La méthode d'abattage en question consiste à placer les porcs dans un caisson à gaz contenant du CO2, ce qui les fait haleter et hyperventiler et provoque douleur et panique.
on tue des cochons. Une truie reçoit des chocs électriques avec une vieille pince inadaptée. Elle ne s'écroulera qu'après 5 tentatives. Les jeunes cochons sont aussi étourdis avec une pince qui devrait provoquer un étourdissement instantané ce qui n'est clairement pas le cas.
Le pistolet à tige perforante (ou matador) est principalement utilisé pour l'étourdissement des bovins, mais également pour celui des moutons, chèvres, porcs, chevaux… Posé sur le front de l'animal, l'outil permet de perforer le crâne jusqu'au cerveau, ce qui génère une onde de choc et la destruction des tissus.
Une corde est passée dans sa gueule, une autre autour d'un pied. L'animal est ensuite traîné jusqu'à un socle pour être abattu. La tête dans le vide, et les pieds immobilisés, le boucher procède au saignement du cochon. Ce rôle de "tueur" est transmis de génération en génération.
Ils souffrent de piétin à force de ne jamais voir leur literie changée, de maladies infectieuses telles que la salmonelle et la listeria, sans oublier le stress thermique, l'insuffisance cardiaque, des cloques pectorales et dermatites causées par la surpopulation extrême.
Le bovin est alors assommé par un coup de pistolet d'abattage (pistolet soit à projectile captif, soit à projectile libre) tiré dans le front, ce qui a pour effet de l'insensibiliser entre le moment de réalisation de la saignée et la fin du processus de destruction du système nerveux conduisant à la mort.
En France, sauf pour les abattages rituels qui bénéficient d'une dérogation, les moutons et les agneaux sont « étourdis » au moyen d'une pince à électronarcose avant d'être saignés.
La dhabiha se pratique par une incision profonde et rapide avec un couteau effilé sur la gorge, de façon à couper les veines jugulaires et les artères carotides bilatéralement et rapidement, mais en laissant la moelle épinière, afin que les convulsions améliorent encore le drainage.
L'acte est accompli par un shohet, spécialiste dûment autorisé et formé aux lois de la shehita. Il coupe, au moyen d'un couteau particulier, la trachée, l'œsophage, les artères carotides et les veines jugulaires ; la bête abattue est suspendue la tête en bas de façon qu'elle se vide de son sang.
Il est généralement effectué par des sociétés spécialisées, soit directement à la main, soit par une machine. Dans ce cas, les oiseaux sont engloutis à grande vitesse par une « moissonneuse à poulets », convoyés par tapis roulant, puis propulsés vivement dans les caisses.
Il y a trois principales méthodes d'euthanasie appropriées à la ferme : la surdose de barbiturique; l'étourdissement par un pistolet à cheville percutante, suivi d'une exsanguination, et l'abattage par balle.
L'exsanguination est utilisée pour l'abattage des animaux. Avant d'effectuer l'incision mortelle, l'animal peut être rendu insensible à la douleur via diverses méthodes, dont le pistolet à projectile captif, un étourdissement électrique par électronarcose ou des composés chimiques.
Le liquide restant dans la viande est uniquement de l'eau. La myoglobine, lorsqu'exposée à l'air, obtient une couleur rougeâtre. C'est pour cette raison qu'une fois mêlée à l'eau, elle pourrait faire penser à du sang. Une fois cuite, cette myoglobine, toujours présente dans la viande, brunit.
L'abattage sans étourdissement des animaux est organisé afin de garantir le libre exercice des pratiques religieuses dans le respect des dispositions réglementaires relatives à la protection animale, l'hygiène alimentaire et la protection de l'environnement.
Ainsi, selon la loi, un animal peut-être étourdi à l'aide d'un pistolet à tige perforante (un procédé légal qui est par ailleurs mis en cause dans la vidéo publiée par L214), par percussion à l'aide d'un pistolet d'abattage (un procédé également critiqué par L214 mais pourtant légal), par électrocution ou ...
Juste après l'abattage, la viande de bœuf est certes déjà comestible, mais sa qualité laisse encore à désirer. Le boucher laisse alors la viande reposer à une température qui va de 1 à 2 °C pendant plusieurs jours pour permettre à celle-ci de gagner en tendreté et en saveur.
Pour ce qui est de l'abattage, le boeuf est abattu après avoir été engraissée sans stress et avec beaucoup d'amour pendant plus de 500 jours. Dès lors, une sélection finale et minutieuse sera effectuée afin de sélectionner les viandes qui seront vendues avec le label « Boeuf de Kobe ».
Une astuce : Avant de piquer, tapotez l'endroit ou vous allez piquer juste avant d'y enfoncer l'aiguille afin que le cochon ne soit pas surpris ! En cas de questions ou d'urgence appeler l'association : 06 63 17 93 46.
Pour saigner l'animal, soit on le décapite, soit on sectionne au moins une jugulaire et une artère carotide. La décapitation n'est admise qu'après un étourdissement réussi. L'habillage ne commence pas avant que le lapin soit mort.
Le porc commence à être engraissé en novembre. Quand il atteint environ 200 kg, il peut être abattu, généralement aux environs de Noël. La tradition de la pelèra voudrait qu'un petit cochon soit tué en décembre, l'autre, celui de 200 kg en février.
Contrairement au cochon, le sanglier possède des défenses et un épais pelage. Le cochon domestique a peu de poils et sa peau est sensible, comme celle des êtres humains. D'autre part, le cochon est plus massif que le sanglier : sa tête est plus large, moins longue, et son groin est plus court.
Le porc Nustrale est un cochon de taille moyenne rustique avec une robe noir ou grise et oreilles tombantes, Cette espèce de Porc est parfaitement adapté a sont environnement élevé en zone de montagne, il se nourrit principalement de glands et de châtaignes.
La douleur et la peur provoquées par l'égorgement demeurent, mais la perte de conscience intervient rapidement après.
La différence proviendrait de ce que la viande halal serait issue d'un animal complètement vidé de son sang, ce qui modifierait son goût. La preuve manifeste de cette différence serait la clarté de la viande halal comparée à la couleur rouge de la viande vendue dans les boucheries non islamique.