Ce grand royaume comprenait (Les abron qui avait le pouvoir politique et la royauté, les agni bona et bini , les koulango l'exploitation de la terre, les nafana , les huela ,les degha et les malinkés de Bondoukou qui géraient le commerce pour la prospérité du royaume) , voir dans ''n'zima kotoko'' document du ...
bonjour en koulango, et dans votre langue, comment on dit ''bonjour'' ? Goualô !
Les Koulangos constituent un peuple du nord-est de la Côte d'Ivoire, autour des villes de Bouna et de Bondoukou et notamment dans le Parc national de la Comoé.
Les koulango ou kulango sont au nord est du pays... ils sont du grand groupe Gour ou voltaïque comme les sénoufos et les lobis..
Les Bété et les Gagou.
« Chez nous en pays Koulango, l'igname demeure un aliment de base et de qualité, une référence et aussi un symbole de notre région et nous en sommes fiers.
【Population】23,2 millions d'habitants (2016). La Côte d'Ivoire compte 69 ethnies, réparties en quatre groupes: les Akan représentent environ 42% de la population, les Mandé environ 27%, les Voltaïque environ 16% et les Krou environ 15%.
AGNI: Comme leurs cousins baoulés, les agnis sont des fanatiques de l'alcool. Ils sont “tout terrain”, du vin de palme à la bière en passant par n'importe quelle boisson frelatée (kindjouss, koutoukou,…). Il se dit aussi que les hommes agnis sont très avares.
4) Le groupe akan : à l'est, au centre et au sud-est se trouvent les Akan, l'ethnie la plus nombreuse, et que l'on divise en Akan du Centre (principalement Baoulé), en Akan frontaliers (Agni, Abron, etc.)
Les Akans sont une population d'Afrique de l'Ouest installée principalement au Ghana, en Côte d'Ivoire et au Togo où ils sont appelés les Ewe.
Créée dans le tout début du XVIIe siècle, la dynastie des souverains de Bouna qui remonte, en ligne droite, à son fondateur, Bunkani, était donc déjà vieille de près de trois cents ans au moment de la conquête française.
Eg elski teg : je t'aime.
Créole Guyanais (France - Guyane) : mo konten to. Créole de Guinée-Bissau (Guinée-Bissau) : a mi mistiu / mi mistiu.
Affiche "Je t'aime" en Malinké, Bambara, Dioula - "M'bifé"
Le dioula, langue des Ivoiriens
La langue officielle de la Côte d'Ivoire est le français. Mais la langue véhiculaire comprise par la majorité des Ivoiriens est le dioula, langue africaine parlée ou comprise par 20 millions de personnes en Côte d'Ivoire, au Mali, au Burkina Faso, en Guinée et au Ghana.
Les Dioulas sont un groupe de commerçants itinérants originaires de l'actuel Mali, d'origine malinkés, Bambaras et soninké. On les trouve principalement en Côte d'Ivoire, au Burkina Faso, et au Mali, dans une zone correspondant à l'ancienne aire d'influence du Mandé, dont ils sont originaires.
Le Cambodge
Le royaume du Cambodge a été élu pays le plus accueillant au monde à plusieurs reprises. Il faut dire que les Cambodgiens sont des gens foncièrement gentils et toujours prêts à vous aider. Les touristes et les personnes ayant un projet d'expatriation sont souvent surpris de cet accueil.
2.2.4.
Comme dans la plupart des langues, le principe est de réserver une formule adaptée pour saluer des personnes qu'on trouve à table. Les Agni utilisent cette formule : « Ô goua blè o ! ».
Tous les Agni affirment être partis d'Anyuan Niuan; les guerres ashanti étant encore une fois la cause des départs. Les migrations agni touchèrent quelques milliers de personnes et se firent par vagues succesives et irrégulières.
À l'opposé, les Baoulé, se référant volontiers à l'igname comme une composante de leur identité « ethnique », parviendraient à en maintenir une certaine consommation, et complètent leur régime alimentaire par un autre tubercule, le manioc : « C'est grâce au manioc que nous sommes encore là », disent certains Baoulé.
Dans son rapport d'août 2003 sur la Côte d'Ivoire, Human Rights Watch (HRW) a signalé que le terme « djoula » ou « dioula » signifie, en langue sénoufo, « commerçant », mais qu'il « désigne également un petit groupe ethnique du Nord-Est » (HRW août 2003; voir aussi AllAfrica 22 oct.
Rappelons brièvement que les Baoulé Assabou sont originaires de Г Asante et qu'ils ont quitté la confédération à la suite du conflit de succession dont les deux protagonistes ont été Dakon frère ď Abraha Pokou et Opokou Ware. Ces événements se sont produits en 1717 suite au décès du roi Osei Tutu6.