Valeurs normales de fréquences cardiaques humaines 3–5 ans : 105 ± 35 bpm ; 6–12 ans : 95 ± 30 bpm ; adolescent ou adulte : 70 ± 10 bpm ; personne âgée : 65 ± 5 bpm.
On estime que chez l'adulte, au repos, une fréquence cardiaque normale est comprise entre 60 et 100 battements par minute (bpm). Elle est légèrement plus élevée chez les femmes que chez les hommes. Le cœur des enfants bat plus rapidement : chez le nouveau-né, entre 120 et 160 fois par minute !
Le calcul est simple avec cette méthode : 226 – votre âge pour les femmes, 220 – votre âge pour les hommes. Admettons que vous ayez 35 ans et que vous soyez une femme. Votre fréquence cardiaque maximale sera de 191 battements par minute.
On parle de tachycardie au-delà de 100 battements par minute. Le stress, l'anxiété, une consommation excessive d'excitants comme le café ou encore un accès de fièvre peuvent expliquer cette accélération du rythme cardiaque. Si le phénomène se produit trop souvent, il faut en parler à son médecin.
Symptômes éventuellement associés
des battements du cœur plus rapides ou palpitations ; d'une perte d'appétit ; d'une douleur au niveau du foie.
Lorsqu'une personne est atteinte de bradycardie, son cœur bat à moins de 50 pulsations par minute. À ce rythme, le cœur n'est pas capable de pomper suffisamment de sang riche en oxygène vers le reste du corps, pendant les activités quotidiennes ou une séance d'exercice physique.
On parle de bradycardie en présence d'un rythme cardiaque inférieur à 60 battements par minute. Chez la plupart des personnes en bonne santé, le rythme cardiaque normal se situe entre 60 et 100 battements par minute (BPM).
Au repos, chez un adulte, une fréquence cardiaque comprise entre 55 et 85 est normale. A partir de 100 battements par minute et plus au repos, un avis médical est justifié. Rythme lent. Cela peut être normal chez un athlète de fond entrainé (marathonien, cycliste par ex.).
Chez un adulte, la fréquence cardiaque au repos se situe entre 60 – 100 battements par minute (bpm). Le pouls (ou la prise des pulsations) est la perception sensorielle des battements des artères périphériques au travers de la peau permettant de mesurer la fréquence cardiaque1.
En effet, un cœur qui bat lentement est plutôt cardioprotecteur, et si celui-ci bat régulièrement, il n'y a pas de raison d'augmenter le rythme cardiaque bas. Généralement, quand la bradycardie est bien supportée et ne génère pas de symptômes, elle n'est pas traitée.
Malgré ces remarques, dépasser sa fréquence cardiaque maximale est se mettre dans « la zone rouge » pour sa santé car il existe deux risques : Risque immédiat : mort subite du sportif (troubles du rythme, décompensation d'une coronaropathie , …)
Selon l'hygiène de vie et les antécédents médicaux et familiaux, différents bilans sont possibles. Un cœur qui s'emballe facilement, un essoufflement au moindre effort, des crampes systématiques dans les membres inférieurs et, bien sûr, des douleurs thoraciques: à ces symptômes il faut consulter un cardiologue.
Comment faire ? Inspirer par le nez ou par la bouche pendant 5 secondes pour remplir les poumons, puis expirer par la bouche à nouveau pendant 5 secondes pour les vider. À faire pendant 2 à 3 min pour calmer les palpitations (puis plusieurs fois par jour pendant une minute ou deux).
Dans d'autres cas, un rythme cardiaque supérieur à 100 battements par minute est anormal et résulte d'un problème au niveau du cœur ou de l'irrégularité de l'activité électrique à l'intérieur du cœur. Si vous présentez un rythme cardiaque élevé, celui-ci est peut-être causé par un type de tachycardie.
La tachycardie ventriculaire.
Ce type de tachycardie, qui se traduit par un pouls compris entre 120 et plus de 200 battements par minute, peut être grave et nécessite une prise en charge médicale urgente.
Le réveil : risque élevé de problèmes cardiaques
Le risque serait principalement dû à l'émission de catécholamines, des neurotransmetteurs proches de l'adrénaline, qui stimulent le système nerveux. Leur action s'accompagne également d'une élévation du rythme cardiaque et de l'intensité des contractions cardiaques.
La FC peut alors descendre en dessous de 60 battements par minute » indique le Dr Taïeb, médecin du sommeil à l'Institut Médical du Sommeil. Elle est sous l'influence du système nerveux parasympathique, plus actif pendant cette phase de sommeil profond.
Plusieurs méthodes permettent de mesurer sa fréquence de repos : un tensiomètre, une montre connectée ou simplement la prise de pouls au poignet, entre l'index et le majeur. À l'âge adulte, la fréquence cardiaque normale de repos varie entre 50 et 90 battements par minute.
Avoir un bon sommeil est aussi important.
Cela permet au cœur de se reposer. Le sommeil intervient également dans la pression artérielle, l'inflammation et le métabolisme du glucose qui jouent un rôle dans la survenue des maladies cardiovasculaires. Six à huit heures de sommeil par nuit, c'est l'idéal.
Pour aider au diagnostic et au suivi de cette insuffisance, il est possible de doser dans le sang des substances (les peptides natriurétiques) fabriquées par le cœur quand celui-ci se fatigue : ce sont les marqueurs de l'insuffisance cardiaque.
Un ECG (électrocardiogramme) permet de voir l'activité électrique du cœur. En présence d'un « cœur d'athlète », on peut observer des modifications à l'ECG, comme un rythme cardiaque lent (bradycardie), des signes d'hypertrophie ventriculaire gauche ou des battements cardiaques supplémentaires (extrasystoles).