Il existe deux types de communication verbale, la communication orale et la communication écrite. Les deux manifestations sont utilisées pour pouvoir émettre et comprendre un message.
La communication verbale est basée sur la langue (dans toutes ses formes). Au contraire, la communication non-verbale correspond à tous les signaux visibles émis par une personne, consciemment ou non.
Elle est composée d'un ensemble de signes verbaux (la voix, l'intonation…) mais aussi d'un ensemble de signes non verbaux qui ne relèvent pas de la parole (les gestes, la posture, le regard, les mimiques, les silences…).
La communication non verbale désigne tous les éléments d'un échange qui n'ont pas un lien direct avec la parole. La discipline est étudiée en psychologie, partant du principe que notre corps fait parfois passer des messages plus fort que nos mots.
Il existe quatre mode de communication distincts: la communication visuelle, écrite, verbale et non-verbale. Être en mesure de les adapter aux types de personnalité donne des résultats positifs, tant sur le plan personnel que professionnel.
C'est elle qui permet de tisser des relations dans la vie quotidienne, comme dans la vie professionnelle. À l'oral, comme à l'écrit, maîtriser la communication verbale est essentiel afin de s'exprimer correctement, de comprendre ses interlocuteurs et d'être compris en retour.
Pour éviter de rallonger le débat, il est plus efficace de dialoguer en face à face. Compte tenu de sa rapidité, la communication orale est bien plus efficace pour résoudre les problèmes. De plus, elle permet d'exclure les personnes figurant dans la liste de diffusion, ce qui évite ainsi les distractions inutiles.
Il existe maintes façons de communiquer à l'oral : échanger verbalement, parler avec les signes, rire, échanger des regards, mimer, crier, chuchoter, etc. En effet, communiquer oralement ne se résume pas à prononcer des mots , cela va bien plus loin : ton, posture, regards, etc.
Les types d'objectifs
cognitif, affectif, et conatif (cf.
Le but de la communication n'est pas seulement d'informer le public sur ce que nous faisons, mais également de le sensibiliser, de l'intéresser davantage à la ville et d'inciter chacun à participer à son développement.
Pour la direction, le principal inconvénient de la communication orale est la préparation requise, l'organisation et l'absence de traces écrites, tandis que son avantage est la rétroaction immédiate de la part des interlocuteurs.
Un message est dit « verbal » lorsqu'il est fait dans une symbolique écrite ou orale, impliquant une concision et des normes communes (une langue, ou plus généralement un langage) le dépassant.
La communication et la vie
Communiquer permet à chacun de ses organes d'informer les autres sur sa situation, de sorte que, tous fonctionnant au même diapason, l'équilibre interne soit assuré et maintenu.
La communication orale peut être utilisée comme un outil d'apprentissage, dans la mesure où elle devient une façon de préciser et de faire évoluer la pensée de l'apprenant. Les activités d'apprentissage qui mettent de l'avant les interactions entre les pairs utilisent généralement l'oral comme outil d'apprentissage.
Faire savoir quelque chose à quelqu'un, le lui révéler, lui en donner connaissance ; transmettre, divulguer : Communiquer des renseignements confidentiels à un concurrent.
Un schéma de la communication est une représentation de type schématique de tous les éléments requis pour établir une situation de communication. Pour concrétiser cette définition, nous faisons le point sur le schéma de la communication dicté par Riley et Riley, et présenté en 1959.
On envoie et on reçoit en permanence des signes non verbaux qui transitent par des expressions du visage, des gestes et postures, le ton de notre voix, l'habillement, la coiffure, le maquillage, l'odeur, les silences et le toucher.
Faire silence ou utiliser le silence, c'est avant tout se centrer sur son propre équilibre, raccorder sa tête à son cœur, le cognitif au sensitif, structurer plus clairement sa pensée, développer son intuition, mettre ses sens en éveil et surtout de ne pas être perturbé par les éléments extérieurs.
Nous admettons ici qu'il existe deux formes de silences psycholinguistiques utilisés pour le décodage du langage : le silence de faible durée, dit « silence rapide », et le silence de longue durée, dit « silence lent ».