La phrase emphatique est une phrase qui met l'accent sur un mot ou un groupe de mots (un sujet, un groupe nominal ou un adjectif), crée un effet d'insistance sur cet élément et le met en valeur.
La forme emphatique permet de mettre un mot ou un groupe de mots en relief. Les procédés de mise en relief sont : la modification de l'ordre des mots ; Exemple : J'ai rencontré, en colonie de vacances, cette amie.
Formes neutre / emphatique
La phrase de forme neutre ne contient aucun groupe de mots mis en emphase. Ex. : Sophie joue de la belle musique. La phrase de forme emphatique a au moins un groupe de mots mis en emphase. - à l'aide d'un marqueur emphatique (C'est…qui; c'est…que; ce qui…; ce que…; c'est, etc.)
On appelle aussi cela l'emphase ou la forme emphatique. On encadre le groupe avec un présentatif, par exemple avec : c'est… qui s'il s'agit du sujet ; Exemple : C'est sa tante qui l'a élevé.
Exagération pompeuse dans le ton, le geste, dans les termes employés ; enflure, grandiloquence : Parler avec emphase.
La phrase déclarative correspond au modèle de la phrase de base tandis que la phrase interrogative, la phrase exclamative et la phrase impérative sont des phrases transformées. Plus précisément, elles sont le résultat de la transformation du type déclaratif de cette phrase de base.
(Péjoratif) Qualifie ce qui est enflé et ampoulé dans l'expression écrite ou orale. (Par extension) Qualifie un discours prononcé avec exagération prétentieuse. Toi est la forme emphatique de tu.
EMPHATIQUE (an-fa-ti-k') adj. Qui a de l'emphase.
Les phrases de type exclamatif soulignent des émotions qui peuvent être positives ou négatives. Il s'agit de désigner un ressenti, un sentiment. Par exemple, dans la phrase exclamative, « Quelle belle journée ! », j'exprime de la joie, de la gratitude.
L'emphase est une figure de style. Elle permet d'exagérer une manière de dire ou d'écrire. On peut mettre l'emphase sur un nom, un adjectif.
la phrase déclarative qui énonce un fait ; la phrase exclamative qui exprime un sentiment fort ; la phrase impérative qui exprime un ordre ; la phrase interrogative qui pose une question.
Les procédés emphatiques sont des procédés d'insistance qui mettent en valeur ce que l'on dit. Souvent ce procédé entraîne des modifications entre le thème, c'est-à-dire le sujet de la phrase, et le propos c'est-à-dire ce qu'on en dit, l'information que l'on donne sur le sujet.
la phrase déclarative, la phrase interrogative, la phrase exclamative et la phrase impérative. On peut mettre chacune de ces phrases soit à la forme affirmative ou négative.
Pour savoir si la forme est à la voix passive, essaie d'ajouter un complément d'agent (par Amélie). Si la phrase conserve du sens, c'est qu'il s'agit de la voix passive. Dans le cas contraire, c'est la voix active. Ex. : Il a aidé par Amélie .
La phrase impérative (dite aussi injonctive) se termine par un point ou un point d'exclamation. Elle sert à exprimer : un ordre : Écoute-moi !
Une phrase à la forme neutre est une phrase qui ne permet pas d'insister sur un mot ou un groupe de mots. Elle s'oppose donc à la phrase emphatique. Exemple : Ce chien a englouti un poulet entier.
Une phrase exclamative exprime l'étonnement, la joie, la colère. Elle se termine toujours par un point d'exclamation ( ). Cette robe est très jolie !
Le plus souvent, l'exclamation est marquée par une interjection (un adverbe ou un nom). On peut aussi utiliser des phrases nominales ou des mots isolés, ainsi que diverses onomatopées (paf, boum, ah, oh, plouf etc.) : Attention, la bouteille va tomber !
La phrase déclarative est la plus utilisée et permet d'énoncer un fait. Avec la phrase interrogative, on peut poser des questions. La phrase exclamative sert à exprimer une émotion, un sentiment. Enfin, la phrase impérative et la phrase injonctive servent à passer un ordre, une demande.
S'en aller (+ infinitif), employé dans le même sens, est familier : je m'en vais vous le dire. Cette tournure est surtout employée à l'indicatif présent et à la première personne du singulier.
– Familier : bavasser, discutailler, discuter le bout de gras, discuter le coup, disputailler, faire la causette, faire un brin de causette, laïusser, papoter, tailler une bavette, tchatcher, tenir la jambe à, tenir le crachoir, toucher un mot .
Fuchsia / Leonhart Fuchs
Quelle audace ! Pour ne pas faire la faute, il suffit de décortiquer le mot : écrivez d'abord « fuchs », qui se prononce [fouks], et ajoutez le suffixe -ia. D'ailleurs, si l'on voulait vraiment être fidèle à l'étymologie, il faudrait prononcer [fouksia] !
La Grammaire générale et raisonnée de Port-Royal distingue neuf parties du discours : le nom, le pronom, le verbe, l'adjectif, l'article, l'adverbe, la préposition, la conjonction et l'interjection.
Cette phrase a donc plus d'impact que "La chute sera plus dure", qui est une phrase neutre. Pour mettre une phrase à la forme empathique, on peut s'y prendre de deux manières : - On peut, comme dans notre exemple ci-dessus, prendre le ou les mots que l'on veut mettre en évidence et le placer en début de phrase.
Les trois genres rhétoriques. La rhétorique classique distingue trois grands genres de discours: le discours judiciaire, le discours délibératif et le discours démonstratif. Le terme de genre ne doit pas être ici confondu avec celui qui désigne les genres littéraires (roman, théâtre, poésie...).