Le pronom relatif a aussi une fonction grammaticale à l'intérieur de la proposition subordonnée relative. Exemple : Il aime les histoires [qui font peur]. : qui = sujet du verbe faire. Exemple : Le roman [que je lis] lui plairait ! : que = COD du verbe lire. Ressource affichée de l'autre côté.
« Que » est une conjonction de subordination quand il est utilisé pour introduire : - une proposition subordonnée conjonctive complétive (COD) ; Ex. : Elle sait bien que c'est sa sœur qui lui a volé son journal intime. - une phrase de type injonctif au subjonctif.
« Que » remplace « les livres » (masculin pluriel). Il occupe la fonction de COD dans la relative et il est placé avant le verbe conjugué avec l'auxiliaire avoir : le participe passé doit s'accorder au masculin pluriel. - quand l'antécédent est un pronom personnel. Ex. : C'est toi qui me l'as dit.
Une proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif simple : qui, que, quoi, dont, où, ou composé : lequel, auquel, duquel… Le chat [que l'on m'a donné] est un bon chasseur de souris. Elle complète un nom ou un pronom appelé antécédent et dont elle est une expansion.
Lorsque dans une subordonnée relative, l'emploi de "dont" permet d'identifier le possesseur il ne faut pas employer le déterminant possessif. Vous devez dire : C'est l'enseignant dont j'apprécie tant les cours.
"qui", "que", "dont" sont des pronoms relatifs. Un pronom relatif représente et remplace son antécédent placé généralement devant lui. Il prend le genre et le nombre de cet antécédent. Un pronom relatif introduit une proposition qui sert de complément à ce nom (ou pronom).
Définition de dont pronom. Pronom relatif des deux genres et des deux nombres servant à relier une proposition correspondant à un complément introduit par de. ➙ duquel, de qui.
Qui, pronom relatif. Qui, sujet, peut représenter des personnes ou des choses : l'homme qui parle ; le chien qui aboie ; la pomme qui tombe.
Les conjonctions de subordination « quand » et « que » introduisent les deux propositions subordonnées conjonctives (coordonnées entre elles par la conjonction de coordination « et »), ayant toutes deux pour fonction : complément circonstanciel de temps du verbe « aiderai ».
Il existe trois sortes de propositions subordonnées : – les propositions subordonnées complétives ; – les propositions subordonnées circonstancielles ; – les propositions subordonnées relatives.
Que = pronom relatif : il introduit une proposition subordonnée relative. Que représente l'antécédent qui se trouve dans la proposition principale. Que: conjonction de subordination : il introduit une proposition subordonnée conjonctive. Que ne représente aucun autre mot.
Les sept fonctions grammaticales liées au verbe sont le sujet, le COD, le COI, le COS, l'attribut du sujet, l'attribut du COD et le complément d'agent.
La subordonnée relative a comme fonction principale de compléter le sens de son antécédent. Elle joue un rôle d'adjectif épithète. On la nomme parfois aussi subordonnée adjective. Elle occupe la plupart du temps la fonction de complément de nom ou de pronom.
Que, pronom relatif. Pron. relatif complément d'objet direct ou attribut : l'homme que je vois ; misérables que nous sommes. C'est de cela que / c'est cela dont.
Cette locution introduit un objectif. Untel réalise une action dans le but d'un résultat précis. Exemple : Je t'ai envoyé une invitation il y a deux semaines, pour que tu aies le temps d'y réfléchir.
Une proposition subordonnée peut être complément du nom (ou du pronom) antécédent. C'est la fonction la plus fréquente de la proposition subordonnée relative. Ex. : Nous n'avons pas encore mangé le gâteau [que tu as confectionné]. → que tu as confectionné est complément de l'antécédent gâteau.
Les subordonnées circonstancielles introduites par "que" obéissent aux mêmes règles : indicatif si le fait est considéré dans sa réalité, subjonctif si le fait est une simple possibilité ou mis en doute, conditionnel si le fait dépend d'une condition - exprimée ou non.
Rappel : De nombreuses expressions avec que (quoique, bien que, encore que, afin que, etc) sont généralement suivies du subjonctif. Je suis contente de te voir bien que tu sois en retard.
« QUE », pronom relatif, introduit une proposition subordonnée relative. Il est complément d'objet du verbe et remplace le groupe nominal antécédent de la proposition principale. Ex. : La maison que j'ai achetée est grande.
La proposition principale, la proposition indépendante ( coordonnée, juxtaposée ou non ) n'ont pas de fonction. La proposition subordonnée relative est toujours complément de l'antécédent du nom. La proposition subordonnée conjonctive a pour fonction Complément circonstanciel (de temps, de manière, de but, de cause...)
« Qui », « que », « dont » et « où » sont tous des pronoms relatifs.
Les pronoms relatifs. Un pronom relatif est un mot subordonnant. Il introduit une subordonnée relative et sert de lien entre cette proposition et le nom (ou pronom) qu'elle complète : l'antécédent. En tant que pronom, il représente l'antécédent dans la subordonnée relative.
On appelle « complément d'agent » une fonction occupée par un groupe de mots dans la phrase passive. Ce groupe de mot indique qui fait l'action exprimée par le verbe à la voix passive. Ex. : Une voiture a été volée hier soir par un individu. Le complément d'agent n'existe que dans la phrase passive.
Auquel (à laquelle, etc.), duquel, de la quelle, pour lequel, avec lequel, etc. Ces pronoms relatifs sont compléments d'objet indirect, compléments d'objet second ou compléments circonstanciels, selon les cas, du verbe de la relative. Ils ont le plus souvent un antécédent non animé.