Voltaire : « le travail éloigne de nous trois grands maux : l'ennui, le vice et le besoin » (in Candide, Voltaire). Travailler évite à l'homme de s'ennuyer ou de sombrer dans le vice. Cela lui permet également de subvenir à ses besoins. Le travail est donc utile à l'homme, même s'il est parfois difficile ou pénible.
Rien ne sert d'être vivant, s'il faut que l'on travaille. Il n'y a pas de dignité possible, pas de vie réelle pour un homme qui travaille douze heures par jour sans savoir pourquoi il travaille. Le plaisir dans le métier met la perfection dans le travail. Le Français est un paresseux qui travaille beaucoup.
Le travail n'est pas fait pour l'homme et la preuve, c'est que ça le fatigue. Cette phrase de Voltaire contient 15 mots. Il s'agit d'une citation courte.
“Diminuez donc les désirs, c'est comme si vous augmentiez les forces.” “Je suis esclave par mes vices et libre par mes remords.” “Le devoir d'une éternelle fidélité ne sert qu'à faire des adultères.” “C'est en un sens à force d'étudier l'homme que nous nous sommes mis hors d'état de le connaître.”
Aie le courage de te servir de ton propre entendement ! Voilà la devise des Lumières." "Agis de telle sorte que la maxime de ta volonté puisse être érigée en loi morale universelle." "L'autonomie de la volonté est le principe unique de toutes les lois morales et des devoirs qui y sont conformes."
Le courage n'est pas l'absence de peur, mais la capacité de vaincre ce qui fait peur. La beauté est dans les yeux de celui qui regarde. Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve, une réalité. Le souvenir, c'est la présence invisible.
Platon indique qu'un même individu dans la société ne peut pas produire tous les biens susceptibles de satisfaire tous ses besoins. Il faut donc repartir le travail global afin que chacun puisse remplir une tache bien déterminée. À chaque travail doit donc correspondre la satisfaction du besoin.
Le travail : il y a des gens qui aspirent au travail, n'importe quelle sorte de travail, si pénible ou répugnant qu'il soit, pour chasser l'âpreté de leur vie et bannir les pensées qui tuent. Il n'y a pas de résultats sans travail et pas de travail sans effort.
Emmanuel Kant considère que le travail est un devoir envers soi-même, un devoir qui forme l'homme moralement parlant. Pour Emmanuel Kant, le travail satisfait la conscience morale et la fierté humaine. Ainsi, l'animal satisfait ses besoins par l'instinct, l'homme satisfait les siens par le travail.
La morale de Voltaire est que le travail (jardinage) évite l'ennui (occupe le temps), le besoin ( car il produit de la richesse) et le vice (car il n'est pas tenté de dérober les biens d'autrui ).
Il prit pour sa devise: malheur est bon à quelque chose. Combien d'honnêtes gens dans le monde ont pu dire: malheur n'est bon à rien!
Persuadé que la fortune des nantis profite aussi aux plus démunis, il propose une des premières théories du ruissellement : réinvesties dans l'économie, les ressources des riches stimulent croissance et emploi.
Aristote n'assimile pas le travail à la poësis, ni à la praxis, il le considère comme faisant partie des deux catégories, car le travail a une action modificatrice à la fois sur le réel et sur la nature humaine. Aristote préfère à l'idée du travail et à la nécessité l'idée de loisir et de liberté.
Les grands auteurs, Zola, Balzac, Hugo, nous ont beaucoup parlé du travail. Prenons l'Assommoir : Zola y décrit à la fois le peuple, les habitudes des ouvriers, les postes de travail. Il va même beaucoup plus loin, en s'emparant aussi des événements post-traumatiques.
En d'autres termes, on peut définir le travail, avec Marx, comme une « activité personnelle de l'homme » qui « agit » sur un objet avec les « moyens » nécessaires1 en vue d'obtenir un produit socialement utile, c'est-à-dire une production de valeur d'usage.
Chez Hegel, le travail au sens spécifique du terme reste toujours pensé comme une sphère subordonnée de l'esprit pratique alors que l'esprit pratique lui-même est subordonné à l'esprit théorique: l'esprit réalise mieux sa liberté dans l'agir moral que dans le travail, et c'est dans la pensée qu'il trouve la plus haute ...
Renversant le sens de la causalité, Nietzsche permet de comprendre que ce n'est peut-être pas le besoin – exception faite des besoins de la survie – qui pousse au travail mais que c'est tout au contraire le travail qui crée des besoins.
Heinrich Beta (de) a utilisé la formule en 1845 dans un écrit intitulé Argent et Esprit (Geld und Geist) : « Ce n'est pas la foi qui rend heureux, pas la foi en des curetons égoïstes et nobles, mais c'est le travail qui rend heureux, car le travail rend libre.
Le travail doit permettre un épanouissement professionnel, ce qui suppose qu'il ne soit pas vécu par celui qui l'exerce comme une contrainte mais précisément comme une source d'enrichissement.
Le sens du travail se rapporte aux tâches ou aux activités qui s'inscrivent dans un rôle, une fonction. Le sens au travail s'applique aux relations qu'une personne entretient dans son milieu de travail avec ses supérieurs, ses collaborateurs, ses collègues et la clientèle.
“On s'attache souvent moins à la femme qui touche le plus qu'à celle qu'on croit le plus facilement toucher.” “La beauté touche les sens et le beau touche l'âme.” “Nombreux sont opiniâtres en ce qui touche la voie une fois prise, peu en ce qui touche le but.”
“Connais-toi toi-même.”
“On passe une moitié de sa vie à attendre ceux qu'on aimera et l'autre moitié à quitter ceux qu'on aime.”