femme sur 5 mourra sans avoir eu d'enfant. Ceux pour qui c'est un choix nous expliquent pourquoi. Pourquoi ne souhaites-tu pas d'enfant ?
6,3% des hommes et 4,3% des femmes ne souhaitent pas d'enfants. Les raisons sont multiples, mais bien souvent, la première est simplement le fait de ne pas en avoir envie. 8 milliards d'humains sur Terre d'ici novembre 2022.
Ne pas vouloir d'enfant est un choix délibéré et mûrement réfléchi, un choix comme les autres. C'est la volonté de ne pas bouleverser un mode de vie qui convient, ou l'équilibre d'un couple. Avoir un enfant ça change la vie, les priorités ne sont plus les mêmes.
Ces jeunes qui refusent d'avoir des enfants, entre acte écologique et angoisse de l'avenir. S'il peut s'expliquer par des raisons environnementales, le choix de ne pas procréer recouvre souvent des considérations diverses.
Communiquer avec son conjoint, exprimer sa tristesse et ce que l'on souhaite : adopter un enfant, essayer d'avoir un enfant avec des techniques de fécondation in vitro... Rencontrer des femmes ou des hommes confrontés à ce renoncement au désir d'enfant peut aussi aider à faire son deuil.
Résumé : Je ne veux pas être maman est un récit autobiographique qui traite du choix de la non-maternité, et des situations et conflits que génère la prise d'une telle décision, encore taboue dans notre société.
Oui, on peut connaitre la stérilité, renoncer à être mère et être comblée, pleine, heureuse… Mais quel chemin ! Trois femmes stériles nous racontent comment, envers et contre leurs propres rêves et ceux de la société, elles sont heureuses.
En France, l'âge moyen des mères à la naissance de leur premier enfant (sources) atteint 28,5 ans en 2015 (figure 1). En 1974, les femmes devenaient mères à 24,0 ans en moyenne, soit 4,5 ans plus tôt. Entre 1910 et 1974, l'âge moyen à la première maternité était passé de 25,0 ans à 24,0 ans.
En France en 2013, l'âge moyen (calculé à partir des taux de fécondité par âge) à la naissance des enfants était de 30,2 ans pour les femmes et de 33,1 ans pour les hommes, mais ces chiffres ont varié au cours du temps.
nullipare (adj.) 1. qui n'a encore jamais accouché un enfant viable (pour une femme). nullipare (n.f.)
Un taux de 1 % à 2 %, lui, donne une fourchette de 8 200 à 16 400 naissances chaque année en France. « Je suis née d'une relation adultère entre ma mère et mon père, qui était marié et père de trois enfants », raconte Cécile, 36 ans.
Si par contre vous vivez loin de vos parents, essayez de leur rendre visite moins souvent. Évitez d'appeler ou de répondre trop souvent aux messages. Créez de la distance physique avec vos parents en vous abstenant de les inviter ou de leur rendre visite.
Si la femme par malheur est stérile, alors elle est considérée comme une « bâtarde » : la société lui dénie toute légitimité sociale contrairement à l'enfant qui serait d'elle hors mariage.
En 2016, la part des accouchements chez les femmes âgées d'au moins 35 ans était de 21,3 %. L'insuffisance ovarienne est la première cause d'infertilité après l'âge de 35 ans et ne peut être corrigée par une assistance médicale à la procréation, à moins de faire appel à un don d'ovocytes.
Infertilité : Faut-il en parler à ses proches ? Après l'annonce d'une infertilité, la psychologue conseille de ne pas se renfermer sur soi-même ou sur son couple. Elle préconise également de s'entourer de personnes bienveillantes. " Pour confier le diagnostic d'une infertilité, il faut avoir confiance en l'autre.
Nombreuses sont les raisons pour ne pas faire d'enfants en 2022, n'en déplaise à la pression sociale. Il existe autant de raisons de ne pas vouloir d'enfants que de personnes child free, et personne ne devrait avoir à se justifier.
Il en est ressorti trois grandes raisons d'engendrer couramment avancées : le plaisir, ou la joie que procurera la présence de l'enfant ; le devoir, la volonté de transmettre des valeurs, un nom, une histoire ; et enfin l'amour.
La majorité sexuelle a été fixée à 16 ans. Cependant, des relations sexuelles sont autorisées pour autant que la relation se passe entre deux personnes dont la différence d'âge soit de trois ans au maximum.
C'est en Grande-Bretagne que se trouve le plus jeune papi au monde. Shem Davies est devenu grand-père à 29 ans. Lui-même a connu les joies de la paternité à 14 ans. L'histoire s'est répétée puisque sa fille est devenue maman au même âge que son père.
Légalement, l'âge de procréer en France est fixé à 50 ans maximum pour les femmes. Un « âge physiologique » auquel les grossesses naturelles et spontanées sont encore possibles. En revanche, au-delà de 43 ans, l'Assurance maladie ne prend plus en charge les soins engagés dans le cadre de la procréation assistée.