PSAUME 85 (86)
Écoute, Seigneur, réponds-moi, car je suis pauvre et malheureux. Veille sur moi qui suis fidèle, ô mon Dieu, sauve ton serviteur qui s'appuie sur toi.
Pour prier ce psaume, on peut suivre plusieurs pistes. Il invite à rejoindre la prière du Christ qui met sa confiance en son Père. Les versets 22-23 résument ce passage de la mort à la vie : 'La pierre rejetée des bâtisseurs est devenue pierre d'angle. C'est là l'œuvre du Seigneur, une merveille à nos yeux'.
Éternel, je t'invoque : viens en hâte auprès de moi ! Prête l'oreille à ma voix, quand je t'invoque ! Que ma prière monte devant ta face comme l'encens, Et l'élévation de mes mains comme l'offrande du soir !
Cher [Prénom], Ta famille, tes proches, tes collègues et tous ceux qui t'ont aimé sont ici aujourd'hui, pour te rendre hommage. Nous sommes là, réunis en ce lieu, pour te dire au revoir. Tu es parti avant nous, bien trop tôt, et tu nous rappelles qu'ici-bas, notre vie est peu de chose.
inspirez lentement par le nez (pendant environ 4 secondes), retenez votre souffle pendant environ 7 secondes, puis expirez lentement (pendant environ 8 secondes).
Rédiger le discours
Commencez par une citation, des propos typiques de la personne décédée ou un poème. Personnalisez le discours autant que possible : incluez des anecdotes de la vie du défunt et remémorez-vous des souvenirs en sa compagnie. Assurez-vous que les proches reconnaissent le défunt.
Le psaume 35 (34 selon la numérotation grecque) est un psaume qui exprime la prière d'une personne persécutée.
Origène a exploité la notion d'alphabet en la croisant avec le thème du respect de la Loi, thème central dans le psaume 119 : selon lui, de la même manière que l'alphabet est le commencement de l'apprentissage humain, le respect de la Loi est le point de départ de tout enseignement religieux.
Le psaume 67 (66 selon la numérotation grecque) exprime l'universalité de la louange due à Dieu. Il a les mêmes indications que le psaume 68, et on peut le ranger dans le groupe des psaumes 65 à 68, qui sont destinés à la louange et à l'action de grâce, avec les instruments à cordes.
Ce Psaume 133 va alors très loin, nous disant que tout cela se trouve aussi dans la relation fraternelle avec l'autre. L'union fraternelle est source de lumière, de nourriture et de vie dans nos existences. Quand nous vivons ainsi c'est comme si Dieu lui-même venait renouveler notre vie.
Le texte du Psaume 90 a une portée rhétorique. Comme on peut le voir, au v. 13, le même verbe shûb du v. 3, qui sert pour inviter l'homme à revenir auprès de Dieu, est utilisé comme une prière pour demander à Dieu de revenir auprès de son peuple.
Psaume 22 : Le Seigneur est mon berger
Le Seigneur est mon berger, je ne manque de rien. Sur des prés d'herbe fraîche, il me fait reposer. Il me mène vers les eaux tranquilles et me fait revivre ; Il me conduit par le juste chemin pour l'honneur de son nom.
Le psaume 103 (102 selon la numérotation grecque) est attribué à David. C'est une hymne à la bonté de Dieu, difficile à classer, et de datation probablement tardive car on y trouve des mots araméens.
D'abord dire comme le psalmiste : « sauve-moi dans ton nom ». Crier à Dieu est très bien et lui demander le salut la meilleure des choses, Dieu n'est pas sourd, et il sauve. Mais plus précisément Dieu peut nous sauver, « dans son nom », c'est une indication très importante.
Il aurait été écrit par le roi David, qui demandait pardon auprès de Dieu après qu'il eut séduit Bethsabée, la femme d'un de ses officiers, Urie le Hittite, en profitant d'une de ses absences.
Le psaume 24 présente ces attributs divins dans un contexte liturgique ou Israël reconnaît la souveraineté divine dans l'acte de la création et dans le combat. Le peuple adore le Seigneur sur sa montagne sainte. Et vers ce lieu saint convergent les pèlerins à la rencontre de Dieu, résidant dans le sanctuaire.
Le psaume 34 est un diptyque : la première partie jusqu'au verset 11 est constituée d'une hymne et d'un développement de l'expérience du psalmiste, tandis que la seconde partie prend un ton sapientiel. Trois thèmes sont abordés : celui de la rétribution, du bonheur, et enfin de la pauvreté spirituelle.
Ce psaume est chanté pour demander de l'aide à celui qui a créé la vie, pour être protégé durant le voyage souvent long, pénible et potentiellement dangereux. 4- Voici ! Il ne sommeille ni ne dort, celui qui garde Israël.
Psaume 91, 1-2
Oui Seigneur, en ce soir, je m'établis en paix sous ta protection. Tu es mon abri Seigneur, mon refuge et mon repos. Je te prie que cela ne soit pas que des mots, mais que réellement je puisse sentir en ce soir que tu m'enveloppes dans ta divine protection.
Jésus, par cette parole en exergue du psaume, entend rappeler dans son râle de mourant non pas un terrible doute envers Dieu mais au contraire l'immense espoir de la résurrection.