Privilégiez les aliments bénéfiques à notre santé (fruits, légumes, féculents de préférence complets, poissons…) Limitez la consommation de produits sucrés, salés et gras. L'équilibre alimentaire ne se construit pas sur un repas ou une journée mais plutôt sur la semaine.
«Le yoga, la sophrologie, la relaxation ou la méditation, peuvent aider à les réduire», affirme la gynécologue. «Une méta-analyse d'études de l'acupuncture sur des survivantes de cancers du sein a démontré une réduction des bouffées de chaleur (2)», ajoute le Dr Saghatchian.
Les nausées et vomissements peuvent se produire quand on prend certains médicaments hormonaux. En général, ces effets secondaires s'atténuent au fur et à mesure que le corps s'habitue au médicament. Le fait de prendre les médicaments avec de la nourriture ou au coucher peut aider à soulager ces effets.
En effet, les scientifiques ont étudié si un apport quotidien de 30 grammes d'amidon résistant -- une sorte d'amidon qui n'est pas digérée par l' intestin grêle -- présent dans les bananes vertes, les pommes de terrepommes de terre ou encore les légumineuses peut prévenir l'apparition de certains cancers.
Les baies : framboises, myrtilles, mûres, groseilles, goji, açaï, canneberge etc … Ces petits fruits colorés brillent par leur teneur en polyphénols antioxydants, essentiels dans la prévention du cancer.
Le tamoxifène administré pendant 5 ans a longtemps été le traitement standard en situation adjuvante quel que soit le statut ménopausique, permettant une réduction significative du risque de récidive et de mortalité par cancer du sein à 15 ans de 39% et 30% respectivement (1).
L'hormonothérapie est le plus souvent très efficace, notamment dans le traitement des cancers du sein hormono-dépendants (près des trois-quarts des cancers du sein), où elle est souvent prescrite en complément d'une chimiothérapie. Elle a fait chuter la mortalité liée aux cancers du sein.
Contrairement à la chimiothérapie ou à la radiothérapie, qui cherchent à tuer rapidement les cellules cancéreuses, l'hormonothérapie vise à entraîner leur mort à plus long terme en créant un milieu hormonal qui leur est défavorable.
La fatigue, une prise de poids et des bouffées de chaleur sont également en rapport avec cette privation hormonale. En cas de prise d'anti-aromatases, des douleurs musculaires et articulaires peuvent être ressenties.
La chimiothérapie, la radiothérapie, l'hormonothérapie et le traitement ciblé peuvent provoquer une perte de poils et de cheveux. Si certains traitements entraînent inévitablement une perte de poils et de cheveux, dans d'autres cas il sera difficile de prévoir si un tel effet se produira.
Les effets secondaires recensés du traitement hormonal sont : saignements vaginaux, ballonnements, hypersensibilité des seins, maux de tête, nausées, vaginites et démangeaisons vaginales, crampes dans les jambes, sautes d'humeur et perte d'appétit sexuel.
Manger quotidiennement des céréales complètes est associé à un risque moins élevé de diabète de type 2, de maladies cardiovasculaires, d'obésité et de certains cancers.
Jus de carotte.
C'est un concentré de caroténoïdes, au-delà de la prévention du cancer, ils sont particulièrement utiles pour la rétine et la peau. La carotte possède aussi l'avantage de donner un bon goût aux jus et constitue ainsi sa base.
La confiance en soi
En l'associant pleinement aux décisions familiales ou professionnelles difficiles, on évitera de donner au patient le sentiment qu'il sort fragilisé ou diminué de sa maladie. Réaliser que les autres lui rendent sa place, pleine et entière, l'aidera à reprendre progressivement confiance en lui.
Les principaux cancers hormonodépendants sont les cancers du sein et de la prostate, qui sont sensibles aux hormones sexuelles. Les tumeurs hormonodépendantes se forment principalement dans des tissus dont le fonctionnement est normalement régulé par des hormones.
Les métastases se développent de préférence dans les poumons, le foie, les os, le cerveau. Ce n'est pas un autre cancer, mais le cancer initial qui s'est propagé. Par exemple, une métastase d'un cancer du sein installée sur un poumon est une tumeur constituée de cellules de sein ; ce n'est pas un cancer du poumon.
La rechute est liée à une destruction incomplète des cellules cancéreuses lors du premier traitement. Ces cellules vont se multiplier et peuvent rester « dormantes » pendant des mois ou des années, ce qui explique les récidives tardives(2).
Les complexes homéopathiques contre les bouffées de chaleur
Comme l'acupuncture, l'homéopathie est efficace contre les symptômes de l'hormonothérapie, dont les bouffées de chaleur.
THS : quand l'arrêter ? Au bout de deux ans, il est souvent conseillé de suspendre le traitement hormonal substitutif une fois par an pour voir s'il est toujours nécessaire ou si l'on ne peut pas diminuer les doses.
Une alimentation riche en aliments contenant du sucre fait habituellement engraisser et la recherche scientifique indique que l'obésité augmente le risque de cancer. L'obésité peut provoquer des fluctuations hormonales, lesquelles peuvent aussi accroître le risque de cancer.
Des propriétés anti-cancéreuses
Le miel a montré son efficacité dans plusieurs cancers, comme le cancer de la prostate, le cancer du sein ou bien encore les cancers colorectaux ou du foie2-3-4-5.
le cancer du poumon (1,80 million de décès) ; le cancer colorectal (916 000 décès) ; le cancer du foie (830 000 décès) ; le cancer de l'estomac (769 000 décès) ; et.