Si la toux peut survenir chez des personnes prédisposées à l'asthme ou à la rhinite allergique, les courbatures, les frissons et la fièvre sont, elles, plus spécifiques et témoignent plutôt d'une infection au coronavirus.
Les symptômes secondaires à des allergies respiratoires peuvent selon les situations ressembler à la Covid-19, notamment la toux et les difficultés respiratoires lors des crises d'asthme. Cependant, on ne trouve ni fièvre, ni courbatures dans les allergies.
Les crises d'asthme sont le plus souvent de courte durée, variables et réversibles, contrairement à l'insuffisance respiratoire liée au COVID-19 qui est de plus longue durée. Si vous êtes allergique aux pollens, vous pouvez continuer à prendre vos traitements habituels (inhalateurs, comprimés).
Être allergique n'est pas un facteur de risque. Les symptômes secondaires à des allergies respiratoires peuvent selon les situations ressembler au COVID-19, notamment la toux et les difficultés respiratoires lors des crises d'asthme.
On considère qu'une personne a de la fièvre lorsque sa température est supérieure à 38°C le matin ou 38,3°C le soir (pour les enfants, cliquez ici).
Prendre sa température corporelle permet de déceler l'apparition de la fièvre. On considère qu'une personne a de la fièvre lorsque sa température est supérieure à 38°C le matin ou 38,3°C le soir (pour les enfants, cliquez ici). En général la fièvre n'est pas en elle-même dangereuse.
Dans le cas d’une infection au COVID-19, le paracétamol est recommandé. Si vous êtes déjà sous anti-inflammatoires ou en cas de doute, demandez conseil à votre médecin ou consultez le site https://www.covid19-medicaments.com.
Si vous êtes allergique aux pollens, vous pouvez continuer à prendre vos traitements habituels (inhalateurs, comprimés). Il n’existe pas de risque associé aux traitements antiallergiques, y compris les corticoïdes qui sont prescrits à faible dose dans le cadre des allergies.
Le délai d’incubation (période entre la contamination et l’apparition des premiers symptômes, s'ils apparaissent) de la Covid-19 est de 3 à 5 jours en général, mais peut s’étendre jusqu’à 14 jours.
L'infection à la SARS-CoV-2 entraîne des décès surtout chez les personnes âgées et les plus fragiles, présentant des pathologies pré-existantes : les personnes de plus de 65 ans représentent environ 90 % des décès.
Les symptômes d’une grippe pandémique sont similaires à ceux de la grippe saisonnière : fièvre élevée (> à 38°C), courbatures, fatigue, toux et gêne respiratoire. La durée d’incubation peut aller jusqu’à sept jours et une personne grippée est contagieuse dès les premiers symptômes et pendant environ sept jours.
On les regroupe habituellement en plusieurs « rubriques » : neurologiques, fatigue, troubles cardiaques respiratoires, douleurs musculaires ou articulaires, atteinte du gout de l'odorat, du système digestif, troubles cutanés…
Si vous présentez des symptômes post-Covid persistants, il vous faut :
« Quand on a eu un Covid-19, quelle que soit sa gravité, hospitalisation ou non, on est à risque de développer, jusqu'à six mois après l'infection, des pathologies mentales comme des dépressions, des troubles anxieux ou des troubles du sommeil, et également des difficultés cognitives. »
À noter que le test de référence pour détecter le virus du Covid-19 est le test PCR sur prélèvement nasopharyngé. > La liste des tests autorisés en France est disponible sur le site du ministère des solidarités et de la santé : https://covid-19.sante.gouv.fr/tests.
➜ Dans le cas d'une infection au COVID-19, le paracétamol est recommandé. Si vous êtes déjà sous anti-inflammatoires ou en cas de doute, demandez conseil à votre médecin ou consultez le site https://www.covid19-medicaments.com.
Les personnes contacts à risque, quel que soit leur statut vaccinal, ne doivent plus s'isoler. Elles doivent réaliser un test (TAG, RT-PCR ou autotest) à J+2 de la notification du statut de contact, et appliquer de manière stricte les mesures barrière dont le port du masque.
Par contact indirect, via des objets ou surfaces contaminées par une personne porteuse. Le virus est ensuite transmis à une personne saine qui manipule ces objets, quand elle porte ses mains à la bouche.
Si le test est positif ou si la personne ne réalise pas de test, son isolement est maintenu à 10 jours. Le respect des gestes barrières (port du masque et mesures d'hygiène) est à respecter les 7 jours suivant la sortie d'isolement du cas positif.
De manière générale, l'auto-médication par anti-inflammatoires doit être proscrite : il semblerait que les anti-inflammatoires non stéroïdiens puissent être un facteur d'aggravation de l'infection.
Dans le cas d'une infection au COVID-19, le paracétamol est recommandé.
En l’état actuel des connaissances, selon le Haut Conseil de la Santé Publique, les malades guéris peuvent à nouveau rentrer en contact avec d’autres personnes après la levée de l’isolement strict.
Le virus touche toutes les classes d'âges, y compris les plus jeunes, chez qui on constate aussi des complications ou des formes graves.
L’infection n’a pas les mêmes conséquences chez tous les individus.
Non. Rien ne prouve que le fait de se rincer régulièrement le nez avec une solution saline protège les gens contre l’infection par le nouveau coronavirus.
Il existe quelques éléments probants indiquant que cette pratique peut aider les gens à se remettre plus rapidement d’un rhume ordinaire. Cependant, il n’a pas été démontré que le fait de se rincer régulièrement le nez permettait de prévenir les infections respiratoires
Au vu des connaissances actuelles, les animaux de compagnie ne transmettent pas le virus COVID-19. Ce virus se transmet d'homme à homme mais il peut vivre quelques heures sur le pelage d'un animal.
Le ventilateur ne peut plus être utilisé en collectivité, dans les milieux clos où se trouvent plusieurs personnes. Il peut en revanche être utilisé dans le milieu familial en l'absence de personnes malades ou pour une personne seule en l'arrêtant en présence de visiteurs.