En science, il y a des méthodes, des techniques scientifiques qui s'interposent entre la savant et la nature, tandis que le philosophe a le problème en lui, il doit lui faire face pour pouvoir recréer sa propre vie selon ses exigences, les exigences de son esprit.
Le philosophe est celui qui veux proclamer la verite du monde intelligible tandis que un savant est quelqu'un qui detient le monopole de la science et de la sagesse du monde sensible. Un philosophe n'est pas un savant, ni un savant un philosophe, et pourtant tous deux sont animés par le souci de la vérité.
Qui sait beaucoup en matière d'érudition ou de science. C'est un homme fort savant. Il est savant en mathématiques, en philosophie, en histoire.
Un ou une scientifique a des connaissances dans le domaine des sciences. Souvent (mais pas toujours), il ou elle exerce un métier lié à la science. Un savant ou une savante est forcément savant “en quelque chose” (ex. : en mathématiques).
Personne qui étudie rationnellement la nature; personne qui cherche la vérité et cultive la sagesse.
Le philosophe effectue des recherches, réfléchit sur l'existence et sur les relations humaines au regard des fondements, des finalités et du sens de la vie et des événements. Il communique le fruit de ses réflexions par des conférences, des cours, des entrevues, des publications.
Le philosophe Friedrich Nietzsche (1844-1900) est célèbre pour ses aphorismes et ses courtes phrases percutantes : "Ce n'est pas le doute, c'est la certitude qui rend fou", "Dieu est mort", "Ce qui ne me tue pas me rend plus fort", "Deviens ce que tu es"…
La philosophie est une science mise au service d'une autre science suprême : la science du Bien. Elle n'est réductible ni à des procédés techniques ni à des opinions individuelles : elle se réfère à une Norme intelligible. Elle est la science du bon usage de ce qu'on sait : telle est la thèse de Platon.
La science et la philosophie furent longtemps inséparables. Dans l'Antiquité, la philosophie représentait la science suprême, celle « des premiers principes et des premières causes ». Les autres sciences, et notamment la physique, recevaient d'elle leurs fondements.
Qui sait beaucoup, en matière d'érudition ou de science. ➙ docte, érudit, instruit.
conscience de l'incertitude. Considérer comme vraisemblable, plus ou moins probable. L'adhésion est donc critique, lucide, réflexive. Sur le plan morale le fait de se fier, d'avoir confiance.
Il faut philosopher, c'est-à-dire penser pour penser, pour agir et pour exister, pour assumer une existence authentique, consciente d'elle-même, de ses valeurs, de ses fins et de sa raison d'être.
Phénarète ou Phaenarete (en grec ancien : Φαιναρέτη / Phainarétē) est la mère du philosophe athénien Socrate et de son demi-frère Patroclès.
Galilée (Galileo Galilei en italien) naît à Pise, en Italie, en 1564, au sein d'une famille de sept enfants.
La philosophie n'est pas une théorie mais une activité. Une œuvre philosophique se compose essentiellement d'éclaircissements.
Mathématicien, physicien et philosophe, ce grand scientifique s'était aussi intéressé au sort des mineurs.
Le physicien anglais Isaac Newton a eu plus d'importance pour l'Humanité et la science que l'Allemand Albert Einstein. Ce sont les résultats d'un débat passionné auquel ont participé 345 scientifiques, membres de la Royal Society, et environ 1300 autres personnes.
Diderot et d'Alembert font donc appel à plusieurs collaborateurs dont les auteurs connus: Montesquieu, Voltaire, Rousseau. À l'époque, d'Alembert est responsable des mathématiques et Diderot gère l'histoire et la philosophie.
La philosophie n'est pas née à proprement parler en Grèce, mais dans les colonies grecques d'Asie Mineure. C'est à Milet qu'une lignée de physiciens, souvent appelés ioniens en raison de leur origine, commencent à spéculer, dès le début du vi e siècle avant J.
Grèce antique : berceau de la philosophie
Son fondateur en est Socrate. Né après cette génération de penseurs, il a élaboré un cadre et des lignes directrices pour faire de ce mouvement une discipline. Il est donc considéré comme l'inventeur de la philosophie.
1Dans un passage de son traité Sur la nature des dieux (I 34, 93), Cicéron présente Socrate comme le “ père de la philosophie ”. Or suivant une autre tradition, bien établie, le premier philosophe fut en réalité Thalès de Milet, dont la naissance précède de plus d'un siècle celle de Socrate.
Bref, pour Platon, le philosophe se reconnaît essentiellement à ce que, possédant un "naturel philosophique", c'est-à-dire un "œil de l'esprit", une qualité innée par laquelle, connaissant suffisamment ses propres limites, il est capable de se tourner vers le monde intelligible où réside l'Idée du Bien, pour tenter d' ...
Jahn concluait qu'il existe bel et bien une philosophie africaine qui ne contredit pas la conception du monde proposée par la science contemporaine. Il a depuis lors été reconnu comme « le premier historien de la philosophie africaine » (Masolo 1994 : 37).