Emblen, les définitions de la religion forment une constellation de six mots clés : système, croyances, organisé, personne, culte, pratiques -, alors que la spiritualité est dessinée par les mots : personnel, vie, principe, animation, être, Dieu (dieu), qualité, relation et transcendant17.
La spiritualité est pour ceux qui sont éveillés. La religion est pour ceux qui ont besoin de quelqu'un pour leur dire quoi faire et qui veulent être guidés. La spiritualité est pour ceux qui prêtent attention à leur voix intérieure. La religion a un ensemble de règles dogmatiques.
Pour certains, le but de la spiritualité est une exploration profonde de l'intériorité, conduisant à l'éveil spirituel, une conversion intime, ou l'accession à un état de conscience modifié et durable.
La spiritualité au sens philosophique représente ce qui est indépendant de la matière, et donc caractérise ce qui est spirituel. C'est aussi un ensemble de croyances, des exercices qui concernent la vie spirituelle. La spiritualité caractérise la forme particulière que prennent ces croyances et ces pratiques.
Une personne spirituelle est tout simplement une personne qui est en harmonie avec elle-même et avec tout ce qui l'entoure : la nature, les animaux, les êtres humains. Elle accepte que tout ce qui l'entoure est une expression divine qui s'expérimente à travers tout ce qui vit.
À la fois l'Ancien Testament et le Nouveau Testament, et tout particulièrement les Épîtres de Paul, comptent plusieurs listes de dons spirituels. Afin d'éviter les confusions, il a été proposé de nommer plus spécifiquement quatre de ces listes : les sept dons, les charismes, les ministères, et le fruit de l'Esprit.
En pratique, il s'agit de prêter attention à son corps, sa respiration, son ressenti et son intuition. Pratiquer régulièrement quelques minutes de méditation permet de s'extraire du monde physique et de partir à la découverte de son esprit, et c'est ainsi une excellente manière de cultiver sa spiritualité.
Qui relève de la pensée. Synonyme : abstrait, intellectuel, mental.
La science spirituelle explique comment le modèle matérialiste standard de la réalité s'est développé et comment il est devenu un système de croyance. Ce système de croyance ne peut fonctionner qu'en niant (ou en expliquant à tort) toute une gamme de phénomènes qui font partie de l'expérience humaine.
Étymologie. ( X e siècle) Du bas latin spiritualis , variante de spiritalis (« propre à l'esprit »), dérivé de spīrĭtus « souffle, esprit ».
L'athée ne croit pas à l'existence de Dieu; l'agnostique croit que nous sommes incapables de savoir s'il existe ou non. Bien que le terme « agnosticisme » ait été inventé par T.H. Huxley (1825-1895), le point de vue est très ancien, remontant aux sceptiques grecs.
Elle concerne le désir de l'être humain de trouver du sens à son existence, d'approfondir sa capacité à aimer, à vivre des relations en vérité et s'il est est croyant, de vivre selon la tradition qui lui est propre.
Qui ne relève pas du monde physique, sensible (opposé à temporel). Le pouvoir spirituel (de l'Église). nom masculin Le spirituel : le monde spirituel. Qui concerne l'esprit, ou qui est d'ordre moral.
Interroger tes parents ou aux personnes qui joue le rôle de tes parents, car les parents connaissent mieux leurs enfants que quiconque. Poser la question à ses proches ce qu'il voit en vous. Ce que vous savez faire naturellement indique votre talent. Demander à Dieu par la prière.
Cette apologétique traditionnelle fait ainsi la distinction entre la question de l'essence (de la définition) de la religion et celle de sa vérité. Puisque la religion est essentiellement relation à Dieu, elle est vraie si Dieu existe, elle est fausse, ou du moins illusoire, s'il n'existe pas.
« La pratique religieuse ne découle pas de la croyance, comme une conclusion de prémisses, mais la croyance consiste dans une pratique » (Pouivet, 2006, 363).
Une expérience est spirituelle si elle permet de faire ressentir ou développer son esprit, son âme, en dehors de toute matérialité ; si elle contribue au perfectionnement de son être et à l'atteinte d'une sagesse.
Caractéristique générale des mouvements spirituels. Le MPC et le MPH insistent tous deux sur la pratique de l'auto-conscience afin d'avoir une méta-conscience sur la conscience, où le « je » observe le corps et le fonctionnement de la conscience et des émotions dans le corps.
Personne étant vue comme quelqu'un d'exemplaire d'un point de vue moral et exerçant une influence considérable dans la formation d'une autre personne.
Qui a de l'esprit, de la finesse dans sa manière de manier les idées : Un homme spirituel.
La crise spirituelle peut être décrite comme une forme particulière de deuil ou de perte, marquée par un profond questionnement ou un manque de sens dans la vie, dans laquelle un individu ou une communauté atteint un tournant, conduisant à une altération significative de la façon dont la vie est perçue.
Certaines choses sont essentielles, comme aller dans la nature, faire du yoga, de la méditation, des massages, faire du sport, etc. C'est aussi savoir se reposer et prendre du temps pour soi pour se ressourcer. Il y a un lien entre le corps, l'esprit et l'âme.
Stoll (1979) définit la notion de besoin spirituel comme un ensemble d'éléments nécessaires à l'établissement ou au maintien, ou les deux, d'une relation significative avec un Être suprême (tel que défini par l'individu) et qui favorise l'expérience de l'amour, du pardon, de l'espoir et de la confiance.