La chimioradiothérapie est l'un des traitements principaux du cancer du col de l'utérus de stade 3. On administre la chimiothérapie et la radiothérapie pendant la même période afin de rendre la radiothérapie plus efficace.
Lorsqu'il est diagnostiqué à un stade précoce (stade I et stade II) – ce qui représente heureusement la plupart des cas – ses chances de guérison oscillent entre 70 % et 90 %.
Le stade 3 correspond à un envahissement des ganglions lymphatiques ou des tissus avoisinants, Le stade 4 - cancer métastatique - correspond à une extension à distance, donc à l'existence de métastase.
Le traitement de référence est la radiochimiothérapie concomitante. Elle associe une radiothérapie externe, une chimiothérapie et une curiethérapie.
Les taux de guérison sont élevés mais dépendent du stade. Lorsque le cancer du col de l'utérus est : microscopique (micro-invasif), il est proche de 100 % limité au seul col utérin, 80 à 85 % des malades peuvent être guéries.
Chaque année, près de 3000 femmes développent un cancer du col de l'utérus et 1000 femmes en meurent. Le cancer du col de l'utérus est attribuable dans la grande majorité des cas à une infection persistante par un papillomavirus humain (HPV) à haut-risque, infection très fréquente, transmissible par contact sexuel.
Peut-on en guérir ? "Dans des cas très exceptionnels, il est possible de guérir d'un cancer métastatique, mais cela reste très rare, précise l'experte. La maladie n'est pas curable mais traitable. On arrive à faire régresser les métastases et à contrôler la maladie pour éviter ses complications.
Les agents chimiothérapeutiques les plus souvent administrés pour traiter le carcinome de l'endomètre sont les suivants : doxorubicine (Adriamycin) doxorubicine liposomale (Myocet) cisplatine (Platinol AQ)
Risques de l'intervention
Le principal risque est hémorragique. Il peut survenir soit immédiatement lors de la conisation et nécessiter la mise en place de points hémostatiques ou d'une mèche vaginale. Le risque hémorragique peut également survenir quelques jours après l'intervention, après le retour à domicile.
Ils n'apparaissent que lorsque la tumeur a commencé à se développer et peuvent faire penser à d'autres pathologies telles que la fatigue, des pertes vaginales, des douleurs lors des rapports sexuels ou encore une perte d'appétit.
L'extension du cancer
Stade 1: la tumeur est unique et de petite taille. Stade 2: la tumeur est plus volumineuse. Stade 3: la tumeur envahit les ganglions lymphatiques ou les tissus avoisinants. Stade 4: présence de métastases dans d'autres organes à distance de la tumeur d'origine.
Stade IB1 : Lésions cliniques de taille ne dépassant pas 4 cm. Stade IB2 : Lésions cliniques de taille supérieure à 4 cm. Stade II : Tumeur s'étendant au delà de l'utérus mais ne touchant pas la paroi pelvienne ni le tiers inférieur du vagin • Stade IIA : Pas d'atteinte paramétriale évidente.
le cancer du poumon (1,80 million de décès) ; le cancer colorectal (916 000 décès) ; le cancer du foie (830 000 décès) ; le cancer de l'estomac (769 000 décès) ; et.
Cela peut être une source d'anxiété et c'est normal ! Le désir et les rapports sexuels ne sont, en général, pas affectés par une hystérectomie. La chirurgie ne modifie pas votre capacité à ressentir du plaisir. Vous n'avez pas besoin de votre utérus pour avoir un orgasme !
On peut avoir des compressions des uretères avec les urines qui ne s'écoulent plus. Et si on laisse le cancer évoluer il va atteindre la vessie, le rectum. Et des métastases peuvent se développer. "Le cancer du col de l'utérus est un modèle pour les cancérologues puisqu'il est dû au papillomavirus.
Cette propagation porte le nom de métastase. Région de la cavité thoracique située entre les poumons, le sternum et la colonne vertébrale qui contient le coeur, les gros vaisseaux sanguins, le thymus, la trachée, l'oesophage et les ganglions lymphatiques.
L'attitude à adopter en cas de sténose du col avec test HPV positif après une conisation est de bien inspecter les parois vaginales, si besoin avec application de lugol. Il convient aussi de faire l'examen systématique de la vulve, du périnée et de la région périanale.
Les suites ne sont pas douloureuses, mais sont marquées par des petites pertes jaunâtres ou rosées voire un leger saignement (comme des regles) qui témoignent de la cicatrisation.
Visite post-opératoire :
La conisation est une intervention bien souvent simple, dont les suites sont peu génantes. Le risque le plus important, pouvant toucher environ 3% des patientes, est l'hémorragie secondaire. Celle-ci surveint dans les 10 jours de l'intervention et correspond à la chute d'escarre.
Le cancer du col de l'utérus est soigné par une équipe médicale pluridisciplinaire. Adapté à chaque cas, le traitement repose sur la chirurgie, la radiothérapie et la chimiothérapie. Ces traitements peuvent être utilisés seuls ou en association, selon le type de la tumeur et son stade de développement.
Des douleurs pelviennes peuvent être l'un des symptômes d'alerte d'un cancer du col de l'utérus. "Malheureusement le plus souvent, quand la femme a mal au niveau de la région pelvienne (partie basse du ventre), on est sur un cancer qui est déjà bien avancé", prévient le Pr Carcopino.
La chimiothérapie curative peut guérir totalement et définitivement certains cancers. Elle s'utilise seule ou en complément de la chirurgie, de la radiothérapie et/ou de l'hormonothérapie. À défaut de guérir totalement et définitivement un cancer, la chimiothérapie curative peut aussi induire une rémission.
L'ascite se manifeste le plus souvent en présence d'un cancer de l'ovaire, de l'utérus, du col de l'utérus, colorectal, de l'estomac, du pancréas, du sein ou du foie. Un cancer qui se propage au foie peut aussi causer l'ascite.
La loi indique que toute personne a le droit de refuser un traitement, même si sa décision met sa vie en danger. Un malade bien informé sur son état de santé et les risques qu'il court peut en effet estimer que les bénéfices des soins qu'on lui propose ne valent pas leurs contraintes.