Gargarisez-vous à l'eau salée au moins 4 fois par jour. Mélangez chaque jour une cuillérée à café de sel avec 1 litre d'eau du robinet pour vos besoins quotidiens.
Il vaut mieux placer l'eau filtrée au réfrigérateur et la boire dans les 24 heures. Les cartouches utilisent des sels d'argent pour leur propriétés antibactériennes.
Voici les aliments généralement interdits pendant une chimiothérapie : l'alcool (qui peut agir comme un coupe-faim et augmenter le risque d'aphtes) ; les agrumes (qui peuvent atténuer l'effet de certains médicaments) ; certains fromages (qui peuvent être difficiles à digérer et trop riches en matière grasse).
Pour aider vos reins à filtrer les molécules et les toxines de chimio présentes dans l'organisme, une bonne hydratation est primordial. Idéalement, il faudrait boire 1,5 litre à 2 litres d'eau par jour pour être en bonne santé.
Certains traitements, y compris les radiations et certains médicaments chimiothérapeutiques, endommagent l'ADN des cellules cancéreuses, mais ils peuvent également causer des dommages à l'ADN des cellules normales, ce qui peut contribuer à un vieillissement biologique accéléré.
il est préférable de choisir des fromages au lait pasteurisé, des pâtes pressées cuites de type comté ou emmental, ou des fromages fondus ou à tartiner.
Afin de corriger ou de limiter les baisses importantes de globules blancs, le médecin peut prescrire des facteurs de croissance de neutrophiles (une sorte d'hormones de la moelle osseuse). Ils sont à administrer par injection sous-cutanée. Ils favorisent la multiplication des globules blancs dans le sang.
Ils comprennent habituellement 4 à 6 cures, le plus souvent espacées de 21 jours. Le traitement s'échelonne donc souvent sur une période de 3 à 6 mois. L'équipe soignante évalue régulièrement la capacité de votre organisme à suivre un nouveau cycle et à quelles doses.
Une transfusion sanguine aura un effet quasiment immédiat et sera privilégiée pour une anémie sévère. Des injections d'érythropoïétine peuvent également être envisagées, elles permettent de stimuler la fabrication de globules rouges par votre organisme.
Privilégier des aliments froids ou tièdes qui sont moins odorants que les aliments chauds. Prendre plusieurs petits repas répartis tout au long de la journée, ce qui facilite la digestion. Eviter de boire pendant les repas pour ne pas remplir l'estomac de liquide. Manger lentement et mastiquer bien les aliments.
Les nausées et les vomissements commencent souvent le soir ou le lendemain de la perfusion. Cela dure rarement plus de 72 heures après le traitement. Lorsque des vomissements surviennent, il est conseillé de se rincer la bouche et d'attendre 1 ou 2 heures avant de manger.
Si son goût ne vous plait pas ou si vous êtes dans une région à risque, préférez une eau de source très faiblement minéralisée avec un taux de résidus à sec inférieur à 100mg/l et un pH situé entre 6,5 et 7 (Mont-Roucous, Montcalm, Rosée de la Reine). Evitez les eaux minérales.
Une eau est « riche en calcium » si elle contient plus de 120 mg de calcium par litre. Les eaux riches en calcium sont notamment l'Hépar, Courmayeur ou encore Contrex. Une eau est « riche en magnésium » si elle contient plus de 56 mg de magnésium par litre. Il s'agit de la Rozanna, de l'Hépar ou de la Quézac.
La chimiothérapie va espacer ou arrêter vos règles. Cela n'exclut pas un risque de grosses- se et une contraception efficace est donc nécessaire pendant toute la durée du traitement et dans les mois qui suivent. Une grossesse peut être envisagée après un délai d'un à deux ans à compter de la fin du traitement.
Il n'y a pas de chimiothérapie plus ou moins forte, cela dépend des cas. Le choix est fait par l'équipe soignante en tenant compte de votre situation. Tous les produits de chimio ne sont pas actifs dans tous les cancers et les effets secondaires qu'ils peuvent induire ne sont pas proportionnels à l'efficacité attendue.
Un temps de repos est prévu entre chaque cycle de chimiothérapie. Cela permet à l'organisme de se reposer et de réduire les effets secondaires gênants. Un cycle s'étale en général sur 3 à 4 semaines. Le nombre de cycles dépend des médicaments à délivrer, du type de tumeur, mais aussi des effets secondaires observés.
Contrairement aux thérapies ciblées, qui visent des cellules spécifiques, la chimiothérapie agit sur tout l'organisme. Elle est utilisée pour traiter le cancer du sein métastatique en détruisant ou en ralentissant la croissance des cellules cancéreuses.
Consommer du saumon, des sardines, du maquereau, du hareng ou encore du foie de morue ou de l'huile de foie de morue particulièrement riches en oméga 3, favorise le renforcement de notre système immunitaire et le développement de certains globules blancs tels que les lymphocytes T et les NK.
La chimiothérapie curative peut guérir totalement et définitivement certains cancers. Elle s'utilise seule ou en complément de la chirurgie, de la radiothérapie et/ou de l'hormonothérapie. À défaut de guérir totalement et définitivement un cancer, la chimiothérapie curative peut aussi induire une rémission.
Les baies : framboises, myrtilles, mûres, groseilles, goji, açaï, canneberge etc … Ces petits fruits colorés brillent par leur teneur en polyphénols antioxydants, essentiels dans la prévention du cancer.
La vitamine E est l'un des compléments les plus utilisés en cas de cancer. Cette vitamine semble renforcer l'effet de la radiothérapie et de la chimiothérapie (1). En ce qui concerne spécifiquement la radiothérapie, la vitamine E pourrait reduire la formation de fibrose durant une radiothérapie (4).