« La célèbre dionée attrape-mouche (Dionaea muscipula) qui semble compter le nombre de fois où un poil sensitif est provoqué à la surface de son piège avant de décider de se fermer sur l'insecte malchanceux qui se trouve à l'intérieur, pourrait constituer un exemple classique de “d'intelligence des plantes”, dit-elle.
La sensitive (mimosa pudica) elle aussi est dotée de mémoire. Cette plante, connue pour replier ses feuilles lorsqu'on la touche et qu'elle se croit menacée, est capable de mémoriser l'absence de danger et d'adapter ses comportements.
Dans le monde végétal, en revanche, il n'y a pas d'organe dédié à la cognition (cerveau). L'information est donc traitée par toutes les cellules de la plante, là aussi par des signaux électriques et chimiques, mais sans être centralisée.
Les plantes se parlent grâce à leurs racines. Quand des plantes se touchent par leurs feuilles, elles envoient des signaux chimiques dans le sol qui signalent à leurs voisines d'éviter les zones trop peuplées.
Jacques Tassin : Les plantes n'ont pas besoin d'être intelligentes : elles sont bien mieux que ça ! Elles sont ultrasensibles, mais pas au sens émotionnel du terme. Alors que les animaux n'ont que quelques organes sensoriels, elles perçoivent leur environnement par l'ensemble de leur organisme.
Les plantes sont des êtres vivants, il est donc normal de penser qu'elles peuvent ressentir la douleur, mais la réponse à cette question est négative : les plantes ne ressentent pas la douleur, car elles ne disposent pas du système nerveux et du cerveau pour traiter les stimuli de cette manière.
En fonction de ce qu'elles “captent”, elles poussent plus ou moins vite, et se développent dans certaines directions plutôt que d'autres par exemple. Il est donc possible de parler aux plantes pour contribuer à leur croissance.
Autrefois ignorés, les arbres ont retrouvé leur place parmi les vivants grâce aux études scientifiques récentes. Ces êtres sont munis d'une « conscience de soi », d'une sensibilité et d'une forme d'intelligence, constatent les chercheurs.
Les dictionnaires définissent la vue comme la faculté de percevoir des stimuli visuels à travers les organes affectés à cette fonction. Dans cette acception, les plantes n'ont pas d'yeux mais elles perçoivent les stimuli visuels et notamment la lumière à un niveau de développement et de sophistication considérable.
La souffrance des plantes, aussi hypothétique qu'inexistante. Il n'y a tout simplement aucune étude scientifique qui trouve la moindre trace de douleur chez les plantes ni même des études qui le suggéreraient. Nous ne pouvons donc pas dire aujourd'hui que les plantes souffrent.
Les plantes (Plantae) sont des organismes photosynthétiques et autotrophes, caractérisés par des cellules végétales. Elles forment l'un des règnes des Eukaryota. Ce règne est un groupe monophylétique comprenant les plantes terrestres.
Certaines plantes sont connues pour améliorer le fonctionnement du cerveau. Elles apportent un cerveau plus clair, une meilleure cognition, plus de concentration et de motivation, améliorent la mémorisation, limitent l'anxiété et le stress, et enfin protègent notre cerveau des maladies neurodégénératives.
Les arbres communiquent par l'air
Le système racinaire n'est toutefois pas le seul mode de communication des arbres entre eux. Ainsi ont-ils développé plusieurs sens, comme nous. Non seulement le toucher, mais aussi le goût, ou l'odorat, sinon la vue.
Les plantes perçoivent leur environnement et s'y adaptent par diverses formes de mouvements. Des capacités qu'on a longtemps cru réservées aux animaux et que l'on commence à décrypter.
De plus, les besoins de telle ou telle lumière va dépendre de la phase de développement de la plante : elles utilisent plutôt de la lumière bleue lorsqu'elles sont en période de croissance (entre 400 et 500 nm) et plutôt de la lumière rouge lorsqu'elles sont en période de floraison (entre 620 et 780 nm).
Selon les recherches menées par Peter Wohlleben, spécialiste en écologie forestière, les arbres ont des émotions, ils sont capables de ressentir la douleur, la peur et même l'affection.
Les plantes ont ainsi conscience du type de lumière ou de contact, de la gravité et des signaux chimiques qui les atteignent, de leurs expériences passées et des conditions de leurs modifications physiologiques antérieures (Chamovitz, 2014, p. 166).
La sylvothérapie, vous connaissez? C'est cette nouvelle tendance qui consiste à améliorer son bien-être au contact des arbres. À booster son énergie, à diminuer son stress en leur parlant ou en les enlaçant dans ses bras.
Orchidée : symbolise l'amour, la fertilité et le raffinement. Pachira : apporte bonne fortune et prospérité Palmier : signifie victoire. Peperomia : représente la confiance, l'optimisme.
Pour que leur croissance soit verticale, les arbres ont besoin à la fois d'un « squelette », qui est obtenu par la rigidité et la résistance du tronc, et d'une « musculature » pour contrôler leur posture en générant des forces compensant l'effet de la gravité.
Contrairement aux mammifères et aux reptiles, la plupart des insectes ne modifient pas leurs comportements après avoir été blessés. Pour de nombreux experts, ce phénomène a été interprété comme une insensibilité à la douleur.
Depuis 30 ans, les travaux des biologistes révèlent que les plantes sont sensibles au toucher et aux flexions. Lorsqu'elles sont soumises au vent, elles ont une croissance en hauteur moins importante mais un meilleur ancrage racinaire et une croissance en épaisseur plus visible.
Il recommande une consommation accrue de 10 composants sains, parmi lesquels les légumes à feuilles vertes, le poisson, les baies, les noix… et la limitation de 5 composants néfastes comme le fromage, les viandes rouges, les beurre et margarine, les aliments frits, les pâtisseries et sucreries.
Le thé vert pour booster sa mémoire
Le thé vert renferme des catéchines. Ce sont des antioxydants de la famille des flavonoïdes reconnus pour piéger les radicaux libres. Ainsi, il contribue à la protection des neurones du cerveau du stress oxydatif. De plus, le thé contient de la caféine (théine).