Le polype se différencie du fibrome entre autres par son incidence moindre : il est généralement moins gros et ne peut pas déformer l'utérus. Contrairement au fibrome, il n'est généralement pas douloureux puisqu'il est mou.
Le principal traitement du polype utérin est l'ablation chirurgicale par hystéroscopie opératoire. À l'aide d'une mini-caméra et de micro-instruments (petits ciseaux), le gynécologue coupe le polype et l'enlève.
Les signes cliniques provoqués : hémorragie génitale entre les règles, règles très abondantes et longues, douleurs pelviennes à de type de contraction. Le potentiel évolutif de ces lésions vers des lésions pré cancéreuses ou vers un cancer de l'endomètre (cancer de l'utérus).
Un polype utérin peut avoir l'aspect d'un fibrome ou d'une tumeur cancéreuse, il faut donc être vigilant pour ne pas se tromper de diagnostic. La cancérisation du polype est possible.
Le fibrome intra-cavitaire, appelé également fibrome sous-muqueux, peut être responsable de fausses couches. Ce fibrome peut être responsable de fausses couches surtout lorsque la partie du fibrome, située dans la cavité utérine est majoritaire.
"Les fibromes sont bénins au sens où ils ne sont jamais un cancer. Mais les fibromes peuvent être embêtants s'ils entraînent des complications comme une hémorragie interne. Il s'agit d'une tumeur bénigne mais qui peut se révéler dangereuse du fait de son volume, de sa vascularisation..."
Ils représentent près de 70 % de l'ensemble des fibromes, et entraînent tout ou partie des symptômes suivants : des saignements importants, des envies fréquentes d'uriner et des douleurs au niveau du dos ou du pelvis, des douleurs pendant les rapports sexuels, des sensations de pesanteur ou une lourdeur pelvienne.
Les polypes du col de l'utérus ne provoquent généralement pas de symptômes, mais ils peuvent entraîner des saignements ou des pertes ressemblant à du pus. Les médecins peuvent généralement diagnostiquer des polypes du col de l'utérus lors d'un examen pelvien.
Le geste chirurgical va ôter le polype dans sa totalité y compris la zone sur laquelle s'implante le polype utérin. Parfois la muqueuse adjacente sera également ôtée lors du même temps opératoire, lorsque celle ci est trop épaisse notamment lorsque la patiente est ménopausée.
Les polypes à fort risque de cancer sont : les polypes adénomateux. Ils sont caractérisés par une prolifération des cellules des glandes situées dans la muqueuse du côlon et du rectum et peuvent avoir des formes différentes (polype sessile, pédiculé, plan...).
Calcium. Des essais cliniques ont suggéré que la prise de 1 200 à 2 000 mg par jour de suppléments de calcium pourrait contribuer à prévenir la récurrence des polypes intestinaux. Cet effet serait plus prononcé sur les polypes de grande taille1-5.
Bien que bénin dans la majorité des cas, un polype peut en effet dégénérer en cancer. La recherche de saignements dans les selles constitue aujourd'hui le meilleur moyen de dépistage.
La plupart des polypes (environ 90 %) sont de petite taille, généralement inférieure à 1 cm de diamètre, et ont un faible potentiel de malignité. Les 10 % restants sont des adénomes de plus de 1 cm qui ont 10 % de chances de contenir un cancer invasif.
La chirurgie des polypes du côlon ou du rectum a lieu au cours d'une hospitalisation de quelques jours et consiste à retirer la portion du côlon ou du rectum dans laquelle le polype s'est développé. Le chirurgien recoud ensuite les deux extrémités du côlon ou du rectum pour reformer le conduit digestif.
La réapparition des polypes adénomateux survient dans 1/3 des cas. L'objectif de la surveillance coloscopique est donc de prévenir la survenue ou le développement du cancer colorectal, en enlevant « à temps » de nouveaux adénomes.
UN POLYPE :
Avec le temps certaines cellules de ce polype peuvent devenir cancéreuses, on parle alors de polype dégénéré voire de cancer. Ce polype doit être enlevé avant qu'il ne devienne dangereux. L'ablation d'un polype peut être effectuée lors d'une coloscopie s'il n'est pas trop gros ou trop étalé en surface.
Les fibromes peuvent provoquer douleurs, saignements vaginaux anormaux, constipation, fausses couches à répétition et besoin plus fréquent d'uriner ou envies impérieuses d'uriner. Les médecins procèdent à un examen pelvien et confirment généralement leur diagnostic avec une échographie.
Le terme de polype désigne habituellement une tumeur de vessie non cancéreuse (n'infiltrant pas le muscle de la vessie) encore appelée tumeur de vessie superficielle. Le risque principal des polypes ou tumeurs superficielles est la récidive.
Les polypes intestinaux sont des excroissances se formant sur la muqueuse qui tapisse l'intérieur du côlon. Elles surviennent chez 30 à 50% des adultes des pays industrialisés. Les facteurs environnementaux et alimentaires jouent probablement un rôle dans leur apparition.
Peut-on en guérir ? Certains petits polypes peuvent disparaître d'eux mêmes mais cela n'est pas fréquent. Le principal traitement du polype est l'hystéroscopie opératoire : il s'agit tout simplement d'une ablation chirurgicale du polype.
Habituellement, les polypes sont retirés par le gastroentérologue lors de la coloscopie. Parfois,il arrive que l'on découvre un polype du côlon ou du rectum trop volumineux pour qu'il puisse être retiré lors de la coloscopie.
Le Dr Ardaens relève : « 64 % des femmes souffrant d'un fibrome utérin se disent fatiguées et stressées vs 43% des femmes sans fibrome.
Des problèmes intestinaux : le fibrome qui comprime le rectum peut causer de la constipation. Des douleurs lors des rapports sexuels. Des douleurs dans le bas du ventre et du dos. Un gonflement au niveau du bas-ventre.
Quand les fibromes utérins deviennent trop handicapants, une chirurgie s'impose. L'une des opérations les plus courantes est l'hystéroscopie. Reportage. Depuis plusieurs semaines, cette patiente souffre de fatigue et de règles abondantes.