“Au moment d'être admis(e) à exercer la médecine, je promets et je jure d'être fidèle aux lois de l'honneur et de la probité.
1) La Médecine est avant tout un art au service des malades. Les deux principaux buts de la Médecine sont prévenir les maladies et soigner les malades. 2) La première devise du médecin est : « Primum non nocere », « Premièrement, ne pas nuire ». 3) Il n'appartient pas au médecin de juger de la vie.
Ce nombre aurait été choisi parce qu'il produit des sons graves lorsqu'on le prononce. Cela provoque des vibrations de la cage thoracique qui permettent de discerner l'état des poumons.
Aussi appelée Serment du médecin, la déclaration de Genève est une annexe du Code de déontologie médicale. Elle a été adoptée par l'assemblée générale de l'Association médicale mondiale en 1948.
Parce qu'il détient le savoir, le médecin détient d'abord un pouvoir d'appréciation sur l'état de santé et la situation du patient. Ensuite, il exerce sur ce patient un pouvoir d'influence en indiquant le traitement ou l'acte médical le plus approprié à entreprendre.
Depuis la promulgation de la loi HPST, le directeur a aussi une autorité sur les médecins, dans le respect des règles déontologiques. De plus, il nomme à la tête des pôles d'activité, les chefs avec pour mission l'organisation et le fonctionnement de ces pôles.
Le médecin doit écouter, examiner, conseiller ou soigner avec la même conscience toutes les personnes quels que soient leur origine, leurs moeurs et leur situation de famille, leur appartenance ou leur non-appartenance à une ethnie, une nation ou une religion déterminée, leur handicap ou leur état de santé, leur ...
L'exercice de la médecine requiert objectivité et distance vis-à-vis du patient. Aussi, soigner ses proches peut conduire à une certaine confusion des genres ou l'émotionnel et le professionnel s'intriquent. Il n'existe cependant aucune loi interdisant de devenir le médecin de ses proches.
Le serment d'Hippocrate est un serment traditionnellement prêté par les médecins, chirurgiens-dentistes et les sages-femmes en Occident avant de commencer à exercer.
En ce IVe siècle, l'hôpital le plus célèbre a été construit par un autre Basile à Césarée de Cappadoce. Appartenant à la faction chrétienne restée fidèle au Credo de Nicée (7), Basile de Césarée prend modèle sur Eusthate en réformant, lui aussi, le monachisme.
«Médecin» est un métier, «docteur» est un titre.
En auscultant le thorax, le médecin écoute l'air passer dans les poumons. Pour se faire, il place ses deux mains sur votre torse (ou utilise un stéthoscope). Lorsque l'on dit 33, il évalue la transmission des vibrations dans les poumons et détecte ainsi les zones éventuelles où elles ne sont pas transmises.
Madame, Monsieur, Je tenais à vous présenter, par la présente, mes sincères remerciements pour le dévouement dont vous avez fait preuve lors des soins que vous avez apportés à (ma personne/ préciser la personne prise en charge par le praticien).
« Mens sana in corpore sano. » (« Un esprit sain dans un corps sain. ») « Heureux celui qui est sans maladie. » « Existe-t-il pour l'homme un bien plus précieux que la santé ? » « C'est posséder un trésor que de jouir d'une santé parfaite. »
Le serment d'Hippocrate est un serment traditionnellement prêté par les médecins en Occident avant de commencer à exercer. Le texte original de ce serment, probablement rédigé au IVe siècle av. JC, appartient aux textes de la Collection hippocratique, traditionnellement attribués au médecin grec Hippocrate.
Un médecin peut-il refuser un (nouveau) patient ? Un médecin est libre de refuser d'être votre médecin traitant. Il n'y a pas de caractère obligatoire pour le docteur suite à votre demande. Il est tenu de vous informer de son refus, mais n'est pas obligé d'indiquer les motifs.
Le refus de soins est strictement encadré par le code de la santé publique et peut être sanctionné tant par le conseil de l'ordre que par les tribunaux civils ou pénaux. Il faut donc que le praticien veille à ce que son refus soit licite.
Dès lors qu'il a accepté de répondre à une demande, le masseur-kinésithérapeute s'engage personnellement à assurer au patient des soins consciencieux, attentifs et fondés sur les données acquises de la science.
La déontologie médicale s'oppose à l'auto-traitement hormis certaines exceptions. L'auto-traitement prive le médecin-patient de l'objectivité essentielle à une démarche clinique de qualité et de l'empathie d'un consultant. Le médecin s'expose à des risques dont la pharmacodépendance.
Déontologie: L'Ordre des médecins interdit les relations sexuelles entre médecins et patients. L'interdiction des relations sexuelles avec les patients vient d'être inscrite dans le Code de déontologie médicale.
Qui a le dernier mot du médecin conseil et du médecin du travail ? Comme évoqué précédemment, c'est le médecin-conseil de la CPAM qui est chargé d'assurer le contrôle médical. Autrement dit, il doit vérifier que l'état de santé du salarié mentionné sur l'arrêt maladie est réel.
Hippocrate, est considéré comme le père fondateur de la médecine moderne et rationnelle, et ses disciples ont été les premiers à décrire de nombreuses maladies.
Le médecin généraliste a un rôle important dans la prévention. Il contribue ainsi à réduire les risques de maladies ou de complications ultérieures par des informations, des questions et des conseils adaptés.
− Science qui a pour objet l'étude, le traitement, la prévention des maladies; art de mettre, de maintenir ou de rétablir un être vivant dans les meilleures conditions de santé.