Il s'agit pourtant de deux oiseaux totalement différents, la bernache étant un oiseau aquatique avec des pattes palmées et un bec rond comme ceux d'une oie alors que l'outarde est un oiseau terrestre avec des pattes non-palmées et un bec pointu ressemblant à ceux d'une poule.
C'est là qu'elles ont passé l'hiver, à la chaleur, dans les refuges des états côtiers entre les Carolines et l'état de New York. Elles sont en route vers le Grand Nord du Québec. C'est dans les basses terres des baies de James et d'Hudson et des côtes de l'Ungava qu'elles terminent leur migration.
La bernache du Canada se trouve partout au Canada et aux États-Unis, du Pacifique à la côte de l'Atlantique, pendant la saison de reproduction. Certaines populations migrent vers le sud pour l'hiver, mais elles restent aussi toute l'année si elles ont accès à des plans d'eau.
Chez la bernache à crinière, on peut différencier le mâle de la femelle grâce aux couleurs des plumes de la tête : celles des mâles sont plutôt marrons, alors que celles des femelles sont plutôt grises. Cet animal vit en grand groupe de plus de 100 individus.
Au printemps, les bernaches migratrices arrivent dans le sud du Canada à partir de la fin mars, et elles repartent habituellement en avril pour leurs aires de nidification dans le nord. Au printemps, elles peuvent se nourrir de jeunes pousses de cultures récemment ensemencées.
Les chercheurs pensent que les cris émis par les oies lorsqu'elles volent sont utilisés pour aider à maintenir l'intégrité du groupe, pour coordonner les changements de position avec la formation en V dans laquelle elles volent.
Les clôtures basses munies de « Birdscare-Flash-Tape », de bandes flottantes de ruban Mylar brillant ou d'un autre matériau très visible peuvent repousser les bernaches. Placez la barrière à la hauteur des bernaches et des oisons entre l'eau et la zone à protéger.
Les scientifiques croient que les Bernaches du Canada volent en formations en « V » parce que cette configuration produit l'effet du « tirant », où la Bernache qui suit, comme un cycliste dans une course, profite des courants d'air produits par la Bernache en tête, ce qui lui demande moins d'énergie pour voler.
C'est essentiellement sur la péninsule du Taïmyr que niche la bernache cravant. Et cela à même le sol, dans une dépression peu profonde tapissée de matériaux fins tels que mousses, lichens et petits duvets.
Quand la récolte était bonne, au printemps, on ne consommait dans l'immédiat, que les cuisses qu'on préparait en ragout et l'on gardait les poitrines dans la saumure pour les manger en été. Les oiseaux tués en automne étaient parfois conservés entiers, gelés, pour les préparer dans le temps des Fêtes.
Elle se nourrit principalement de céréales, d'herbes, de graminées, de baies et de plantes aquatiques.
Ces populations, qui nichaient dans un habitat s'étalant de la région des Grands Lacs aux Rocheuses, migraient juste assez vers le sud chaque hiver pour trouver de la nourriture et des eaux libres de glace.
La Bernache du Canada émet un « honk-a-honk » profond et musical (grandes races) tandis que les oies plus petites produisent un caquetage haut-perché et rapide. Le cri de contact entre les membres du couple et dans les groupes familiaux est un grognement tranquille « urr, ur-eit ».
Ces oiseaux ont besoin de surfaces d'eau libre pour s'adonner à leurs activités coutumières comme le repos, la reproduction et l'alimentation. C'est pourquoi, lorsque l'hiver gèle nos cours d'eau, la plupart des individus de ces espèces migrent vers des climats plus chauds pour nous revenir au printemps.
À la fin de l'été, les familles se regroupent pour effectuer la migration vers le sud. La bernache s'acclimate bien dans plusieurs habitats, près de l'eau, des champs et des étendues de gazon. Elle se nourrit de plantes comme les poacées (graminées) et la zostère au printemps et en été.
Chaque année, au cours du mois de mars, les bernaches nonnettes (Branta leucopsis), des sortes d'oies, quittent les régions tempérées et migrent vers le Nord pour se reproduire.
Les oiseaux de nos jardins dorment donc plus longtemps l'hiver que durant les nuits d'été. Mais le plus incroyable, c'est que certains oiseaux comme la frégate du pacifique ou le martinet noir que l'on trouve en Suisse arrivent même à dormir tandis qu'ils volent des semaines entières parfois.
Pas vraiment des dents (au même sens que pour les humains par exemple), mais des excroissances cartilagineuses qui lui permettent de couper l'herbe dont elles se nourrissent (en partie).
Le martinet noir, un oiseau qui dormirait en volant
Le martinet passe la majeure partie de sa vie dans les airs. Ses pattes sont si petites qu'elles ne lui permettent pas d'initier son vol depuis le sol.
Interdiction de nourrir les bernaches du Canada à Namur : une nécessité pour éviter la prolifération de cette espèce invasive.
« Les grands oiseaux qui migrent en groupe ont presque tous recours au vol en formation, que ce soit le vol en V ou le vol en ligne, car cela leur permet de dépenser moins d'énergie. En effet, le vol en V répond à la loi du moindre effort qui régit la vie sauvage.
Pendant l'hiver, sur la côte de l'Atlantique aux États-Unis, elles fréquentent les anses et les baies marines, les marais, les prairies côtières et les champs cultivés. La Grande Oie des neiges se déplace avec facilité sur la terre ferme, sur l'eau et dans les airs.
Placer des filets près des accès aux lacs, étangs et zones humides et des zones de pâturage les découragent donc de s'installer à cet endroit.
L'utilisation de répulsifs naturels, tels que des plantes ou des huiles essentielles, peut dissuader ces oiseaux de s'installer. De plus, maintenir une pelouse moins attrayante en la laissant pousser un peu plus haute ou en choisissant des variétés de gazon moins appétissantes pour les bernaches peut également aider.
« L'éclairage n'a pas d'effets sur les personnes, mais il agace vraiment les oies, car leurs yeux sont extrêmement sensibles. À ce jour, l'éclairage s'est avéré une façon très efficace de remédier au problème, ajoute M.