“Diminuez donc les désirs, c'est comme si vous augmentiez les forces.” “Je suis esclave par mes vices et libre par mes remords.” “Le devoir d'une éternelle fidélité ne sert qu'à faire des adultères.” “C'est en un sens à force d'étudier l'homme que nous nous sommes mis hors d'état de le connaître.”
« L'homme est né libre, et partout il est dans les fers » Pour Rousseau, l'homme est naturellement bon et inoffensif, fait pour vivre en paix avec autrui.
Le courage n'est pas l'absence de peur, mais la capacité de vaincre ce qui fait peur. La beauté est dans les yeux de celui qui regarde. Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve, une réalité. Le souvenir, c'est la présence invisible.
La philosophie politique de Rousseau est bâtie autour de l'idée que l'Homme est naturellement bon et que la société le corrompt. Par « naturellement bon », Rousseau entend que l'être humain à l'état de nature a peu de désirs, de sorte qu'il est plus farouche que méchant.
“On s'attache souvent moins à la femme qui touche le plus qu'à celle qu'on croit le plus facilement toucher.” “La beauté touche les sens et le beau touche l'âme.” “Nombreux sont opiniâtres en ce qui touche la voie une fois prise, peu en ce qui touche le but.”
La mélancolie, c'est le bonheur d'être triste. L'absence de ma joie est toute au fond de moi. Tu es ma mère, mon frère, mon coeur, Même si ton absence me fait peur, Pour toi, je meurs, je souffre, je prie, Liberté vient, je t'en supplie.
Mais Rousseau défend surtout d'une façon catégorique l'origine interne, subjective de la foi dans une fameuse lettre adressée à Voltaire (18 août 1756) et inspirée par le Poème sur le désastre de Lisbonne: il ne croit pas en Dieu parce que tout est bien en ce monde; il trouve à tout quelque chose de bon, parce qu'il ...
Pour Rousseau, il y a en effet trois éducations : celle qui vient de la nature (« le développement interne de nos facultés et de nos organes »), celle qui vient des hommes et celle qui vient des choses (« l'acquis de notre propre expérience sur les objets »).
Dans Du contrat social, Rousseau soutient la thèse selon laquelle une organisation sociale « juste » repose sur un pacte garantissant l'égalité et la liberté entre tous les citoyens. Ce pacte est contracté entre tous les participants, c'est-à-dire l'ensemble exhaustif des citoyens.
“Connais-toi toi-même.”
“On passe une moitié de sa vie à attendre ceux qu'on aimera et l'autre moitié à quitter ceux qu'on aime.”
Qui ouvre la main, la fait ouvrir à ses voisins. Qui veut faire quelque chose trouve un moyen ; qui ne veut rien faire trouve une excuse. Le monde est une rose, respire-la, et à ton ami donne-la. Qui veut te donner un baiser trouve ta bouche même dans l'obscurité.
Etre libre, ce n'est pas pouvoir faire ce que l'on veut, mais c'est vouloir ce que l'on peut. On ne peut comprendre la vie qu'en regardant en arrière ; on ne peut la vivre qu'en regardant en avant. Celui qui sait qu'il ne sait pas, éduque-le. Celui qui sait qu'il sait, écoute le.
Rousseau oppose le bonheur, état permanent, au monde où tout est dans un flux continuel ; il oppose cet état plein et paisible à «l'état fu¬ gitif qui fait regretter quelque chose avant ou désirer encore quelque chose après ». Cet état de plénitude il l'a connu et goûté aux Charmettes auprès de Madame de Warens.
Dans la perspective de Rousseau, le rôle de l'éducateur consiste principalement à protéger son élève contre les méfaits de la société, contre les influences néfastes de la culture et son cortège de corruptions et de préjugés.
La philosophie de Rousseau est spiritualiste; sa morale (celle de ses livres) est chrétienne, et même calviniste. Rejeté de l'enseignement public, l'Émile peut servir à l'éducation domestique; il exprime une philosophie, qui est celle de Platon.
La religion naturelle consiste à trouver le sens singulier et personnel de la croyance en se fondant sur les facultés naturelles que sont le cœur et la raison. Pour Rousseau, les religions instituées sont autant de manières de nous éloigner d'une expérience de la foi authentique.
Dans l'état de nature selon Rousseau, l'homme est autosuffisant et cultive son bout de terre librement. Etre stupide, robuste et candide, l'homme naturel vit aussi dans un étatpré-moral, ne connaît ni le bien ni le mal et vit au présent, sans soucis des lendemains.
Aujourd'hui, les inégalités sont très développées, et à certains égards elles s'accroissent constamment. De ce point de vue, Rousseau nous permet de démystifier un certain type de discours naturaliste qui consiste à dire que les inégalités sociales répondent ou coïncident avec des inégalités naturelles.
Rousseau est pour le moins explicite dans le Livre III de son Contrat social : « Sitôt que les Hommes vivent en société, il leur faut une religion qui les y maintienne. Jamais peuple n'a subsisté ni subsistera sans religion, et, si on ne lui en donnait point, de lui-même il s'en ferait une ou serait bientôt détruit. »
La plus belle citation de Socrate est : Dans tous les cas, mariez-vous. Si vous tombez sur une bonne épouse, vous serez heureux. Si vous tombez sur une mauvaise, vous deviendrez philosophe, ce qui est excellent pour l'homme.
Aie le courage de te servir de ton propre entendement ! Voilà la devise des Lumières." "Agis de telle sorte que la maxime de ta volonté puisse être érigée en loi morale universelle." "L'autonomie de la volonté est le principe unique de toutes les lois morales et des devoirs qui y sont conformes."
“Il faut faire quelque chose de nouveau pour voir du nouveau.” “Ce qui est nouveau est rarement vrai ; ce qui est vrai est rarement nouveau.” Vos avis (8) : “On apprend chaque jour quelque chose de nouveau. ”