Enfants et parents auront désormais droit à une grasse matinée le samedi. Les élèves de maternelle et du primaire n'auront plus cours le samedi matin dès la rentrée 2008. Le ministre de l'Education l'a annoncé à la FCPE et a rendu publique sa décision au journal de 20 heures de TF1.
Entre 1969 et 1972, le ministre Olivier Guichard procède à plusieurs réformes. Les cours du samedi après-midi sont supprimés et la semaine passe de trente à vingt-sept heures (en 1969), puis la journée d'interruption au cours de la semaine est reportée du jeudi au mercredi (en 1972).
(8h30 – 12h00 et 14h00 – 17h00) sauf le jeudi et le dimanche, bien sûr. Sinon c'était tous les jours et même le samedi ! - En 1964 ou 65 nous avions congé le samedi après-midi à 15h30. Quelques années plus tard ...
En France, jusqu'en 1972, les élèves de primaire n'allaient pas à l'école le jeudi ; le jeudi est remplacé par le mercredi de 1972 à 2014, puis par le samedi à partir de 2014.
« La journée d'école était de sept heures du lundi au samedi, le jour hebdomadaire de congé étant le jeudi. Les vacances scolaires étaient plus courtes qu'aujourd'hui.
Au début des années 1960 la fréquentation de l'école ma-ternelle est peu développée, dès le CP un cinquième des élèves sont en retard et au fil des classes le phénomène s'accentue. Avant la fin du CM2, presque la moitié des élèves ont au moins un an de retard.
En primaire, l'école le samedi matin est supprimée et l'horaire hebdomadaire est abaissé de 26 à 24 heures (+ 2 heures d'aide personnalisée pour une partie des élèves). Il n'y a plus que 144 jours de classe par an, soit 864 h.
Les trois heures libérées le samedi matin bénéficieront à «ceux qui en ont le plus besoin», à savoir les 15% d'écoliers en très grande difficulté scolaire. Xavier Darcos s'est dit favorable à la mise en place d'un système d'«école ouverte» le samedi pour pouvoir accueillir des enfants dont les parents travaillent.
En 1938, les écoliers n'étaient pas séparés en classe mais en récréation . Leur jour de repos était le jeudi et dimanche. Les filles étaient habillées avec des sabots, des chaussettes en laine, jupes avec un pull et un gilet et par dessus elles mettaient des blouses à carreaux.
Finalement, les décrets d'application de la loi Haby du 28 décembre 1976 rendent la mixité obligatoire dans l'enseignement primaire et secondaire.
L'école des années 50 était beaucoup moins moderne qu'aujourd'hui. Les tableaux numériques et vidéo-projecteurs ont remplacé les tableaux à craie, les pupitres ont laissé leur place à des tables plates, et les élèves ont troqué leur porte-plume et bouteille d'encre contre des stylos bille de toutes les couleurs.
Apprentissage et répétition
Oui, la pédagogie reposait essentiellement sur la répétition : tables de multiplication, récitations, pages d'écriture, exercices dans le Bled (la bible scolaire d'alors). C'est ainsi que les écoliers connaissaient sur le bout des doigts des poèmes dont le sens leur échappait .
En effet, à partir 1955, avec l'aisance économique accompagnant « les trente glorieuses », de très nombreuses familles salariées partent régulièrement en vacances dès le 1er juillet, désorganisant l'agencement de la fin de l'année scolaire située entre le 1er et le 15 juillet.
Claire Leconte. La réforme Peillon, qui a imposé l'école le mercredi, a été une source de fatigue pour de nombreux écoliers.
L'encyclopédie Wikipédia précise que « jusqu'en 1972 (arrêté du 12 mai 1972 avec mise en application en septembre 1972), en France, le jeudi était le jour de repos (et de catéchisme) dans la scolarité enfantine, alors que le mercredi était travaillé.
En 1969, la durée hebdomadaire est fixée à 27 heures, à l'occasion de la libération du samedi après-midi. Les trois heures dégagées doivent permettre "aux maîtres de consacrer à leur perfectionnement pédagogique un temps équivalent". En 1972, c'est la journée libre hebdomadaire qui est décalée du jeudi au mercredi.
C'était obligatoire et, pour la circonstance, on se lavait bien la veille. Tout le monde allait dans la lessiveuse, les uns après les autres. On ne changeait pas l'eau mais on n'était pas malade. L'école se faisait toute la semaine, sauf le jeudi, et on avait classe le samedi toute la journée.
En 1900, les écoles n'étaient pas mixtes. Les cours étaient séparées par un mur : une pour les filles et une pour les garçons. On allait à l'école primaire à partir 7 ans. Vers l2 ou 13ans, on passait un examen qui s'appelait le certificat d 'étude.
Outils pédagogiques : - La classe des années trente. - Feuille d'écriture à réaliser par les élèves. Dans les années trente, il n'existait pas de cantine à l'école de Bothoa. Comme dans de nombreuses écoles rurales, les enfants, les plus éloignés, allaient manger dans les auberges du bourg.
les collégiens ont cours uniquement le mercredi matin.
En 1810, les frères des écoles chrétiennes ne font pas classe le jeudi après-midi. Le jeudi est totalement libéré en 1858 dans le primaire". Le jeudi libéré a été déplacé au mercredi en 1972. Depuis plus de 130 ans en France, la majorité des instituteurs ne travaillent pas un jour en milieu de semaine ...
De Charlemagne à Jules Ferry
Il s'agit de Jules Ferry, l'instigateur des lois de 1881-82 sur l'école laïque, gratuite et obligatoire, et ces lois ont fondé le système scolaire tel qu'il existe encore aujourd'hui en France.
En clair, selon le calendrier scolaire des trente-six semaines fixé par le ministère de l'Éducation nationale, les cours des élèves doivent donc se terminer jeudi 7 juillet, inclus. « Un calendrier scolaire national est arrêté par le ministre chargé de l'éducation pour une période de trois années.
Spécificité française, le mercredi est devenu le jour des enfants. Une bouffée d'oxygène au milieu de la semaine pour les écoliers et un enjeu important pour les parents qui organisent l'emploi du temps de leurs bambins.
Les élèves retrouveront le chemin de l'école ce jeudi 1er septembre 2022, avec une fin d'année scolaire prévue le 8 juillet.