Parfois, les comprimé d'ecstasy peuvent contenir d'autres drogues et substances. Effets: Sous l'influence de l'ecstasy, on peut se sentir plus alerte et plus en harmonie avec son environnement. On se sent heureux, calme et l'on éprouve des sentiments chaleureux envers les autres.
L'héroïne, dérivée de la morphine, est vendue en poudre. Puissant anxiolytique, elle rend euphorique et extatique. Consommée régulièrement, elle crée une dépendance rapide, engendre des troubles du comportement alimentaire et du sommeil.
"Le cannabis est la drogue considérée par l'opinion comme "douce", parce qu'elle détend. Mais le cannabis est beaucoup plus dosé qu'autrefois. Selon son pays d'origine, sa concentration peut être conséquente", alerte-t-elle.
Le plaisir est constitutif de la drogue. Tous les travaux de recherche neurologique en attestent, les drogues activent les circuits de récompense du cerveau, comme le sexe, la nourriture ou le sport, et procurent donc du plaisir. De ce point de vue, c'est donc un plaisir tout à fait comme un autre.
La méthamphétamine se présente sous forme de poudre qui peut être avalée, prisée (aspirée par le nez), fumée ou injectée. Elle peut également se présenter sous forme de cristaux, qui sont généralement fumés. La méthamphétamine en cristaux est souvent appelée « cristal meth » ou « Tina ».
L'héroïne
L'étude de Nutt démontre que l'héroïne est la drogue la plus addictive de toutes, avec un score maximal de 3/3. Il s'agit d'un opiacé qui entraîne une augmentation de 200 % du niveau de dopamine dans le système de récompense du cerveau comme l'ont prouvé les expériences menées sur des animaux de laboratoire.
On dit que l'ecstasy est la drogue de l'amour car elle a pour effet d'induire un état d'euphorie et d'empathie pour les autres qui favorisent les relations (effet empathogène).
Le classement final (méfaits cumulés) est : 1) alcool ; 2) héroïne et 3) cocaïne crack. Le tabac se trouve à la sixième place, le cannabis à la huitième.
Cette substance crée-t-elle une dépendance? Oui. Tous les usagers de cocaïne ne développent pas une dépendance ; la cocaïne peut toutefois être l'une des drogues dont il est le plus difficile de se sevrer. Les personnes qui développent une dépendance à la cocaïne ne maîtrisent pas leur usage.
Le crack, la "drogue du pauvre" Connu comme "drogue du pauvre", le crack est un dérivé bon marché de la cocaïne. La poudre blanche est diluée avec du bicarbonate de soude ou de l'ammoniaque. Ses effets sont plus puissants mais plus éphémères que ceux de la cocaïne, ce qui pousse les usagers à multiplier les prises.
Lorsqu'une personne a consommé de l'alcool ou des drogues, ses yeux peuvent devenir vitreux. Ce symptôme est fréquent chez les personnes qui consomment de la marijuana ou de l'alcool de façon excessive.
La consommation d'alcool et de drogues à usage récréatif : consommés ensemble ou séparément, l'alcool et les drogues, comme la cocaïne, le cannabis, les amphétamines ou encore le LSD, peuvent réduire la capacité de la pupille à rétrécir son diamètre après une exposition à une source lumineuse vive.
En effet, les effets hallucinogènes des drogues peuvent agir comme éléments déclencheurs de l'apparition d'un premier épisode psychotique ou d'une rechute chez une personne prédisposée à la schizophrénie. Parmi ces drogues, on remarque les suivantes: cannabis, PCP, ecstasy, LSD, champignons, amphétamines, etc.
L'alcool se range dans la catégorie des drogues les plus dangereuses, avec l'héroïne et la cocaïne. Le tabac se situe quant à lui à des niveaux intermédiaires, et le cannabis fait partie des drogues les moins dangereuses.
Concentration et mémoire
C'est le cas du cannabis et de l'ecstasy. En effet, la molécule de THC (tétra-hydro-cannabinol) contenue dans le cannabis diminue considérablement les performances de mémorisation et de concentration d'une personne.
Concernant les facteurs de risque environnementaux, la pratique de sports culturistes est souvent associée à l'usage de stéroïdes anabolisants (qui sont des substances dopantes mais non psychoactives).
La 3-MMC, une drogue entre cocaïne et amphétamines, est connue depuis 2010, mais elle semble s'être démocratisée récemment, dans les soirées festives.
La méthamphétamine est un stimulant qui appartient à la famille des amphétamines. Sa structure chimique est semblable à celle de l'amphétamine, mais ses effets sont deux à cinq fois plus intenses et durables. Elle est vendue sous forme de cristaux, de poudre, de gélules ou de comprimés.
La consommation de MDMA est souvent associée un effort physique prolongé comme la danse dans les milieux festifs. C'est pourquoi il est très important de bien penser à s'hydrater régulièrement en buvant de l'eau et en gardant une bouteille avec soi, même si la sensation de soif n'est pas présente.
Les symptômes d'arrêt brutal de la substance correspondront alors à une exacerbation des effets liés aux neurotransmetteurs endogènes « noyant » le système nerveux central. À ces effets seront associés les symptômes du manque.
La cocaïne peut également nuire directement aux reins en réduisant la quantité d'une molécule antioxydante importante appelée glutathion.
Une autre drogue comme la cocaïne peut provoquer une augmentation des risques d'abcès ou d'éruption dont les boutons sont proches des boutons rouges à points blancs de l'acné (pustules) mais plus étendus sur le corps.
La prise de MDMA peut avoir pour effet notamment d'entraîner une crispation de votre mâchoire qui peut faire apparaître ce qui ressemble à des boules et éventuellement déformer légèrement votre bouche. Il y a peut-être eu aussi de votre part un "grossissement" du phénomène.
Les effets recherchés lors de la consommation d'une drogue ou d'un médicament psychotrope varient en fonction de chacun, mais sont notamment d'ordre anxiolytique (euphorie, bien-être, apaisement…), stimulant (toute-puissance, disparition de la fatigue, indifférence à la douleur…), ou encore hallucinatoires ( ...