Environ 26 000 $, c'est le revenu net nécessaire pour une personne seule afin de « vivre dignement et hors pauvreté » à Sherbrooke, selon l'Institut de recherche et d'informations socioéconomiques (IRIS).
Le salaire moyen à Montreal est de 40 079 $, ce qui est 15,6 % plus bas que le salaire moyen canadien de 47 487 $. Une personne touchant 50 000 $ par an à Montreal gagne 24,8 % de plus que le travailleur moyen à Montreal et empoche environ 37 442 $.
L'INSEEC a noté une différence de 13,7% entre les hommes et les femmes. Le salaire médian des femmes s'élève à 1 639€ tandis que celui-ci des hommes est de 1 899€. Selon la Direction statistique du ministère des Solidarités (Drees), il faudrait 1 760€ pour vivre décemment en France.
Le salaire minimum ce situe alentour du 12.50$ de l'heure et grosso modo il y a 2000 heures de travail par année (50 semaines x 40heures), Donc au bas de l'échelle, sans éducation, on parle d'un salaire de 25 000$ par année.
De ce fait, un bon salaire serait compris entre 70 000$ et 99 999$ par année. Ce n'est pas une règle générale puisque cela dépend de vos dépenses et de la façon dont vous épargnez votre argent et la de la taille de votre famille.
Le salaire moyen pour les emplois montreal au Canada est $39,944 par an ou $20.48 par heure. Les postes de niveau débutant commencent avec un salaire environnant $32,683 par an, tandis que les travailleurs les plus expérimentés gagnent jusqu'à $71,700 par an.
Lorsqu'on élargit le regard aux 20 % des ménages québécois les plus riches, on se retrouve avec une valeur nette médiane de 1,31 million, contre 545 000 $ pour le deuxième quintile le plus riche, et de seulement 2600 $ pour les 20 % les plus pauvres.
Les 67 552 particuliers qui se retrouvaient dans ce 1 % des Québécois les plus riches en 2020, selon Revenu Québec, gagnaient un revenu annuel médian de 367 000 $. Ce groupe est formé majoritairement d'hommes, à 72 %, par rapport à 28 % de femmes.
Si nous considérons que un “bon” salaire est un revenu qui rentre dans la tranche des 10% les mieux payés au Québec, un bon salaire au Québec serait entre 70 000$ et 99 999$ par année.
Si nous considérons que un “bon” salaire est un revenu qui rentre dans la tranche des 10% les mieux payés au Québec, un bon salaire au Québec serait entre 70 000$ et 99 999$ par année.
Selon les derniers chiffres publiés par l'Insee, le salaire net mensuel moyen en équivalent temps plein d'une personne travaillant dans le secteur privé était, en 2019, de 2 424 euros.
Ainsi l'université américaine de Purdue, dans l'Indiana, a conduit en 2018 une enquête dans laquelle des personnes de 164 pays (*) ont conclu que le salaire théoriquement parfait se situait entre 60 000 et 75 000 dollars par an (entre 51 000 et 64 000 euros) soit entre 4 250 euros et 5 300 euros par mois, sans ...
Ainsi, le salaire qui permet de subvenir convenablement à ses besoins est évalué à 2.215€ par les 25-34 ans et à 3.178€ par les plus de 65 ans. Il ressort de ce sondage de CSA que plus le revenu du foyer augmente, plus l'on relève la barre du salaire idéal.
Au niveau individuel, le revenu médian après impôt était de 32 700$ en 2019, d'après l'Institut de la statistique du Québec. En considérant le seuil de 75% à 150% du revenu médian : les individus qui ont des revenus entre 24 525$ et 49 050$ feraient partie de la classe moyenne.
À 75,000 Euros (105,000$CND) c'est suffisant pour une famille vivant à Montréal. Vous n'aurez peut-être pas un appartement avec vue sur le fleuve… mais bon! L'idéal pour élever une famille est d'être en banlieue de la ville ou de s'établir dans une ville de moindre importance où le stress quotidien n'existe pas ou peu.
Les emplois les mieux payés à Québec sont Dermatologue, Pédiatre et Vice-président - ventes/marketing.
Comme partout dans le monde, le métier le plus payant au Québec est: l'entrepreneuriat.
Le Directeur des ventes
Un Directeur des ventes gagne en moyenne 106 423 $ par an. Le Directeur des ventes assure la bonne gestion des opérations de vente et cherche des solutions afin d'augmenter les chiffres d'affaires.
Sur cette base, les « hauts salaires » se définissent comme la population des employés du secteur privé touchant un revenu salarial mensuel net supérieur à 3 646 euros en 2015. Pour ce qui est des « très hauts salaires », ceux-ci perçoivent des revenus salariaux annuels nets supérieurs à 8 283 euros.
Compte tenu de la croissance de la population et du PIB, le 1 % regroupe aujourd'hui 65 500 personnes et le seuil pour en faire partie est passé à 220 100 $. Les 65 500 bien nantis qui dépassent ce seuil ont une rémunération moyenne de 462 600 $, à laquelle je fais référence dans le chapeau de ma chronique (1).
L'année 2020 est la plus récente disponible1. En 2020, donc, le revenu médian des 25-54 ans a atteint 51 560 $ au Québec, ce qui est près de 3 % de plus que celui des Ontariens.
Selon le Rapport sur les inégalités mondiales, pour faire partie des 10 % les plus riches de la planète (en termes de revenus), il faut gagner au moins 38 144 euros par an, soit 3 178 euros par mois, comme le détaille Lucas Chancel, économiste à la Paris School of Economics (PSE) et co-auteur de la publication.
Selon cette méthode, est considéré comme "riche" tout Français qui perçoit 3673 euros de revenus par mois, après impôts. Pour un couple, ce seuil est fixé à 5511 euros, et à 7700 euros pour une famille avec deux enfants.