Certains problèmes articulaires, musculaires ou les restrictions de mobilité liées à l'âge sont aussi liées à l'inactivité physique. 500 000 cas de maladies non-transmissibles (cancers, maladies cardiaques et pulmonaires, diabète, etc) seraient attribuables au manque d'activité physique selon l'OMS.
Plusieurs facteurs incluant l'âge avancé, le sexe masculin, l'obésité, la saison hivernale et de faibles niveaux d'exercice physique étaient associés à des comportements sédentaires prolongés.
Bref, selon l'OMS, l'inactivité physique favorise l'apparition de certains cancers (cancer du côlon, cancer du sein...) et de maladies comme le diabète de type 2. Il y a bien une conséquence directe sur l'organisme, liée au manque d'activité physique.
Il existe un certain nombre de risques associés à un mode de vie sédentaire, notamment l'obésité, les maladies cardiaques, le diabète et même le cancer. Rester assis pendant de longues périodes peut augmenter votre tension artérielle et votre taux de cholestérol.
Quels sont les facteurs de risques liés à l'activité professionnelle ? Les atteintes de l'appareil locomoteur, principalement liées aux activités physiques telles que les lombalgies, entorses, luxations et douleurs ou déchirures musculaires représentaient à elles seules 50 % des accidents du travail (CNAMTS, 2010).
l'inactivité physique : lorsque l'activité physique est inférieure à 60 minutes par jour, incluant le sport pratiqué pendant le temps scolaire, les jeunes sont considérés comme insuffisamment actifs.
La sédentarité représente l'un des principaux facteurs de risque de mortalité liée aux maladies non transmissibles. Les personnes ayant une activité physique insuffisante ont un risque de décès majoré de 20 % à 30 % par rapport à celles qui sont suffisamment actives.
L'inactivité physique est aussi associée à un risque accru de développer ou d'aggraver des maladies chroniques telles que l'insuffisance cardiaque, les maladies cardiovasculaires, l'accident vasculaire cérébral, le diabète de type 2, l'hypertension, certains cancers et l'ostéoporose.
La sédentarité pourrait aussi être à l'origine de certains cancers. La mortalité s'en voit donc augmentée. C'est sans compter les problématiques psychologiques et sociales associées à la sédentarité : isolement, anxiété, dépression, etc.
La sédentarité signifie que nous avons une faible dépense énergétique en position assise ou allongée, excluant le sommeil. Quant à elle, l'inactivité physique signifie qu'il n'y a pas assez de pratique d'activité physique, c'est-à-dire un volume hebdomadaire inférieur à 150 minutes d'intensité moyenne à élevée.
L'inactivité physique prolongée, c'est le fait de ne pas activer son corps sur une longue période. Être assis plus de 12 heures par jour ou faire moins de 4000 pas par jour sont des indicateurs d'une inactivité physique dite prolongée.
Le comportement sédentaire est caractérisé par une dépense énergétique faible en position assise ou allongée (excluant le sommeil) : regarder la télévision, être assis dans une auto, dans les transports en commun, dans un bureau, lire, etc.
L'inactivité professionnelle marquée par l'ennui et la démotivation ou au contraire surmenage, épuisement professionnel, ainsi que toute situation de stress professionnel ou toute difficulté familiale (rupture affective, solitude, etc.) sont sources de fatigue.
Absence d'activité ; état de quelqu'un qui n'a pas d'occupation : Être réduit par la maladie à l'inactivité.
« Un senior sédentaire qui démarre ou reprend une activité physique intense s'expose à un surrisque cardiovasculaire transitoire (avec risque de syndrome coronaire aigu et de mort subite) ». Certes, ce risque est largement contrebalancé par le bénéfice à long terme de l'activité physique.
GROS DORMEURS - Un sommeil prolongé pourrait annoncer de mauvaises nouvelles. Les adultes qui dorment plus de neuf heures par jour ont deux fois plus de risques de développer une maladie neurodégénérative dans les dix ans. Surpoids, dépression, tension artérielle…
Quel que soit votre choix, il est recommandé de pratiquer chaque jour 30 minutes de marche rapide, ou son équivalent. Si vous choisissez une activité physique d'intensité plus faible, telle que la marche lente ou la pétanque, il est conseillé de la pratiquer sur un temps plus long.
une perte d'appétit ; des troubles de l'attention ; des troubles du sommeil ; des symptômes dépressifs.
La marche. La marche fait, elle aussi, partie des meilleures disciplines à pratiquer pour rester en bonne santé. Réduction du taux de cholestérol, renforcement des os, contrôle de la pression artérielle, amélioration de l'humeur, ou encore réduction du risque de maladies cardiovasculaires…
Selon l'OMS, la sédentarité est en effet associée à plusieurs maladies chroniques telles que les maladies cardiovasculaires, le syndrome métabolique, le diabète de type 2 et le cancer. De plus, la sédentarité est associée à un risque de mortalité plus élevé (Stamatakis et al., 2019).
La prévention des risques liés à l'activité physique nécessite de convaincre l'entreprise de s'engager dans une action de prévention, de la construire par la mise en place de moyens, d'outils, d'une méthode…, de conduire l'action au cours du temps et de l'évaluer à chaque étape de son avancement.
L'activité physique est fortement recommandée pour prévenir des pathologies chroniques et contribuer au traitement d'un très grand nombre d'affections de longue durée comme le cancer, le diabète ou l'obésité mais également les maladies neurodégénératives et psychiatriques.