On distingue principalement deux grands types de douleur : la douleur aiguë, qui est de courte durée et constitueun signal d'alarme essentiel au maintien de notre intégrité physique, et la douleur chronique, qui est ressentie longtemps (plus de 3 mois) et persiste après guérison de la lésion l'ayant provoquée.
Les douleurs aiguës se caractérisent par un début soudain et une durée limitée. Les douleurs chroniques durent plus de trois à six mois, de façon continue ou intermittente.
À la différence d'une maladie aiguë, une maladie chronique n'est pas marquée par un début précis et se développe insensiblement sur des mois ou des années ; elle peut toutefois être émaillée de poussées aiguës plus ou moins brutales comme dans le cas de la polyarthrite rhumatoïde.
La douleur aiguë est une douleur vive, immédiate, et souvent brève. Elle est d'origine traumatique ou postopératoire, ou peut être provoquée par certains soins.
Une douleur est dite chronique dès lors qu'elle est persistante ou récurrente (le plus souvent au-delà de 6 mois), qu'elle répond mal au traitement et qu'elle induit une détérioration fonctionnelle et relationnelle.
Les symptômes de douleur chronique peuvent varier : il peut s'agir d'une douleur légèrement gênante jusqu'à une douleur complètement invalidante. Vous pouvez ressentir une douleur vive comme un coup de couteau, une sensation de brûlure, ou une douleur musculaire sourde.
Le syndrome douloureux chronique est une maladie en soi qui créée un « handicap » dont l'évaluation est importante pour déterminer et évaluer la prise en charge du patient.
Avec médicaments: les analgésiques sont des médicaments qui permettent d'atténuer, voire de supprimer, la douleur. On les assortit souvent d'anticonvulsivants, de myorelaxants, d'anxiolytiques, de corticoïdes, d'antispasmodiques ou d'antidépresseurs.
Une attaque de panique (ou crise d'angoisse aiguë) est un épisode de peur soudaine et intense, bien délimité dans le temps. La durée totale d'une crise varie de quelques minutes à une heure, voire un peu plus, avec une moyenne de 20 à 30 minutes.
Récit dans lequel les faits sont enregistrés dans l'ordre chronologique. 2. Récit d'événements réels ou imaginaires qui suit l'ordre du temps : La chronique d'une famille au second Empire.
La phase aiguë d'une maladie, période pendant laquelle la maladie est à son plus haut degré de développement. Fig. Soudain et de grande intensité. Un conflit aigu, une crise aiguë.
Il existe trois façons de classer la douleur : Temporelle : aiguë ou chronique. Étiologique : d'origine cancéreuse ou non. Physiologique : nociceptive, neuropathique, mixte.
Échelle Numérique (EN) De 0 à 10 ou 0 à 100. Le patient nécessite une prise en charge de la douleur si EN ≥ 4/10 (échelle de 0 à 10 en cm) ou EN ≥ 40/100 (échelle de 0 à 100 en mm). Douleur absente = 0 ; douleur faible = 1 ; douleur modérée = 2 ; douleur intense = 3 ; douleur extrêmement intense = 4.
Les patients souffrant de douleur chronique peuvent être reçus dans un centre antidouleur (établissement médical). Ils sont pris en charge par une équipe médicale pluridisciplinaire comprenant des médecins, des infirmier(e)s, des psychologues, des physiothérapeutes ou encore des travailleurs sociaux.
Un algologue est un médecin qui s'est spécialisé dans la prise en charge de la douleur, en faisant une formation complémentaire (DIU). Il peut être généraliste, anesthésiste, rhumatologue, neurologue, pédiatre, gériatre, et parfois psychiatre.
On classe les médicaments antidouleur, appelés antalgiques, selon l'intensité douloureuse qu'ils sont censés soulager : les médicaments du palier 1 sont utilisés pour traiter des douleurs d'intensité faible : ce sont par exemple le paracétamol, l'aspirine ou les anti-inflammatoires classiques.
Quand la douleur persiste, ces réactions s'épuisent, et le stress se chronicise : les troubles du caractère, la fatigue, la perte d'envie, la perte d'énergie s'installent. L'inactivité physique, le retrait de la vie professionnelle et sociale, la perte de contact avec ses amis dépriment la personne souffrante.
La douleur aiguë joue un rôle d'alarme qui va permettre à l'organisme de réagir et de se protéger face à un stimulus mécanique, chimique ou thermique : elle est liée à des stimulations intenses qui déclenchent immédiatement un mécanisme de transmission d'informations depuis les terminaisons nerveuses – les récepteurs ...
Selon la définition officielle de l'association internationale pour l'étude de la douleur (IASP), "la douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable associée à une lésion tissulaire réelle ou potentielle ou décrite dans ces termes".
Sommaire Reine des prés et écorce de saule (mal de tête) Bicarbonate de soude (estomac) Gaulthérie (douleurs articulaires) Menthe (piqûres) Camomille (règles) Harpagophytum (arthrose) Lavandin super (crampes) Clou de girole...
«Lors d'une nuit de sommeil, notre organisme produit moins de cortisol, une hormone naturellement anti-inflammatoire.» Ces douleurs positionnelles de repos sont encore plus vives avec les pathologies d'origine inflammatoire, telle l'arthrite, où les œdèmes articulaires sont omniprésents.
Le système le plus simple et le plus couramment utilisé est l'échelle numérique (EN) qui consiste à demander au patient de noter sa douleur de 0 à 10, 0 étant l'absence de douleur et 10 la douleur maximale imaginable.