Ne pas oublier l'extérieur : étaler sur la vulve une crème hydratante (Cicalfate, baume Jaïlys, Colpotrophine)... Pas d'huiles essentielles : elles dessèchent davantage et peuvent irriter.
En cas d'irritations ou de démangeaisons de la vulve, la Crème cicatridine soulage les inconforts tout en régénérant et favorisant la cicatrisation de la vulve et des lésions cutanées et vulvaires.
Les bons réflexes en cas d'irritation de la vulve :
Evitez de trop exposer votre zone intime à l'eau calcaire du robinet : évitez les bains, rafraîchissez et apaisez plutôt la zone avec un pschitt d'eau florale.
L'application de crèmes cicatrisantes, de type Bépanthène®, favorise la cicatrisation et doit être réalisée une à plusieurs fois par jour sur une peau propre. Si une mycose en est responsable, un antifongique permettra de se débarrasser du champignon en cause.
Une irritation de la vulve peut aussi survenir après un rapport sexuel. Elle peut être le signe d'une infection sexuellement transmissible, mais également d'une sécheresse vaginale, de lésions vulvaires après le rapport, ou encore d'une réaction cutanée à certains lubrifiants ou au sperme du partenaire.
1,5 litre d'eau par jour, associé à des tisanes, du thé, voire même des jus de légumes sont nécessaires pour une bonne hydratation. Lorsque la flore vaginale est déséquilibrée, les probiotiques apportent une solution naturelle pour la restaurer, mais aussi la stabiliser.
En position couchée sur le dos les genoux repliés, insérez l'applicateur rempli de crème dans le vagin aussi profondément que possible sans que cela vous cause d'inconfort. Poussez le piston pour libérer la crème. Retirez l'applicateur. Un peu de crème pourra être appliqué au niveau de la vulve.
Comment savoir si c'est une mycose ou une simple irritation de la vulve ? Le principal symptôme de la mycose vulvaire est l'apparition progressive ou brutale de démangeaisons qui se transforment parfois en calvaire tant elles sont intenses.
Tout comme la mycose vaginale, la mycose vulvo-vaginale se caractérise par des démangeaisons avec parfois des brûlures au niveau de la vulve. Des rougeurs et un oedème sont alors visibles, et des pertes blanches et épaisses s'écoulent du vagin.
Sur leszones pileuses, où la peau est plus épaisse, on proposera des dermo-corticoïdes forts ou très forts. Comme c'est le cas au cours d'autres maladies inflammatoires vulvaires, tel que le lichen scléreux, on peut utiliser les dermo-corticoïdes de façon prolongée avec une bonne tolérance locale.
Si la gerçure est d'origine bactérienne, le médecin prescrira un antibiotique local sous forme de crème. Si elle est due à une mycose, un traitement local antifongique sera plus efficace.
La vulvite est définie comme une inflammation de la vulve qui comprend les petites et les grandes lèvres à l'entrée du vagin et constitue la partie visible de l'appareil génital féminin. Elle entraîne très souvent une sensation de brûlure ou de démangeaison qui peut être très inconfortable.
de l'hydrocortisone qui agit sur l'inflammation de la peau ; de la pramoxine qui bloque temporairement le signal de douleur ; de la calamine qui réduit les démangeaisons et aide à assécher les boutons ; de l'avoine colloïdale qui apaise les démangeaisons en hydratant la peau.
L'huile d'onagre est l'une des huiles qui a le plus démontré son efficacité face aux inconforts vulvaires. Elle s'utilise en application interne (gélule, ovule) et en application locale.
Pour les soins quotidiens des peaux sèches sujettes aux démangeaisons, nous vous recommandons la Crème relipidante Xeracalm A.D. Cet émollient agit sur la sécheresse et restaure la barrière cutanée de tout le corps.
Privilégiez un produit bio, les muqueuses étant hypers absorbantes elle transmette presque directement tout ce que vous appliquez dessus, les bons comme les mauvais ingrédients. Enfin, choisissez une huile de coco vierge issue d'un procédé de première pression à froid.
« Ces patientes ont besoin d'huile de coco, à appliquer sur la vulve deux fois par jour, pendant au moins 48 heures. On peut aussi mettre un peu d'huile essentielle de tea tree, qui est antifongique, et l'associer avec de l'huile de lavande, qui calme », recommande-t-elle.
En application locale, imbibez un simple coton de vinaigre de cidre, de préférence bio et surtout non pasteurisé, puis tamponnez la zone concernée. Vous pouvez également en imprégner un tampon hygiénique que vous laisserez en place dans le vagin durant 1 à 2 heures.
"La cause la plus fréquente des irritations vulvo-vaginales est la mycose génitale à Candida Albicans" informe le Dr Moyal-Barracco. L'irritation se traduit par des démangeaisons externes, des brûlures, parfois un gonflement et, assez souvent, des pertes blanchâtres et épaisses.
La vulvovaginite provoque le plus souvent des douleurs et des pertes vaginales. Celles-ci peuvent être jaunes ou vertes et malodorantes. Les enfants se plaignent d'une gêne, de douleurs ou de démangeaisons.
Une chéilite est une inflammation des lèvres assez fréquente, en raison de la fragilité de cette partie du corps. Parmi les causes, certaines substances peuvent être allergènes ou irritantes. Rouges à lèvre, parfums, dentifrices, médicaments ou encore aliments… Les causes des chéilites de contact sont diverses.
Il est utilisé pour traiter les eczémas de contact ou atopiques, les lichénifications, les dermites séborrhéiques (sauf celles du visage), le psoriasis, le prurigo, la dyshidrose, et pour soulager les démangeaisons dues aux piqûres d'insectes ou à la présence de parasites sous la peau.
DIPROSONE est destiné à l'usage cutané uniquement. Ce médicament est un corticoïde local d'activité forte. Il est préconisé dans certaines maladies de peau comme l'eczéma de contact, la dermatite atopique, le psoriasis, mais votre médecin peut le prescrire dans d'autres cas.
Le Diprosone® sous forme de crème est à utiliser pour traiter les lésions suintantes. La pommade, elle, convient davantage aux lésions cutanées sèches. La lotion est à employer lorsqu'on traite des lésions situées dans les régions poilues ou au niveau des plis de la peau.