Il associe d'abord la croix à un instrument de torture, croix sur laquelle le christ fut crucifié. C'est alors un signe de mort. Suivra la victoire sur la mort, la résurrection, un des piliers de la foi chrétienne. La croix devient alors un symbole et s'orne d'or et de pierres précieuses.
Pour les alchimistes, la branche verticale, dressée, symbolise le principe masculin, et la branche horizontale, couchée, le principe féminin; leur conjonction est signe de vie 1. Son usage en tant que symbole religieux remonte plusieurs siècles avant l'époque du Christ et a une valeur universelle.
ORIGINE DU SIGNE DE CROIX
À l'origine, bien des siècles avant Jésus, on a l' habitude en terre d'Israël de tracer sur le front un signe de bénédiction divine en forme de +, ancienne graphie du tav, la dernière lettre de l'alphabet hébraïque désignant le T de Torah.
Ils veulent se sentir plus proches de leur souverain habitant dans le ciel. En revanche, comme pour une personne non chrétienne, les religieux portent la croix aussi en guise d'une main forte qui les soutiendraient à tout instant.
Crucifix est un terme issu du latin ecclésiastique du XII e siècle crucifixus, participe passé du verbe crucifigere, qui signifie « fixer sur une croix ». Un crucifix est donc une croix supportant une statuette de Jésus-Christ dans la posture de la crucifixion.
Une croix est donnée à une personne lors du rite du baptême. Selon les lois de l'église, il faut le porter constamment sans l'enlever. Dans le même temps, une croix est un élément plutôt intime, qui ne doit pas être affiché. Par conséquent, il est suggéré que les gens le portent sous les vêtements.
Selon une tradition chrétienne qui remonte à la fin du IV e siècle, c'est la mère de l'empereur Constantin Ier , l'impératrice Hélène, qui aurait découvert la Croix de Jésus ainsi que celles des deux larrons, lors d'un pèlerinage en Palestine entrepris en 326.
PORTE-CROIX, subst. masc. A. − Personne qui porte la croix devant le pape ou un grand personnage de l'Église, ou dans une procession.
Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ? (Mc 15,34 et Mt 27,46) crié « à voix forte » en araméen Eloï, Eloï, lama sabbaqthani ? (Ps 22:2) Souffrance suprême du sentiment d'abandon : la nuit obscure de l'homme Jésus, qui pourtant cite un psaume qui s'achève sur la réhabilitation du juste – et la mort survient à ...
La présence de Trois Croix au sommet du Rocher semble attestée depuis la nuit des temps, puisque leur origine, selon la légende locale, remonterait à la mort du Christ.
Elle symbolise bien entendu la mort, mais aussi l'ironie de la religion, et une certaine beauté. Ceux qui la portent à l'endroit la prennent simplement comme une "critique". Ceux qui la portent à l'envers sont à la base des "révoltés", les anti-religieux, ceux qui sont agressifs vis-a-vis des croyances chrétiennes.
Dans certaines des illustrations qui les accompagnent, en effet, la croix ou le crucifié se dressent contre le lit du mourant pour l'inviter à se préparer à quitter ce monde et à remettre son âme à Dieu.
Dessiner sur soi-même une croix, symbole de la Passion du Christ, marque l'appartenance à une communauté chrétienne et constitue une profession de foi, se remettre à la rédemption par le Christ. On dit alors de la personne qu'elle « se signe ».
C'est en référence au Christ et à sa Passion que l'on utilise cette expression, "porter sa croix", qui signifie que l'on supporte des épreuves difficiles avec patience lorsque l'on ne peut y remédier.
Elle doit être accrochée au dessus, ou à proximité immédiate de la porte d'entrée de votre demeure. Émettrice d'ondes positives, elle vous protège de celles et ceux qui, en venant chez vous, ne sont pas forcément porteurs de bons sentiments.
Selon certains auteurs, croix de Lorraine ou double croix désigneraient historiquement une croix dont les deux traverses sont de même longueur, au contraire de la croix patriarcale dont la traverse supérieure est plus courte. De nos jours on appelle indifféremment croix de Lorraine toute croix à deux traverses.
Dans la foi chrétienne
Selon la tradition chrétienne, la mort de Pierre est rattachée aux persécutions de Néron contre les chrétiens. Pierre serait mort en 64 : Eusèbe de Césarée affirme que Pierre « fut crucifié la tête en bas, après avoir lui-même demandé de souffrir ainsi ».
Le patibulum est la partie transversale de la croix destinée au crucifiement. Il pouvait être attaché deux ou trois pieds en dessous de l'extrémité supérieure du poteau planté verticalement mais la forme la plus commune utilisée par les romains était la crux commissa, croix de Tau, formée comme notre T.
Vous pouvez souvent voir des croix dites gothiques («Fleuree»). Ils ressemblent à une croix dont les bras se développent comme des pétales de fleurs. Ce signe symbolise une personne chrétienne mature.
Le terme « gothique » est péjoratif. Il est inventé à la Renaissance par des artistes italiens, qui assimilent ces constructions ne respectant pas les canons esthétiques gréco-romains aux cabanes primitives des habitants des forêts germaniques : les Goths.
« Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ? » (v. 2, cf. Mt 27, 46).
Le 7 avril 30, Jean, qui « a vu [et] rend témoignage » (Jean 19, 35), atteste la présence de Marie au Golgotha : « près de la croix de Jésus, sa mère se tenait debout, avec la sœur de sa mère, Marie, femme de Clopas, et Marie Madeleine » (ibid. v. 25).