Dans la liturgie, le violet est la couleur des temps de pénitence (Avent et Carême) ; on l'utilise aussi pour les célébrations pénitentielles, ainsi que pour les offices des défunts.
Le vert sert au temps ordinaire, le violet aux temps de l'Avent et du Carême. Il peut convenir aussi pour les funérailles. Le rose peut être utilisé au troisième dimanche de l'Avent et au quatrième dimanche de Carême.
Les couleurs principales de la liturgie d'aujourd'hui. Blanc : Le blanc c'est la couleur de Dieu : pureté sans tache. C'est aussi la couleur des baptisés qui portent l'habit blanc. Dans l'antiquité, le blanc est aussi la couleur de la liberté.
Vert, blanc, rouge, noir, violet, rose et même parfois bleu et jaune, la liturgie catholique use, en effet, de plusieurs teintes en fonction des célébrations qui pourraient en laisser perplexes plus d'un non initié à ces codes.
Le Saint Pierre est de couleur multiple, du gris au doré en passant par le vert. Il est doté d'un ocelle bien visible (une tâche noire ou bleu foncé entourée d'une étroite bordure grisâtre ou jaunâtre au milieu du corps).
Dans l'histoire littéraire, le motif de la couleur jaune est souvent le témoin matériel de ce qui traverse le temps.
Les bleus de l'histoire
C'est la couleur de la Vierge Marie, le bleu marial, parce qu'elle serait apparue vêtue de bleu après la mort du Christ. Louis IX, devenu Saint Louis, s'est habillé de bleu pour rendre hommage à la Vierge. Le bleu est le premier pigment artificiel de l'humanité.
Dans la Grèce et la Rome antiques, le bleu, couleur du ciel, était également la couleur des dieux Zeus et Jupiter. Le bleu possède de grandes vertus : il est calme, apaisant, pacifique.
Les jours de la semaine ont leurs couleurs : lundi (Lune = blanc), mardi (Mars = rouge), mercredi (Mercure = rouge pourpre), jeudi (Jupiter = bleu), vendredi (Vénus = vert), samedi (Saturne = gris) et dimanche (Soleil = jaune/or).
Pour Artémidore, le rouge, avec ses attributs de richesse, précède le noir et s'oppose au blanc, tandis que le violet, couleur de la séparation, sera, pour les catholiques après le concile de Nicée (325 apr. J. -C.), la couleur de la prière et remplacera la splendeur de la pourpre.
L'année liturgique commence en effet par le premier dimanche de l'avent – qui est généralement le dernier dimanche du mois de novembre ou le premier dimanche du mois de décembre –, et court jusqu'au 34e dimanche du temps ordinaire, jour de célébration de la fête du Christ Roi de l'univers, qui est l'avant-dernier ou le ...
Les différents “temps” de l'année liturgique. L'année liturgique, dont le cœur est la célébration de la Pâque, la Résurrection du Christ, commence le premier dimanche de l'avent et finit chaque année avec la fête du Christ-Roi (un des derniers dimanches du mois de novembre).
QU'EST-CE QUE L'ANNÉE LITURGIQUE ? Elle commence le 1er dimanche de l'Avent quatre semaines avant Noël. Elle s'achève avec le dimanche du Christ-Roi de l'Univers (un des derniers dimanches du mois de novembre).
Dans le calendrier liturgique catholique, le temps de l'Avent est constitué de quatre semaines, commençant chacune par un dimanche : le premier dimanche (Levavi), suivant le 34e dimanche du temps ordinaire ; le deuxième dimanche (Populus Sion) ; le troisième dimanche (Gaudete) ; et le quatrième dimanche (Rorate).
L'Avent est la période durant laquelle les fidèles se préparent intérieurement à célébrer Noël, événement inouï, et décisif pour l'humanité, puisque Dieu s'est fait homme parmi les hommes : de sa naissance à sa mort sur la Croix, il a partagé en tout la condition humaine, à l'exception du péché.
L'Avent est en fait un temps d'attente à la fois pieuse et joyeuse puisqu'il s'agit de se préparer à célébrer la naissance de Jésus. Le premier dimanche de l'Avent marque également le début de l'année liturgique.
Cette couleur liturgique symbolise également la résurrection, le Christ ressuscité dans l'exultation de la Foi. Après le blanc, la couleur la plus utilisée pendant les messes du dimanche et des jours de la semaine, en dehors de fêtes bien définies, est le vert, symbole d'espoir, de constance et d'écoute persévérante.
Le blanc est elle aussi une couleur porte-bonheur, et voici les significations que vous pouvez lui apporter : On dit souvent le blanc associé à la pureté, mais il peut aussi symboliser le succès, la prospérité et la chance. En Chine, le blanc est la couleur du bonheur et de l'harmonie.
Les couleurs prépondérantes
Il a également été prouvé que le bleu est la couleur qui remporte le maximum de succès, aussi bien pour le public masculin que féminin, même s'il est challengé par le violet auprès des femmes.
Le blanc, dans la liturgie, est attribué au Christ, à l'Eucharistie sacrifice non sanglant, à la Vierge, aux confesseurs, aux vierges et aux saintes femmes.
-Être rouge de honte = être honteux. -Un cordon bleu = une personne qui cuisine très bien. -Avoir une peur bleue = Avoir une très grande peur.
S'il est une couleur qui vaut d'être nommée comme telle, c'est bien elle! On dirait que le rouge représente à lui seul toutes les autres couleurs, qu'il est la couleur.
Ainsi, le lapis-lazuli, la sodalite ou l'aigue-marine sont de bonnes pierres porte-bonheur pour les vierges.
VIERGE (24 AOÛT – 22 SEPTEMBRE)
Les couleurs porte-bonheur de la Vierge, signe analytique, serviable, et patient, sont le bleu, le vert, le gris et l'orange.
Sur le devant de la médaille, on peut voir la Vierge Marie. Ses pieds sont posés sur une demi-boule qui représente le demi-globe terrestre. Elle écrase aussi sous son pied un serpent. Le serpent chez les juifs et les chrétiens représente Satan et les forces du mal.