Une nouvelle théorie de la valeur La
Le socle du courant néoclassique est plus fondamentalement l'abandon d'une théorie de la valeur pour s'intéresser directement aux prix de marché, sans subsumer sous une valeur fondamentale. L'adoption du principe d'utilité va de pair avec un raisonnement partant de l'individu et de la subjectivité individuelle.
Les néoclassiques considèrent que les phénomènes économiques peuvent et doivent être étudiés à l'aide des mêmes méthodes que les phénomènes physiques. La science économique doit s'inspirer des sciences de la nature, comme la science physique, pour atteindre un degré d'exactitude similaire.
Outre une même conception de la valeur assise sur l'utilité marginale, l'analyse néoclassique se fonde sur l'individualisme méthodologique et la rationalité. Elle postule la neutralité de la monnaie et la parfaite flexibilité des prix.
Valeur économique totale
Les économistes ont décomposé la valeur des biens environnementaux et/ou culturels. La valeur économique totale se compose de valeurs d'usage et de valeurs de non-usage. Les chercheurs distinguent trois valeurs d'usage : La valeur d'usage direct est liée à l'usage direct du bien.
La valeur mesurée en travail correspond chez les économistes classiques au prix naturel de la marchandise, prix reflétant le véritable coût de production. Le prix naturel est alors distinct du prix de marché ou prix effectif, observable dans l'échange.
« Liberté, égalité, fraternité » est la devise de la République française.
Les économistes néoclassiques traduisent l'objectif de soutenabilité par la non-décroissance dans le temps du bien-être individuel, lequel peut être mesuré par le niveau d'utilité, le revenu ou la consommation.
Prenant le contre-pied du style rococo, les néoclassiques prônent le retour à la rigueur morale, à la raison, au stoïcisme, en prenant appui sur le modèle de l'Antiquité gréco-romaine.
La fonction d'une entreprise pour la théorie néoclassique est un objectif simple : maximiser son profit en situation concurrentielle, avec à sa tête un entrepreneur individuel. A partir de ce postulat de base et d'hypothèses réductrices (rationalité, pas de progrès technique …) la microéconomie construit son analyse.
1La théorie néoclassique, paradigme dominant en économie, traite la monnaie comme un bien caractérisé par de simples fonctions de demande et d'offre. Cette approche sépare la monnaie du reste de l'économie pour préserver les conditions d'un équilibre qui est essentiellement non monétaire.
Un marché imparfait. Dans la théorie néoclassique, le marché du travail fonctionne selon les principes de la concurrence pure et parfaite. On considère qu'on est face à une atomicité des agents homogènes, libres d'entrer et de sortir du marché, parfaitement mobiles et ayant accès à l'information de façon transparente.
Selon les classiques et les néoclassiques, la monnaie n'a pas d'influence sur l'économie réelle. Il n'y donc pas de relation entre la sphère réelle et la sphère monétaire. La monnaie détermine le niveau général des prix : c'est la théorie quantitative de la monnaie.
Léon Walras, fondateur de l'économie néoclassique.
La théorie néoclassique donne des normes, établies par l'échange, fondées sur la synthèse entre préférences individuelles et rareté. La théorie classique aussi donne des normes : le prix se fonde sur le coût de production, le salaire sur le coût de reproduction de la force de travail7.
Trois grandes Ecoles néoclassiques, l'Ecole de Lausanne (Léon Walras, Vilfredo Pareto), l'Ecole de Cambridge (Alfred Marshall, William Stanley Jevons, Arthur Pigou) et l'Ecole de Vienne (Carl Menger, Eugen von Böhm Bawerk) détrônent l'analyse classique.
Le réalisme néoclassique soutient que les actions d'un État dans le système international peuvent être expliquées par des variables systémiques intermédiaires, telles que la répartition des capacités de pouvoir entre les États ; les variables cognitives, comme les perceptions bonne ou erronée des pressions systémiques, ...
Les caractéristiques du classicisme
Le classicisme repose sur des règles esthétiques et morales comme la clarté dans le style, l'inspiration antique et le désir d'instruire. Les artistes de tous les domaines s'inspirent des œuvres de l'époque antique, mais souhaitent dans le même temps les réinventer.
Le néo-classicisme n'est pas simplement un post-classicisme, qui serait l'imitation servile des Anciens, mais plutôt un renouvellement imposant un traitement original de la matière antique et des modèles qui le précèdent.
Les Néoclassiques pensent le marché du travail comme une simple confrontation de l'offre et de la demande de travail. Pour Keynes, le volume de l'emploi n'est pas déterminé par le marché, mais uniquement par le niveau global de production, qui dépend de la demande venant des entreprises.
Keynes s'oppose à la théorie classique selon laquelle l'offre crée sa propre demande et que le marché est toujours en équilibre. Pour Keynes, le volume de l'emploi dépend uniquement de la décision d'embauche des entrepreneurs. Il n'est pas régi par un mécanisme d'offre et de demande.
Le coût du travail est l'unique déterminant de la demande de travail selon les néoclassiques. Salaire et salaire réel sont synonymes. Salaire et taux de salaire sont synonymes. Selon les néoclassiques la productivité horaire des salariés détermine le niveau du taux de salaire réel.
Ces valeurs humaines sont notamment le respect, l'acceptation, la considération, l'appréciation, l'accueil, l'ouverture, l'entraide, la réciprocité, la solidarité, l'écoute, la bienveillance, l'empathie, la fraternité, l'affection et l'amour envers d'autres êtres humains.