Un bilan sanguin pour vérifier que vous vous portez bien La première étape consiste à analyser le niveau d'œstradiol et de FSH (hormone folliculostimulante).
Comment marche le test ménopause ? Ces tests reposent sur le dosage de la FSH urinaire, l'hormone stimulante du follicule dont la concentration s'accroît sensiblement au moment de la ménopause. Ils permettent de déterminer une concentration du FSH supérieure à 25 Unités, témoin de l'entrée dans la périménopause.
En plus d'un interrogatoire et d'un examen clinique, les femmes doivent bénéficier d'un bilan sanguin régulier avec dosage sanguin de la glycémie (taux de sucre), du cholestérol et des triglycérides (graisses) afin de dépister un diabète et une dyslipidémie, qui sont des facteurs de risques cardiovasculaires.
Diagnostiquer une ménopause précoce avec un test sanguin
Le médecin va prescrire à la patiente une prise de sang pour doser les taux hormonaux de la patiente : son taux d'oestradiol (la forme active de l'oestrogène), et son taux de FSH (follicule stimulating hormone).
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Le traitement hormonal substitutif de la ménopause dans certaines situations. Un traitement hormonal substitutif de la ménopause (THM) peut être proposé par le médecin traitant ou le gynécologue, si le bénéfice de ce traitement est estimé supérieur aux risques qu'il induit.
Le bilan hormonal s'effectue en laboratoire, à l'hôpital ou dans une clinique. Si votre situation le nécessite, il peut également se réaliser à domicile. Présentez-vous avec une ordonnance sur laquelle seront précisées les hormones à analyser.
La ménopause est généralement divisée en trois phases: la préménopause, la ménopause et la postménopause. La préménopause est la période qui précède la ménopause, où les fluctuations hormonales sont plus prononcées.
L'âge moyen de la préménopause en France est fixé à 47 ans et cette période dure en général entre 2 à 4 ans, jusqu'à ce que la ménopause soit définitivement installée1.
Certaines personnes présentent des symptômes légers, mais d'autres peuvent avoir des symptômes plus lourds. Vous pouvez aussi ne ressentir aucun symptôme. Dans la plupart des cas, cette pathologie peut causer des douleurs dans le bas du ventre ou dans le dos, généralement plus fortes pendant les règles.
Le taux de FSH est supérieur à 8,3 UI dans 94 % des cas quand le cycle est irrégulier et l'abondance des règles modifiée ; dans le groupe des femmes avec modifications du cycle, le taux de FSH est même supérieur à 22 UI (taux de ménopause) dans un tiers des cas.
On considère qu'il faut 12 mois d'aménorrhée spontanée avant de pouvoir parler de ménopause. On peut aussi poser le diagnostic de ménopause de façon fiable et plus confortable pour nos patientes après 3 mois d'aménorrhée malgré une séquence progestative prescrite 10, 15 ou 20 jours par mois 3 mois de suite.
En période de périménopause, un traitement à base de progestatifs ou un contraceptif oral faiblement dosé peut soulager les troubles. Il est prescrit en l'absence de contre-indication médicale. Le médecin s'assure qu'une contraception efficace est poursuivie.
Les dosages peuvent cependant avoir un intérêt dans certains cas particuliers, comme en cas d'hystérectomie ou lors du passage de la pilule estroprogestative au THS. Deux dosages hormonaux plasmatiques suffisent alors FSH et estradiol. C'est l'aménorrhée définitive qui va confirmer le diagnostic de ménopause.
Certaines femmes en préménopause ont leurs règles tous les 15 jours et passent donc en cycle menstruel court voire très court. Bref le mot d'ordre des règles à la préménopause ce sont des règles irrégulières.
Une valeur de LH est normale si elle est proche de celle de la FSH. Une LH supérieure à la FSH permet indique souvent des Ovaires polykystiques (OPK). Le pic de LH est suivi de l'ovulation, dans les 24-48 heures.
Préménopause et fatigue, comment l'expliquer ? Pendant la préménopause, les niveaux d'œstrogène et de progestérone de votre corps commencent à fluctuer. Ces fluctuations entraînent des symptômes qui peuvent mener à la fatigue de la préménopause.
Ce phénomène est mal expliqué, mais apparait lié à la diminution du taux des hormones féminines. Cette tendance à la prise de poids ne doit pas être négligée, car elle peut se poursuivre de facon progressive et insidieuse et sera plus difficile à contrôler après la ménopause.
les changements dans la régularité et le flux du cycle menstruel, aboutissant à l'arrêt définitif des règles ; la sécheresse vaginale, les douleurs pendant les rapports sexuels et l'incontinence ; les troubles du sommeil/insomnies ; et. les changements d'humeur, la dépression et/ou l'anxiété.
Le plus souvent, la ménopause n'arrive pas brutalement, certains signes avant-coureurs peuvent apparaître avant l'arrivée de la ménopause et c'est ce que l'on appelle la pré-ménopause, une période qui dure de quelques mois à 7 ans (en moyenne 3 ans, entre le premier dérèglement et l'arrêt du cycle).
Après douze mois sans saignements, la ménopause est confirmée. Ce phénomène ne survient pas brutalement: il passe par une période de transition, la périménopause, qui s'étend généralement sur plusieurs années (un à huit ans).
Pendant la période précédant la ménopause, les femmes peuvent encore avoir des cycles menstruels irréguliers et parfois ovuler. Cela signifie que, bien que les chances de concevoir soient moindres, elles ne peuvent pas être totalement exclues.
Les analyses peuvent être effectuées sans ordonnance.
Le laboratoire vous demandera simplement le nom de votre médecin traitant et de remplir une fiche de demande d'examens sans ordonnance. Les analyses vous seront facturées et ne seront pas remboursées par la Sécurité Sociale.
Le bilan hormonal est idéalement pratiqué à J-3, ou entre le 2ème (J-2) et le 4ème (J-4) jour du cycle menstruel (le premier jour du cycle étant le premier jour des règles) en ce qui concerne la FSH, LH, 17 Bêta Oestradiol, Progestérone, Inhibine B.