Des chercheurs ont découvert un lien entre pathologies rénales et importante consommation de viande rouge. D'autres sources de protéines seraient donc à privilégier, telles que la viande de volaille ou le poisson.
Protéines – Selon le stade de votre maladie rénale, vous devrez peut-être limiter l'apport en protéines, ou au contraire en consommer davantage. Parmi les sources de protéines au petit-déjeuner : 100 g de yogourt, ¼ tasse de fromage cottage, 1-2 œufs, 1 c. à soupe de beurre d'arachides.
Malheureusement, il n'y a pas d'aliment spécifique permettant de diminuer les taux de créatinine. Il est plutôt recommander de diminuer l'apport en protéines car celles-ci ont un impact important. Si vous souffrez d'insuffisance rénale, il est recommandé de poser ces questions à un spécialiste dans le domaine.
A chaque repas, introduire un produit laitier (yaourt, fromage blanc, petits suisses, fromages). Il existe des protéines d'origine animale (viandes, poissons, œufs, charcuteries et produits laitiers) et végétale (pomme de terre, céréales, légumineuses, graines et fruits oléagineux).
Il soulage les infections urinaires
Pour prévenir les infections, on leur conseille de boire beaucoup d'eau et de consommer des aliments diurétiques comme le poireau. Ce légume, sous forme de bouillon par exemple, aide à éliminer l'acide urique. Il est excellent pour les reins et le foie.
Les résultats montrent que les consommateurs de café auraient une diminution du risque de maladie rénale chronique (débit de filtration glomérulaire estimé (DFGé) <60mL/min/1,73m2) par rapport à ceux qui n'en consommaient pas.
Le Dr Tostivint le répète, " l'important pour éviter d'avoir besoin d'être dialysé, c'est de dépister, dépister et encore dépister ! Pour cela, il convient de mesurer trois paramètres importants : le taux de créatinine dans le sang, d'albumine dans les urines et la tension artérielle ".
Le bœuf, le porc, le mouton et la volaille (poulet et dinde) sont très riches en potassium, tout comme le foie de veau, le jambon et les lardons fumés, les viandes des grisons et les viandes séchées. A noter : ne consommez pas les sucs provenant d'une viande rôtie ! 2) Misez plus sur les légumes – mais les bons !
Le chocolat contient aussi de la théobromine : un alcaloïde amer de la même famille que la caféine. Il agit sur les reins, c'est un diurétique, et il a un effet antitussif.
La carotte est diurétique
Grâce à sa richesse en potassium, la carotte est un légume que l'on classe dans la catégorie des diurétiques naturels. A ce titre, elle est idéale pour drainer le foie, nettoyer les reins, lutter contre la rétention d'eau et les calculs rénaux.
1) Soupe au céleri et aux orties
Il aide le foie et la vésicule biliaire à bien fonctionner et est aussi bénéfique pour les reins. La 'star' de cette soupe reste néanmoins l'ortie qui est dépurative pour le sang et possède tout un régiment de bénéfices pour la santé.
La consommation de produits laitiers, en particulier de ceux allégés en matières grasses, est associée à une diminution du risque de développer la maladie rénale chronique.
Grâce à ses effets diurétiques, l'oignon cru est recommandé aux personnes souffrant d'insuffisance rénale ou de dérèglement de la prostate.
Le est bon pour le foie et les reins.
Les reins sont en charge de l'équilibre de notre organisme. En filtrant le sang, ils régulent la quantité d'éléments présents dans le corps. Si vous mangez une banane par exemple, ils s'activent pour éliminer l'excès de potassium.
Pensez donc à boire suffisamment pour protéger vos reins, au moins 1 litre à 1,5 litre d'eau par jour répartie sur une journée, mais n'oubliez pas de faire vérifier de façon régulière le bon fonctionnement de vos reins. Si boire de l'eau peut protéger vos reins, cela ne vous guérit pas d'une maladie rénale chronique.
Et contrairement à ce que certaines personnes pensent, boire de l'eau calcaire n'a jamais causé de calculs rénaux. Il n'y a aucun rapport. Donc vous pouvez boire l'eau du robinet même si celle-ci est calcaire. L'eau calcaire c'est bon pour la santé.
L'étude montre que le taux de survie sur une année est de 71 % en moyenne : 80 % chez les patients âgés de 70-74 ans, 69 % (75-79 ans) et 54 % (80 ans et plus) (p=0,008). Le taux de survie est de 88 %, 71 % et 64 % chez les patients présentant aucune, une, deux (ou plus) comorbidités, respectivement (p=0,056).
Elle apporte aussi une quantité importante de minéraux : potassium, phosphore, magnésium ; ainsi que de nombreux oligo-éléments : fer, zinc, cuivre, manganèse… Ses fibres sont peu abondantes (1g aux 100 g, contre 2,5 à 3,5 g pour les légumes verts).