On utilise la structure "Si + verbe à imparfait, verbe au conditionnel présent" pour exprimer une hypothèse. Exemple : Si j'avais une baguette magique, je changerais beaucoup de choses. Le conditionnel présent est formé sur la base du futur simple mais avec les terminaisons de l'imparfait.
Notes. Cette locution conjonctive est suivie de l'imparfait ou du plus-que-parfait.
Les phrases avec si doivent respecter la concordance des temps : Pour exprimer une quasi-certitude ou probabilité : Si + présent de l'indicatif → verbe 2 à l'indicatif (présent ou futur simple) ou à l'impératif. Pour exprimer une hypothèse (incertain) : si + imparfait → verbe 2 au conditionnel présent.
Le verbe qui suit « como si » est à l'imparfait en français, on utilise donc du subjonctif imparfait en espagnol. En français : comme si + plus-que-parfait du subjonctif. En espagnol : como si + subjonctif plus-que-parfait.
Les phrases qui se forment avec si indiquent une condition. Le temps utilisé après si change selon que l'hypothèse est réalisable, peu probable ou irréalisable. Si tuviera coche, te llevaría al aeropuerto. Si j'avais une voiture, je t'emmènerais à l'aéroport.
Si est suivi d'un verbe à l'imparfait pour exprimer la(les) condition(s) (ou probabilités) sans laquelle (lesquelles) un événement ou une action ne pourrait se réaliser, puis d'un verbe au conditonnel présent pour lequel les conditions énumérées précédemment sont nécessaires pour sa réalisation concrète.
Si peut être un nom invariable désignant une note de musique. Si peut aussi être un adverbe de quantité, d'intensité ou d'affirmation. Si peut également être une conjonction de subordination.
Dans le cas contraire, il convient presque toujours d'écrire « si », conjonction de subordination qui marque une condition (« si Léo vient, je serai content »), une affirmation (« mais si, il est d'accord ») ou une intensité (« il est si beau ! »)
SI : adverbe d'intensité dans une phrase exclamative. Ce paysage est si beau ! SI : conjonction introduisant une interrogation indirecte. Je ne sais pas si elle est chez elle.
La conjonction « si » introduit généralement une subordonnée circonstancielle de condition qui est complément de phrase. Elle est invariable et unit seulement des phrases. Emploi : La conjonction « si » exprime une condition, une supposition, une hypothèse probable, éventuelle, ou encore contraire à la réalité.
Notez : Après un conditionnel présent, si le verbe de la subordonnée doit être au subjonctif, il se met au présent ou à l' imparfait (Je voudrais qu'elle écrive ou Je voudrais qu'elle écrivît).
Pourquoi n'écrit-on pas « si j'aurais su » ? Parce que la présence de la conjonction si exprime déjà une condition ou une supposition, inutile alors d'en ajouter une autre en employant le conditionnel. le verbe placé après si . Ce verbe-là est donc toujours à un temps passé de l'indicatif.
On utilise SI (et pas OUI) lorsque l'on répond à une question négative de manière affirmative.
Définition de si conjonction et nom masculin invariable devient s' devant il, ils. Introduit soit une condition (à laquelle correspond une conséquence dans la principale), soit une simple supposition ou éventualité.
Comme si. Comme si (+ indicatif imparfait ou plus-que-parfait) : il réagit comme s'il s'en moquait. Construction la plus courante. Comme si (+ subjonctif plus-que-parfait) : il réagissait comme s'il se fût moqué de nous.
On doit éviter d'employer de façon interchangeable les locutions bien que et même si. La locution conjonctive bien que introduit une concession qui vise une situation passée ou présente, tandis que même si sert à introduire une hypothèse ou une éventualité.
Pour une action postérieure à l'action principale, on utilise le conditionnel présent. Gérard nous demandait pourquoi nous n'irions pas travailler. Imparfait → conditionnel présent. Quand les deux actions sont simultanées, on utilise généralement l'imparfait.
● «Si j'aurais su»
C'est même tout le contraire! Rappelons la règle: lorsqu'on emploie la conjonction «si», qui traduit de fait une condition, il est inutile d'y ajouter un verbe conjugué au conditionnel. Ainsi, il faut écrire: «Si j'avais su, je ne serais pas venu.»
Alors que, répondre « oui » à une question interro-négative confirmerait « la négation » de la question ce qui ne veut rien dire puisque la réponse est positive. Le « si » est donc là pour transformer une question négative en réponse positive.
non! ¡No!
sí adv. Ah, sí, los marcianos, sí, sí, sí. Alors oui, nous voulons un bébé. Entonces sí, estamos tratando de tener un bebé.