La ponction ovocytaire a lieu en salle de ponction du Centre d'AMP, par voie endo-vaginale (voie naturelle), sous anesthésie locale le plus souvent, à l'aide d'une sonde d'échographie vaginale munie d'une aiguille.
Il est possible que vous présentiez des douleurs abdominales durant les jours suivants la ponction d'ovocytes. Si nécessaire, vous pouvez prendre du paracétamol (maximum 4 x 1 g/jour). Par contre, les anti-inflammatoires (par exemple ibuprofène) sont contre-indiqués. Quant à d'éventuels saignements, rassurez-vous.
Vous aurez peut-être une sensation de ballonnement
Après plusieurs jours d'injections, vous vous sentirez peut-être ballonnée. Le jour de votre ponction, vous vous rendrez peut-être compte que vous avez pris quelques kilos. Ne paniquez pas.
Quelle technique d'anesthésie pour le FIV ? Le plus souvent, une sédation - associée à l'anesthésie locale réalisée par le gynécologue - est suffisante.
Investissez dans plusieurs tuniques. Tout comme les jupes maxi fluides, elles seront vos amies. Elles ne sont pas moulantes, donc si vous prenez un peu de poids vous n'aurez pas à rentrer votre ventre autant dans ces hauts.
Après la ponction, et jusqu'à ce que vos règles reviennent, il est préférable de ne pas avoir de rapports afin d'empêcher la fécondation d'un ovocyte qui aurait pu être libéré. Rappelez-vous que lors de la phase de stimulation, vous devez vous faire la piqûre tous les jours à la même heure.
Vos règles se déclencheront très rapidement (entre 4 et 8 jours après la ponction) : c'est normal et c'est même attendu! Ne soyez donc pas surprise. Revoyez votre médecin en consultation pour envisager la suite du protocole et la décongélation d'embryons.
Si elle est un peu importante, elle peut occasionner des douleurs persistantes durant quelques jours. Il s'agit souvent d'un ballonnement abdominal avec constipation et de douleurs dans les épaules.
Ce protocole permet une bonne programmation. Il à l'inconvénient d'être long : la ponction a lieu généralement 5 semaines après le début du blocage.
Comment va se dérouler l'intervention ? Le prélèvement est réalisé avec une aiguille introduite après anesthésie locale dans la lésion sous guidage radiologique. Des petits fragments de tissu ou du liquide seront aspirés. L'image de l'écran de télévision permettra un guidage précis de l'aiguille.
Le déclenchement de l'ovulation dans le processus de l'hyperstimulation contrôlée en FIV est une étape cruciale pour la reprise de méiose et l'obtention d'ovocytes matures, seuls capables d'être fécondés.
Nous vous recommandons seulement de ne pas aller aux toilettes et vider votre vessie juste avant l'implantation. En effet, la vessie pleine ou à moitié pleine contribue à redresser l'utérus et facilite alors l'implantation des embryons dans l'utérus.
Pour connaître la réserve ovarienne et pouvoir l'évaluer et la quantifier, cela se fait par : Analyse de l'hormone antimüllérienne bien connue (AMH), l'hormone folliculo-stimulante (FSH) et estradiol. Le comptage des follicules antraux, réalisée par échographie dans les premiers jours du cycle menstruel.
Lorsque les follicules ont atteint une taille jugée optimale (16 - 18 mm), et que le taux d'oestradiol est suffisant, l'ovulation est déclenchée par une injection d'HCG (Hormone Chorionique Gonadotrophine).
Le déclenchement de l'ovulation intervient lorsque l'on peut recenser deux à trois follicules d'un diamètre supérieur à 16 mm. Le taux d'œstradiol doit par ailleurs atteindre de 150 à 250 pg/ml.
Comment se déroule le transfert ? Les embryons sont décongelés le jour même ou la veille du transfert. Le conjoint doit être obligatoirement présent car il doit signer l'accord de décongélation des embryons et choisir avec sa conjointe le nombre d'embryons à transférer.
En examinant ce résultat de plus près, on constate que le taux de réussite des FIV atteint 53,48 % au 1er essai, grimpe à 75,61 % au 2e essai et culmine à 86,97 % au 3e essai.
Pour protéger la santé du patient. C'est l'une des raisons les plus fréquentes, et elle consiste à éviter le risque d'hyperstimulation ovarienne.
Ce traitement hormonal concerne la femme et commence la plupart du temps entre le troisième et le cinquième jour après le début des règles. Il vise principalement à stimuler la maturation ovocytaire et/ou à préparer la muqueuse utérine à l'implantation de l'embryon.
Cependant il existe quand même certaines limites à cette protection, la salariée se doit de justifier d'un certificat médical chaque rendez-vous médical. En effet, toutes les absences doivent être justifiées auprès de l'employeur avec un certificat médical mentionnant l'heure du rendez-vous médical.
La stimulation ovarienne est habituellement bien tolérée. Elle peut cependant entraîner une fatigue, des maux de tête, une tension mammaire, une prise de poids, des bouffées de chaleur, des ballonnements abdominaux, des tiraillements dans le bas ventre, et des réactions locales au point d'injection.
La PMA, ça fait grossir ? Les femmes réagissent toutes différemment aux traitements hormonaux. Certaines vont prendre un peu de poids (c'est surtout de la rétention d'eau), d'autres pas et d'autres enfin vont en perdre.
Il est préférable d'éviter les rapports sexuels les 2 jours après le transfert d'embryons.
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Deux prises de sang à quelques jours d'intervalle qui montrent un taux croissant de bêta hCG sont en faveur d'une grossesse évolutive.