En général, on emploie « c'est » pour présenter quelqu'un ou quelque chose (dans ce cas-là, Julie) et « elle est » pour donner une de ses caractéristiques (française). C'est une erreur très fréquente que beaucoup d'élèves de tous les niveaux font en français car la nuance entre les deux est assez fine.
Pour bien faire la différence, on peut mettre la phrase à la première personne du singulier. Dans ce cas, s'est devient me suis tandis que c'est lui ne bouge pas. C'est un garçon. => C'est un garçon.
On écrit « c'est » avec un -c quand... : On écrit « c'est » lorsqu'on peut remplacer par « cela est ». Il est alors suivi d'un groupe nominal, d'un pronom ou d'un adjectif qualificatif. Tout comme "ces" et "ses", « c'est » est utilisé pour montrer ou désigner quelque chose.
Pour les distinguer : Si l'on remplace le sujet par 'je' ou 'tu' 'se' devient 'me ' ou 'te', 's'' devient m' ou t' . C'est et s'est : La différence de nature : > c'est est formé de 'c'' qui est un pronom démonstratif et de 'est 'qui est une forme conjuguée du verbe 'être'.
C'est : contraction du mot « cela »
L'apostotrophe qui suit le « c » est la contraction du mot « cela ». Donc, si dans le sens de la phrase, on peut remplacer « c » par « cela », c'est bien « c'est » (et non « s'est ») qu'il faut écrire.
C'est : Cette expression est formée de c' un pronom démonstratif et du verbe être à la troisième personne du singulier est. S'est : Cette expression se forme de s', la forme contractée de se, le pronom personnel réfléchi et de est, troisième personne du singulier du verbe être.
Quand on écrit "s'est" devant un verbe, on conjugue un verbe pronominal à un temps composé. ➡️ On peut alors remplacer s' par me, te ou m', t'. Exemple : Je me suis cogné, tu t'es cogné, l'enfant s'est cogné. ➡️ On écrit "c'est", quand on peut le remplacer par "cela".
On écrit « s'est » devant un verbe.
Lorsqu'il est possible de le remplacer par « cela », on écrit alors « c'est ». Il est employé pour désigner quelque chose. « C'est » et « s'est » se prononcent de la même manière, mais on les utilise différemment car chacun a sa propre signification. Ce sont donc des homophones.
Exemple : C'était aussi mon cahier de l'année dernière (mon = déterminant possessif, cahier = nom masculin). Tandis que, dans une phrase « s'était » est précédé d'un participe passé, ou d'un adjectif qualificatif. Cet homophone ne peut être utilisé qu'avec la troisième personne du singulier.
Dans notre phrase, on a le verbe se passer (comme dans les phrases voilà comment ça se passe , qu'est-ce qui se passe ? ), donc accompagné du mot se . Quand on utilise se passer avec l'auxiliaire être , se devient s' et on écrit s'est passé .
Locution adverbiale
S'emploie pour exprimer l'incertitude quant à la proposition qui précède ou suit. Qui sait, ils ont pu avoir des bouchons sur l'autoroute... Qui sait si les médecins suffiront à la guérir...
Pourquoi n'écrit-on pas « ça c'est bien passé » ? Parce que « s'est passé» correspond au verbe passer, employé à la forme pronominale (se passer) et conjugué à la 3e personne du singulier du passé composé de l'indicatif. « ça » pronom démonstratif, est employé en langage familier à la place de ceci, cela.
Faux. Il faut écrire : La société s'est fait connaître grâce à une vidéo postée sur Internet. Immédiatement suivi d'un infinitif, le participe passé du verbe « faire » est invariable : ici, « faite » est suivi de « connaître ». Le participe passé ne s'accorde donc pas et on écrit « la société s'est fait connaître ».
Dans la phrase «c'est moi qui fait la vaisselle» on note par exemple le pronom personnel «moi». Donc, la première personne du singulier. Pour être correct, il faudra alors écrire: «c'est moi qui fais la vaisselle». Idem avec la deuxième personne: «c'est toi qui fais la vaisselle».
On utilise la marque 's pour exprimer une relation de possession entre deux choses. Elle s'utilise majoritairement lorsque le possesseur est un être animé (personne, groupe de personnes, animaux) ou un pays.
La réponse simple. Les deux formes sont admises, la plus recommandée est « ce qu'il s'est passé », la plus familière est « ce qui s'est passé » . Exemples : Renseigne-toi sur ce qu'il s'est passé.
C'était est la contraction du pronom « ce » suivi du verbe « être » conjugué à l'imparfait à la 3e personne du singulier. On peut remplacer « c'était » par « cela était ».
La virgule s'emploie obligatoirement entre les mots, les syntagmes et les propositions qui sont coordonnées sans conjonction (mais, or, et, etc.). On parle alors de juxtaposition. - On monte, on descend, on crie, on s'agite en tous sens.
On pourrait dire aussi est « est-ce possible » est strictement la forme interrogative de « c'est possible » (cela est possible) : [i]C'est possible de réserver aujourd'hui ; Est-ce possible de réserver aujourd'hui .»
Exemple : ''Ça y est, c'est fini !'' Le participe passé du verbe "finir" se termine par un "i" puisqu'il s'agit d'un verbe du deuxième groupe.
Accorder un verbe (sous forme de participe passé ou non) avec le sujet, est obligatoire quelle que soit la place du sujet, bien sûr ! Comment s'est passée ta journée ? Elle s'est bien passée !
La lettre c se prononce [s] devant les voyelles e, i et y. La lettre c se prononce [s] devant les voyelles a, o et u quand on lui ajoute une cédille : ç. La lettre c se prononcent [k] devant les voyelles a, o et u.
Cette phrase comporte trois difficultés : la dernière lettre de tout , la première lettre de s'est et l'accord de passé . On écrit tout s'est bien passé, avec un t à la fin du mot tout , avec un s au mot s'est et avec passé au masculin singulier.
-> On utilise tout, quand ce qui suit est au singulier. -> On utilise tous, quand le nom qui suit est au pluriel. tout = adjectif féminin : toute, pluriel : tous, toutes.
Le son [ t ] qu'on entend quand on dit est-elle correspond à la dernière lettre du verbe est , et il ne doit pas être noté par un t supplémentaire. On n'écrit pas est-t-elle .