Un exercice régulier comme la course à pied aide à renforcer votre système immunitaire et réduit le niveau d'hormones du stress, ce qui peut vous protéger contre les symptômes du rhume.
Pratiquer un sport en étant malade peut donc, outre vous offrir des performances limitées, aggraver votre état et engendrer une fatigue intense. Cela ralentit votre rétablissement qui lui, vous permettrait de reprendre une activité sportive normale dans les meilleurs délais.
Pour laisser à l'organisme le temps de se remettre, mieux vaut attendre le bon moment pour reprendre une activité, sans trop se précipiter. "Il est recommandé d'attendre 3 à 4 jours après une maladie bénigne type bronchite, rhume etc.
Toujours pour dégager vos voies respiratoires, vous pouvez opter pour un lavage de nez avec une solution spéciale à base d'eau de mer. Pratiqué avant le coucher, il vous aidera à mieux dormir la nuit et par conséquent à récupérer.
Parmi les symptômes pouvant survenir par la suite, il y a les maux de tête, le nez bouché, les yeux larmoyants, une toux quinteuse, des frissons, des muscles endoloris et des malaises généraux (se sentir malade), qui durent de deux à sept jours. Dans certains cas, ils peuvent durer deux semaines.
Pour un rhume classique, garder le lit pendant un jour ou deux suffit en général pour retrouver la forme. Même si l'on n'est pas encore totalement rétabli au bout de deux jours, il peut être préférable de se lever et de s'asseoir sur une chaise, afin que le corps retrouve un rythme normal.
Grippes, gastros et autres maux de ventre sont bien souvent accompagnés de fièvres parfois fortes. Dans ces cas précis, mieux vaut s'abstenir de toute pratique sportive : il faut que votre corps puisse concentrer toutes ses ressources à votre guérison.
Pourquoi est-on fatigué ? Lorsqu'on est malade, la baisse de régime s'explique par la lutte entre notre système immunitaire et le virus responsable de l'infection. Ce combat contre la maladie mobilise les réserves de notre corps.
«Si c'est le début d'une infection virale, l'activité physique peut être une bonne chose puisqu'elle permet de drainer le liquide de congestion nasale et sinusale», estime Blaise Dubois, physiothérapeute et président-fondateur de la Clinique du coureur.
Les réponses avec le Dr Jean-Jacques Larzul, pneumologue : "Non, bronchite et essoufflement durant le sport ne sont pas liés. Le sport ne peut pas être néfaste dans le cadre d'une maladie aiguë. Ou alors il faut vraiment que le sport soit très intensif.
Résultat: la liste des pathologies que le sport aide à combattre est longue, des problèmes cardio-vasculaires au diabète en passant par les insuffisances respiratoires, l'obésité, la dépression, l'hypertension, l'ostéoporose, l'arthrose et les maladies neurodégénératives.
À quel moment de la journée est-il préférable de courir ? D'un point de vue physiologique, les études définissent le meilleur moment pour courir entre 15 h et 17 h. Mais votre meilleur moment pour courir est celui durant lequel vous ne subirez pas votre séance.
Préparez-vous ! Le fait de courir par 30 °C n'est pas sans risques, et peut très facilement provoquer la déshydratation et la surchauffe de l'organisme, entraînant des crampes, une transpiration excessive, des maux de tête, des nausées, de la fatigue et des étourdissements.
Voici le top 10 des sports féminins : gymnastique, équitation, randonnée pédestre, natation, volley ball, badmington, basket ball, athlétisme, ski, handball.
Le football améliore les performances musculaires.
L'étude a révélé respectivement 27 %, 15 %, 47 % et 28 % de réduction du risque de décès prématuré chez ceux qui pratiquent l'aérobic, le cyclisme, un sport de raquette ou la natation.
Il a été prouvé que plus la température du corps est élevée, meilleures sont les performances physiques. Or, comme la température du corps est à son maximum en fin d'après-midi, on peut donc considérer qu'à partir de 16h/17h, c'est le moment idéal pour faire du sport si l'on souhaite dépasser ses performances.
Position couchée : Le mucus s'évacue moins facilement de vos voies respiratoires lorsque vous êtes couché. En effet, le mucus peut s'accumuler dans la gorge, ce qui déclenche la toux. Durant la journée, vous bougez et avalez souvent, ce qui réduit les sécrétions nasales.
Ne pas sortir de chez soi va également avoir un impact sur la forme physique, puisqu'en restant en permanence sur place, on s'expose à la prise de poids.
Jours 3 à 4 : intensification du mal de gorge, nez qui commence à couler. Même si les symptômes sont encore limités, c'est durant ces quatre premiers jours qu'on est le plus contagieux. Jours 5 à 7 : le rhume est à son pic.
Pas vraiment. « On aura beau s'installer au pôle Nord, pieds nus et cheveux mouillés, s'il n'y a que des phoques et des ours polaires pour nous tenir compagnie, on n'attrapera pas le rhume! » s'exclame le Dr Karl Weiss, microbiologiste et spécialiste en maladies infectieuses à l'Hôpital général juif de Montréal.
Ne pas dormir suffisamment, ou avoir un sommeil de mauvaise qualité est un autre facteur qui peut diminuer la capacité de votre système immunitaire et vous empêcher de vous rétablir rapidement d'un rhume.
Pour diminuer l'inconfort du rhume, un seul médicament est préconisé, le paracétamol que l'on appelle également acétaminophène (Doliprane®, Tylenol®, Efferalgan®, Dafalgan®, Panadol®, Dolko®, Geluprane®) Ce médicament diminue les maux de tête, le mal de gorge éventuel et fait baisser la fièvre.