Au Japon, la couleur noire est associée à la mort, mais le deuil se porte plutôt en blanc, afin que le défunt se tourne vers la lumière, vers l'au-delà.
Les couleurs traditionnelles : blanc et mauve
Ces différentes symboliques expliquent facilement que le blanc soit la couleur traditionnelle du deuil.
Lors des funérailles chinoises, des chrysanthèmes blancs ou jaunes sont appréciés puisqu'ils symbolisent le deuil ou la lamentation. Traditionnellement, les familles asiatiques portent du blanc lors des funérailles et elles ne portent pas de bijoux.
Ne portez jamais de couleurs vives à un enterrement. Les couleurs primaires, comme le bleu, le rouge et le jaune, pourraient être interprétées comme un manque de respect et froisser la famille du défunt.
L'Inde et le Vietnam privilégient le blanc. Au Japon, les personnes en deuil portent du noir et du blanc. En effet, les japonais considèrent que le défunt se transforme en corps de lumière. La Chine se revêt de blanc, qui symbolise la mort, et de rouge, pour rappeler le sang et la douleur.
En effet, après la décomposition du corps, le lithium reste et se répand. Il en va du même pour les objets pouvant dégager des fumées toxiques comme certaines peluches et les chaussures.
La durée d'un deuil est très variable, suivant la souffrance de la personne. Elle peut s'étendre de plusieurs semaines à plusieurs mois ou même plusieurs années. Néanmoins quand le deuil fait suite à la perte d'un proche, la première année est souvent décisive afin de revisiter toutes les grandes dates anniversaire.
Lors des semaines qui avaient suivi le décès du souverain l'an dernier, le royaume tout entier avait spontanément adopté l'habit du deuil, ce qui avait entrainé une pénurie de vêtements noirs -certains Thaïlandais ont fait le choix de porter le noir durant toute la période d'un an de deuil national décrétée par le ...
Une toilette permettant d'éliminer tout risque d'infection, de la tête au pied. maintient des yeux (lentilles spéciales) et de la bouche (un point de suture) fermés. obstruction des orifices à l'aide de coton (méchage)
Évitez la chemisette ou chemise à manche courte. un pantalon (noir ou gris foncé). On peut éventuellement opter pour un jean s'il est un peu élégant (on évitera la forme baggy, les couleurs délavées ou encore le jean avec des accrocs). des chaussures en cuir (sombres elles aussi) et une ceinture.
Enveloppement du défunt
C'est pour cette raison que les musulmans ont généralement préféré l'utilisation de coton blanc en tissu pour servir de linceul. Le défunt peut être maintenu dans cet état pendant plusieurs heures, ce qui permet aux sympathisants de présenter leur condoléances.
Noir : histoire d'une couleur
Souligne l'ambivalence du noir, symbole positif de fertilité, dignité, autorité, humilité, ou symbole négatif de tristesse, deuil, péché, enfer, etc.
Quand on jette une fleur, un bouquet ou une rose sur le cercueil juste avant l'inhumation, on marque qu'on veut rendre au défunt moins difficile la séparation qui va suivre, on veut garder un lien. Le fait de fleurir la tombe, ensuite, prolonge également l'intention : le lien avec la personne se pérennise.
La saponaire : cette fleur exprime, elle, la tristesse. L'immortelle, la rose mauve, l'anémone violette : synonyme de regret, elles évoquent le décès et la perte d'un être cher.
Les roses rouges : ces fleurs symbolisent un amour profond. Les bouquets de roses rouges sont donc adaptés pour le décès d'un membre de la famille ou d'un concubin. Les roses claires : rose, jaune ou orange, cette fleur traduit la sympathie. Elles sont idéales pour le décès d'un ami proche.
Les tissus sont entièrement brûlés, ce sont donc les os qui vont être réduits en cendres. Un pulvérisateur est utilisé pour réduire en cendres les parties calcaires des os qui ne brûlent pas.
Dans la religion juive, le corps du défunt reste intact par respect pour la sainteté de l'âme qui y a été reçue. Il faut donc éviter de le toucher. C'est pourquoi, à l'exception des rapatriements en Israël (obligation sanitaire), aucun soin de conservation n'est autorisé.
Dès qu'il voit les veines légèrement gonfler au niveau de la main ou de la tête, c'est qu'il y a suffisamment de pression. Il reprend son trocart et vient le piquer dans le cœur côté gauche. Il vide ainsi tout le sang du corps du défunt et lui injecte à la place du formol.
Un rite funéraire demeure commun quel que soit le courant bouddhiste : le corps de l'être cher est placé dans la position de Bouddha au moment de sa mort : sur le côté droit, main droite sous la joue et main gauche sur la cuisse gauche (position du lion allongé). Aucune toilette rituelle n'existe à proprement parler.
Le deuil compliqué est caractérisé par une perturbation du travail de deuil qui ne s'engage pas ou qui ne parvient pas à son terme. Le deuil pathologique est caractérisé par la survenue de troubles psychiatriques durant la période du deuil.
A la fatigue s'ajoute parfois l'épuisement des années d'accompagnement du proche malade. Que la mort soit annoncée ou pas, un état de stress chronique peut s'installer, entraînant des perturbations biologiques, dont une baisse transitoire des défenses immunitaires, qui peuvent faire le lit d'une maladie.
Le chrysanthème, la "fleur des morts"
Déposer des chrysanthèmes sur la sépulture est ancré dans l'Histoire de France. C'est pourquoi le chrysanthème symbolise la mort.
Changements de la respiration
On observe couramment un modèle de respiration irrégulière appelé respiration de Cheyne-Stokes chez les personnes qui se meurent : la respiration est très profonde et rapide, puis courte, et ensuite la personne ne respire plus pendant un certain temps.