Les bouteilles en verre. Si elles n'occupent que le bas du Top 10 avec une huitième position, les bouteilles en verre font partie des déchets les plus préoccupants. En effet, elles remportent la palme du temps de dégradation le plus long de ce classement.
La production d'énergie et d'électricité est la championne des secteurs polluants. Elle est à l'origine de 31,5 % des émissions de GES.
L'on compte parmi ces ordures des déchets plastiques dont des bouteilles en plastique, des sacs, des emballages, des gobelets plastiques, des barquettes… Et ce sont les bouteilles qui polluent le plus.
En résumé, la Chine est aujourd'hui le pays le plus pollueur du monde en termes de quantité de CO₂. En revanche, c'est le Qatar qui occupe la 1ère place du pays avec le plus fort taux d'émission de CO₂ par habitant.
Dans le monde, l'agriculture est le secteur qui produit le plus d'émissions carbone. C'est une industrie très intensive en carbone, car elle nécessite beaucoup d'énergie pour fonctionner. De plus, l'agriculture produit également beaucoup de déchets, qui peuvent être difficiles à gérer.
Les émissions des véhicules, le fioul et le gaz naturel pour chauffer les maisons, les sous-produits de la fabrication et de la production d’électricité, en particulier les centrales électriques alimentées au charbon, et les fumées provenant de la production chimique sont les principales sources de pollution atmosphérique d’origine humaine.
Les pratiques agricoles sont loin d'être la seule source de pollution des terres et des sols. Les déchets mal gérés, aussi bien municipaux qu'industriels, sont responsables de plus d'un tiers des contaminations locales, suivis par les activités industrielles.
En valeur absolue, la Chine reste ainsi de loin le plus important émetteur de gaz à effet de serre. A lui seul, le pays émet plus d'un quart des émissions mondiales de GES. Avec une croissance économique soutenue, le pays a connu une explosion de ces émissions dans les années 2000 (+285 % entre 1990 et 2022).
La consommation mondiale de vidéos en streaming génère 300 millions de tonnes de CO₂ par an ; Une heure d'appel en visioconférence a le même impact sur l'environnement que 9 km en voiture essence ; La 4G consomme 3 fois plus d'énergie que le WiFi ; Les données numériques (e-mail, recherche, téléchargement, etc.)
Selon l'ADEME, un avion peut émettre jusqu'à 241 kg de CO2 par passager sur un trajet de 500 km. En revanche, sur la même distance une voiture émet environ 170 kg de dioxyde de carbone. Pour un trajet donné, le voyage en voiture est moins polluant que le transport aérien.
Ainsi, ce sont les Philippines qui arrivent en tête du classement des plus grands pollueurs des océans. On estime à plus de 350.000 le nombre de tonnes de déchets plastiques provenant de ce pays qui finissent dans les eaux chaque année.
Ancien navigateur, il a pu constater au cours de ses nombreuses traversées les conséquences de la pollution plastique sur les océans. Il indique au Monde que le polystyrène est un matériau "toxique" qui constitue "plus du tiers des plastiques retrouvés dans l'environnement".
La pollution, y compris l'utilisation de produits chimiques, de combustibles fossiles et de plastiques, perturbe les écosystèmes de la Terre et, ce faisant, nuit aux espèces et les force à modifier leurs habitudes.
Pollution de l'eau, de l'air et du sol
Nous associons souvent la pollution à l'industrie, aux transports et à la production d'énergie, qui sont des sources importantes, mais près de 50 % des pressions sur la nature liées à la pollution proviennent des émissions agricoles dans l'air, l'eau et le sol.
Le bœuf, la source de protéine la plus polluante.
On parle de “pollution importée”. Par exemple, saviez-vous que la production d'un téléviseur exige d'extraire 2,5 tonnes de matières premières, et génère 350 kg de CO₂ ? Autrement dit, avant même d'être utilisé, un téléviseur émet autant de CO₂ que si vous alliez à Marrakech en avion.
La viande industrielle en particulier est extrêmement nocive pour l'environnement : avec une alimentation à base de grains et de soja, la production de viande contribue notamment à la déforestation, à la production de gaz à effet de serre (notamment le méthane).
Contrairement à ce que l'on pense,la qualité de l'air est meilleure qu'avant. Cependant, les niveaux de pollution restent supérieurs à la réglementation. L'air s'est amélioré car on fabrique des voitures moins polluantes, on limite la vitesse de circulation sur les routes et Paris est moins industrialisé.
Les domaines de l'agriculture, du transport et de l'énergie sont les plus polluants et donc ceux qui doivent réduire le plus possible leur empreinte carbone.
La Finlande occupe une position notable dans le classement des pays les plus écologiques et engagés en 2023 grâce à des actions concrètes pour réduire son empreinte carbone.
Au sein de l'Union européenne, l'Allemagne et le Royaume-Uni restent les deux plus gros émetteurs de CO2 depuis cette dernière décennie.
Moins rapide et moins pratique, le ferry est aussi moins polluant en termes d'émissions de CO2 — même si ses impacts ne sont pas négligeables. D'après l'Agence européenne de l'environnement, le transport en ferry émet environ 60 grammes de CO2 par kilomètre et passager, soit près de trois fois moins qu'en avion.
Pas moins de 15 000 satellites ont été lancés depuis 1957. Un chiffre conséquent, qui contribue en majeure partie à la pollution de l'espace. On estime qu'il y a 9 600 tonnes de déchets dans le ciel.
S'agissant des émissions par habitant, en 2020, les États-Unis sont en tête (14 tonnes équivalent CO2 ou tCO2e par tête), suivis par la Russie (13 tCO2e), la Chine (9,7 tCO2e), le Brésil et l'Indonésie (7,5 tCO2e), puis l'Union européenne à 27 (7,2 tCO2e).
Les activités humaines sont responsables de la quasi-totalité de l’augmentation des gaz à effet de serre dans l’atmosphère au cours des 150 dernières années. La plus grande source d’émissions de gaz à effet de serre provenant des activités humaines aux États-Unis provient de la combustion de combustibles fossiles pour l’électricité, le chauffage et les transports .