L'IRM possède une résolution en contraste qui lui permet de bien visualiser les nerfs au sein d'un environnement graisseux.
La neurographie par résonance magnétique (NRM) est un procédé basé sur l'imagerie par résonance magnétique (IRM) permettant de visualiser les plexus nerveux et les nerfs périphériques.
L'imagerie par résonance magnétique et l'échographie montrent directement les nerfs périphériques et permettent donc d'étudier leur diamètre et leur structure.
Le scanner (tomodensitométrie ou TDM) et l'imagerie par résonance magnétique (IRM) permettent de voir directement les acteurs intervenant dans le mal de dos et transparents sur les radiographies standard : disque intervertébral, moelle épinière et nerfs...
Si l'échographie reste performante au niveau des nerfs superficiels, l'imagerie par résonance magnétique (IRM) est devenue la méthode de référence pour l'étude de la plupart des pathologies nerveuses périphériques, notamment pour les structures nerveuses profondes.
Le syndrome de Guillain-Barré est une affection rare dans laquelle le système immunitaire du patient attaque les nerfs périphériques. Bien qu'elle puisse toucher les personnes de tout âge, cette maladie est plus fréquente à l'âge adulte et chez les sujets de sexe masculin.
IRM : qu'est-ce que c'est ? L'IRM est un examen de santé extrêmement précis. Contrairement au scanner, une IRM a l'avantage de ne pas exposer le patient aux rayons X.
Elle nécessite autour du patient un matériel (tube de perfusion, respirateur …) insensible au champ magnétique. Cela explique que le scanner soit systématiquement préféré à l'IRM dans certaines situations : urgence en dehors de l'imagerie du cerveau ou patients de réanimation.
Scanner : déroulement
Le patient est allongé, le plus souvent avec une perfusion (produit de contraste). C'est un examen totalement indolore et rapide, le rendant parfois plus indiqué que l'IRM (situation allongée douloureuse, enfants, personnes claustrophobes…).
L'EMG permet d'orienter vers le diagnostic de maladies neuro-musculaires. Il est pratiqué essentiellement pour l'exploration musculaire en cas de douleurs musculaires (myalgies) ou pour l'exploration de traumatismes, de compression ou de toute autre atteinte des nerfs périphériques.
L'échographie du muscle et des tendons est l'examen indispensable : elle permet non seulement d'analyser les lésions musculaires de la déchirure (localisation, étendue, profondeur) et/ou tendineuses, mais aussi d'observer le comportement du muscle lorsqu'il se contracte.
Nerf sensitivo-moteur, le nerf radial est le nerf de l'extension et de la supination du membre supérieur, c'est-à-dire du bras. Les fibres du nerf radial proviennent des racines nerveuses C6, C7, C8, T1. Il trouve naissance au niveau du creux axillaire qui se trouve en arrière du petit pectoral.
L'examen neurologique consiste en une série de tests. Chaque partie de votre encéphale contrôle votre capacité d'effectuer des fonctions de base, comme sourire, ouvrir et fermer vos yeux et demeurer en équilibre pendant que vous marchez. Toutes ces fonctions font l'objet de tests pendant un examen neurologique.
Le chaud et le froid. L'alternance entre la chaleur et des compresses froides peut réduire le gonflement et l'inflammation du nerf. Combiner le chaud et le froid en changeant de compresse toutes les 15 minutes environ, augmente la circulation sanguine dans la zone en question, et diminue ainsi la douleur.
Le PET-scan sert à détecter une tumeur cancéreuse et/ou des métastases et à surveiller leur évolution. Il permet de faire une cartographie de leur localisation dans tout le corps, grâce à leur activité métabolique (c'est-à-dire en étudiant leur consommation de glucose après injection du produit radioactif).
Que ne peut-on pas voir au scanner ? Le scanner est un outil formidable qui permet d'obtenir des images très fines de l'ensemble de l'organisme. Toutefois, certaines zones, en particulier au niveau cérébral, ne sont pas accessibles au scanner.
L'IRM est l'examen de référence pour les pathologies intra-crâniennes : accident vasculaire ischémique, tumeurs, malformations, sclérose en plaques, maladies dégénératives du cerveau. C'est aussi le cas pour les maladies de la moelle épinière.
Le prix d'une IRM varie de 300 à 500 euros, voire plus, en fonction de l'analyse à mener. Sécurité sociale et mutuelle santé assurent une certaine prise en charge.
À quoi sert un scanner? Les tumeurs ayant une densité particulière par rapport aux tissus voisins normaux, le scanner sert à les détecter et à les localiser avec une grande précision.
L'IRM est un examen courant, de plus en plus utilisé dans le diagnostic et le suivi des cancers. L'IRM permet, si nécessaire, d'explorer les vaisseaux sanguins (angio-IRM). La spectro-IRM (ou spectroscopie par résonance magnétique) permet quant à elle une analyse physico-chimique des cellules cancéreuses.
La forme aigue de l'atteinte inflammatoire des nerfs est dénommée syndrome de Guillain-Barré. La forme chronique est appelée polyradiculoneuropathie inflammatoire chronique (PIDC). L'inflammation peut aussi viser les vaisseaux sanguins et être à l'origine de déficits multiples dénommés mononévrite multiple.
La douleur neuropathique (encore appelée douleur neurogène) est secondaire à une atteinte du système nerveux (central ou périphérique), c'est-à-dire touchant le cerveau, la moelle èpinière ou les nerfs. La douleur est mixte quand elle associe ces deux mécanismes (nociceptif et neuropathique)
Faiblesse musculaire, maux de tête, troubles du sommeil, dérèglement des sens, tremblements, mauvaise coordination… Dès l'apparition des premiers symptômes, prenez rendez-vous chez votre médecin traitant qui saura interpréter les signaux d'alerte et vous orienter vers un neurologue si votre état le nécessite.