La subordonnée conjonctive circonstancielle de cause est introduite par les conjonctions parce que, puisque, comme, vu que, sous prétexte que, etc. Il est arrivé en retard parce que sa voiture est tombée en panne. Il est arrivé en retard sous prétexte que sa voiture est tombée en panne.
La subordonnée conjonctive circonstancielle de conséquence peut être… introduite par les conjonctions : au point que, de sorte que, de façon que, si bien que ; Exemple : Bob est très intelligent [si bien qu'il réussit sans peine].
Elle peut être exprimée par une proposition subordonnée circonstancielle, introduite par : parce que. comme, puisque, étant donné que, vu que (cause incontestable) → Puisque vous êtes là, nous pouvons partir. sous prétexte que (cause douteuse) → Il n'est pas venu, sous prétexte qu'il était malade.
Il existe différents types de propositions subordonnées : les subordonnées relatives, les subordonnées complétives et les subordonnées circonstancielles.
La cause est la raison d'un fait, on la trouve souvent derrière « car », « à cause de », « parce que », etc. La conséquence est le résultat d'une cause, on la trouve souvent derrière « donc », « par conséquent », « si bien que », etc.
Les fonctions de la cause
La cause a une triple fonction : Protection du consentement des parties et de l'équilibre du contrat. Protection de l'ordre social (cause illicite ou immorale).
Différence entre grâce à et à cause de
Grâce à s'emploie pour un résultat heureux, alors que à cause de s'utilise pour un résultat le plus souvent malheureux. C'est à cause de toi que j'ai perdu ma clé, mais c'est aussi grâce à toi que j'ai découvert qu'on en cachait une sous le paillasson.
Les subordonnées exprimant l'opposition simple sont introduites par alors que, tandis que, quand, lorsque + indicatif. Alors qu'il aime la musique, Jean ne peut jamais en écouter. Attention à ne pas confondre ces subordonnées avec celles de temps introduites par les mêmes conjonctions.
Il existe trois sortes de propositions subordonnées : – les propositions subordonnées complétives ; – les propositions subordonnées circonstancielles ; – les propositions subordonnées relatives.
-'à cause de...'est une locution prépositive qui exprime une cause négative suivie d'un nom .
Ce qui produit quelque chose. Synonyme : agent, explication, facteur, fondement, germe, mobile, moteur, motif, origine, raison, source, sujet. – Littéraire : principe, ressort.
Une cause présente la raison de quelque chose, c'est un élément qui en produit un autre, c'est un fait qui en entraîne un autre, etc. Une conséquence explique ce qui arrive (l'effet), c'est le résultat de quelque chose (les répercussions).
La proposition subordonnée conjonctive circonstancielle de but est introduite par pour que, afin que, de peur que. Ex. : Il s'adresse à un ami pour qu'il l'aide à trouver du travail. Il lui rappelle sa promesse de peur qu'il ne l'oublie.
La subordonnée de condition introduite par si est toujours à l'indicatif. Le mode de la principale, lui, varie : si la condition est considérée comme sûre, la principale est à l'indicatif (ou à l'impératif) ; Exemple : Si tu pars, je t'accompagnerai. si la condition est incertaine, la principale est au conditionnel.
La subordonnée complétive est une phrase enchâssée introduite par un subordonnant, qui est généralement la conjonction de subordination que. Je crains que nous soyons en retard.
Définition de la subordonnée concessive
En grammaire, la subordonnée concessive n'est pas exactement une concession faite à un adversaire ; elle désigne un facteur qui aurait pu influer sur le procès, mais en définitive ne l'a pas fait : Par exemple : "bien qu'il soit malade, il continue à travailler".
La proposition conjonctive est une subordonnée introduite par une conjonction de subordination (que, lorsque, puisque, quoique, comme, si et quand) ou par une locution conjonctive (parce que, bien que…). Nous avons exigé qu'il soit présent à notre prochaine rencontre.
Les propositions subordonnées complétives
La proposition subordonnée complétive ne remplace pas un nom mais complète un verbe grâce à une conjonction de subordination. Exemple : Je souhaite que tu ailles à l'école. Je pense que tu devrais travailler plus.
Il en existe beaucoup d'autres : attendu, avant, avec, concernant, contre, dans, de, depuis, derrière, dès, devant, durant, entre, envers, excepté, hormis, hors, malgré, moyennant, outre, par, parmi, passé, pendant, plein, pour, près, proche, selon, sous, suivant, supposé, sur, touchant, vu, etc.
La proposition principale
Une proposition qui contient un terme dont dépend une autre proposition est appelée proposition principale. « il explique » est une proposition principale car elle contient le verbe explique dont dépend la proposition « comment l'auteur décrit une période de sa vie ».
À cause de,
en raison de, pour ce motif : La voiture a dérapé à cause du mauvais état des pneus.
Il faut écrire : Quelle que soit la raison de son retard, nous ne pouvons l'accepter. Le terme qui fait problème est, dans notre phrase, suivi d'un verbe (« soit »). C'est là le signe qu'il doit s'écrire en deux mots.
2) Dans une phrase complexe,
parce que, comme (obligatoirement placé en tête de phrase), parce que, puisque (suppose que la cause est déjà connue), étant donné que, sous prétexte que, d'autant que.