Après : c'est moi, c'est toi, c'est lui qui..., le verbe s'accorde avec le pronom moi (je), toi (tu), lui (il), etc. À retenir : C'est moi qui = je, c'est toi qui = tu, c'est lui/elle qui = il/elle, c'est nous qui = nous, c'est vous qui = vous, ce sont eux qui = ils.
La règle générale d'accord du verbe dont le sujet est le pronom relatif qui est simple : le verbe de la subordonnée relative introduite par qui s'accorde avec l'antécédent de ce pronom; on aura ainsi : il connaissait bien la femme qui arrivait ou moi qui suis tellement timide, j'ai osé lui parler.
Le participe passé est toujours invariable lorsqu'il est précédé de "que" et suivi du pronom relatif "qui". Dans cette construction, l'objet direct est la proposition relative complète avec son sujet, auquel renvoie "qui".
Il faut écrire : Après que chacun a gagné sa place, le cours commence. Si la locution « avant que » est suivie du subjonctif, « après que » entraîne nécessairement l'indicatif, ici au passé composé.
En règle générale, le verbe s'accorde avec son sujet. On peut le repérer en posant la question : "Qui est-ce qui ?" ou "Qu'est-ce qui ?". Dans le cas où il y a plusieurs sujets, on considère qu'il s'agit d'un pluriel. Pour le genre, désolé mesdames, mais le masculin l'emporte.
Remarque et à retenir ! Les verbes pronominaux suivants n'ont jamais de C.O.D. ; ils sont donc toujours invariables : se plaire, se complaire, se déplaire, se rire, se sourire, se succéder, se ressembler, se parler, se nuire, se survivre, se suffire, se convenir.
- au subjonctif: quand le fait est simplement envisagé ou souhaité (Son envie est que tu fasses ce spectacle. Le plus important est que nous gagnions ce soir). - au conditionnel: quand le fait dépend d'une condition - exprimée ou non (La vérité est que tu aurais intérêt à le faire).
L'action du verbe de la subordonnée “achète” se passe après la demande de Paul donc après l'action de la principale. Le verbe de la subordonnée est donc au subjonctif présent. Le subjonctif passé est utilisé pour exprimer l'antériorité c'est-à-dire pour parler d'une action qui se passe avant une autre.
Ces deux modes sont un peu différents même si parfois ils sont utilisés dans la même phrase. Il existe quatre temps du subjonctif : présent, passé, imparfait et plus-que-parfait.
Ainsi, si m' désigne un homme, l'accord se fait au masculin et on écrit aidé . Si m' désigne une femme, on accorde aidée au féminin, donc en ajoutant un e à la fin : elles m'ont aidée .
(Rappel, pour trouver le COD, on pose la question “quoi?/”qui?” après le verbe. Par exemple, “je mange des pommes” : je mange quoi ? -> des pommes.) Si le COD est placé devant le verbe, le participe passé s'accorde avec le COD. Par exemple, “les pommes qu'il a mangées”: le COD “que” est placé avant le verbe.
m'ont : pronom personnel me (e élidé devant une voyelle) suivi d'une forme du verbe avoir à la 3e personne du pluriel. m' est complément direct : « Tes chiens m'ont poursuivi », ou complément indirect du verbe : « Ces livres m'ont appartenu ». On peut le remplacer par m'avaient. Elles m'ont téléphoné.
Dans la langue soutenue, la règle de concordance des temps veut que le verbe de la subordonnée soit à l'imparfait ou au plus-que-parfait du subjonctif. Exemples : Je voulais qu'elle fût heureuse (imparfait du subjonctif) — Je souhaitais qu'il fût arrivé (plus-que-parfait du subjonctif).
La concordance des temps doit respecter certaines règles grammaticales selon la relation de temps entre la phrase de base, aussi appelée principale, et la subordonnée : Le verbe de la phrase de base peut être au présent, au passé, au futur ou au conditionnel.
Pour respecter la concordance des temps, on emploie le subjonctif plus-que-parfait lorsque la proposition principale de la phrase est à l'imparfait. Ensuite, il suffit de conjuguer les auxiliaires être et avoir à l'imparfait du subjonctif et de les faire suivre du participe passé.
Le subjonctif s'emploie dans la subordonnée si le verbe de la principale exprime le doute, l'improbabilité, la volonté, le désir, la défense, la nécessité, la possibilité, l'impossibilité ou un sentiment. Je doute que vous arriviez à temps. Il est peu probable que je puisse y aller. Je veux que vous écoutiez.
On utilise le subjonctif passé pour une action antérieure à l'action principale, contrairement au subjonctif présent qui est employé pour une action simultanée ou postérieure. Je doute qu'ils aient réussi leur examen (le subjonctif passé qu'ils aient réussi est antérieur à je doute).
Les terminaisons du subjonctif présent
Au présent du subjonctif, tous les verbes (sauf avoir et être) ont les mêmes terminaisons : -e, -es, -e, -ions, -iez, -ent.
Le conditionnel est principalement utilisé pour exprimer une condition, une hypothèse, une formule de politesse ou un souhait. Condition : Si j'avais le temps, je lirais une bibliothèque entière ! Hypothèse : Les pertes s'élèveraient à des milliards d'euros.
Notez : Après un conditionnel présent, si le verbe de la subordonnée doit être au subjonctif, il se met au présent ou à l' imparfait (Je voudrais qu'elle écrive ou Je voudrais qu'elle écrivît).
Dans une hypothèse, le conditionnel présent peut être employé avec l'imparfait ou avec le plus-que-parfait. 1. Pour formuler une hypothèse dans le présent, on utilise : si + imparfait + conditionnel présent.
L'accord du participe passé avec l'auxiliaire « être » L'accord du participe passé avec l'auxiliaire « avoir » L'accord du participe passé avec les verbes pronominaux. L'accord du participe passé avec un infinitif.
Si le COD est placé avant le verbe au participe passé, celui-ci s'accorde en genre et en nombre avec le COD. Si le COD est placé après le verbe au participe passé, celui-ci ne n'accorde pas !
Rappel : Le participe passé ne s'accorde jamais avec le sujet quand on emploie l'auxiliaire avoir. Elle a rencontré une célébrité. Ils ont fini la bouteille. Mais le participe passé s'accorde avec le complément d'objet direct (COD) quand il est placé avant le verbe.