La somme algébrique des intensités des courants dans les conducteurs orientés vers un nœud est égale à la somme algébrique des intensités des courants dans les conducteurs orientés à partir du nœud.
Une maille est un parcours fermé sur un circuit électrique à laquelle on va associer un sens de parcours (arbitraire). Loi des mailles : dans une maille orientée, la somme des tensions fléchées dans un sens de parcours est égale à la somme des tensions fléchées dans l'autre sens de parcours.
Loi des mailles : Dans une maille, la somme algébrique des tensions (En faisant attention au sens du courant) est toujours nulle.
La loi des mailles est utilisée dans le domaine électrique pour établir une relation mathématique concernant les tensions au sein d'une maille d'un circuit électrique.
La loi des nœuds stipule que la somme des intensités de courant électrique (I) qui entre dans un nœud doit être égale à la somme des intensités de courant qui sort de ce nœud.
La loi de Pouillet applicable aux résistances
Elle se note ainsi : [ R = frac{ rho l} { s } ] avec : ρ : résistivité du conducteur ; l : longueur du conducteur ; s : aire de la section du conducteur.
Loi n°3 : La tension aux bornes d'un ensemble de dipôles branchés en série est égale à la somme des tensions aux bornes de chaque dipôle : c'est la loi d'additivité de la tension. Loi n°4 : Les tensions aux bornes de dipôles branchés en dérivation sont égales : c'est la loi d'unicité de la tension.
1. Élément constitutif de toute surface textile comportant un réseau plus ou moins lâche de fils entrelacés (tricots, tulles, filets, notamment) ; trou formé par chaque boucle : Poisson qui passe à travers les mailles. 2. Boucle de fil reliée à d'autres boucles pour former un tricot.
Elles portent le nom du physicien allemand qui les a établies en 1845 : Gustav Kirchhoff.
Maille = ensemble de branches formant une boucle fermée en ne passant pas deux fois par le même noeud.
On peut également calculer le volume d'une maille. En effet, Toutes les mailles sont des prismes. À partir des valeurs a b c qui correspondent aux longueurs des arêtes de la maille, on peut donc donner une formule générale du volume d'une maille : V = a b c.
Elle s'écrit : U = R × I . U = tension aux bornes de la résistance, en volt (V). I = intensité qui traverse la résistance, en ampère (A). R = valeur de la résistance, en Ohm (Ω).
Dans maille FERMEE, la somme des tensions ayant le même sens que le courant est égale à la somme de celles qui s'y opposent.
La tension est la même aux bornes de dipôles branchés en dérivation : c'est la loi d'unicité des tensions dans un circuit avec des dipôles branchés en dérivation les uns par rapport aux autres.
LOI D'ADDITIVITE DES TENSIONS DANS UN CIRCUIT EN SERIE : Dans un circuit en série, la tension entre les bornes du générateur, est égale à la somme des tensions entre les bornes des dipôles récepteurs.
Dans une maille orientée dont on a fixé arbitrairement le sens de parcours, la somme des tensions est nulle. On remarque que la tension électrique aux bornes d'un générateur (ici une pile) se représente en sens inverse de celles des autres dipôles.
Maille. La maille correspond à la plus petite structure permettant d'obtenir le cristal par répétition périodique dans les trois directions de l'espace.
Réseau cubique simple
La maille est cubique et est définie par son origine O et trois vecteurs de base . Pour que les sphères centrées aux nœuds du réseau soient tangentes, il faut que leur rayon soit égal à la moitié de la longueur d'une arête de la maille (figure de gauche).
L'intensité obéit à la loi d'additivité : Dans un circuit en dérivation l'intensité dans la branche principale est égale à la somme des intensités de toutes les branches dérivées.
Le courant électrique est un déplacement d'électrons. Pour les faire se déplacer, il faut un générateur de courant qui va créer un déséquilibre de charge (différence de potentiel) afin d'attirer et de repousser les électrons. Ce déséquilibre de charge est appelé « tension électrique ».
Concept. Une loi physique exprime une relation qui est vraie quelles que soient les conditions dès lors que les deux mêmes variables sont en présence. Ainsi, Jules Jamin écrit que « quand une loi physique est constatée pour un corps arbitrairement choisi, on doit s'attendre à la retrouver dans tous les cas analogues ».