La justice de Dieu n'est pas une justice exercée, ni la loi en vertu de laquelle le pécheur est puni, mais une justice reçue, une justice passive, par laquelle Dieu nous acquitte du péché,
La justice est le devoir de tous, des rois, des puissants, du peuple. Le pauvre et l'humble doivent être protégés contre l'injustice.
Pratiquer la justice signifie agir de manière honorable envers Dieu et notre prochain. Nous agissons de manière honorable envers Dieu en marchant humblement avec lui. Nous agissons de manière honorable envers les autres en aimant la miséricorde.
a) Qui juge, qui se comporte selon la justice. Dieu, maître, peuple juste; âme, cœur juste; être, se montrer juste à l'égard de, envers qqn. Il n'y a point d'homme innocent dans ce monde; (...)
Le Jugement dernier (ou Jour du Seigneur, ou encore Jugement universel) est, dans les religions abrahamiques, le jour où se manifestera aux hommes le jugement de Dieu sur leurs actes, leurs paroles et leurs intentions.
Seul Dieu juge et seul il prononce la sentence en vérité. Juger humainement, c'est mépriser la richesse de sa bonté, de sa patience et de sa longanimité » (Rm 2,4). Car le « juste jugement » de Dieu (ἡ δικαιοκρισία dikaiokrisia) ne relève pas de notre conception de la justice.
Et bien, nous avons les premiers principes et ordonnances de l'Evangile : la foi, le repentir, le baptême et le Saint-Esprit ; de plus, le royaume de Dieu comprend les lois qui enseignent le chemin qui mène à la perfection.
1. Qui a le souci de la justice, qui respecte le droit et l'équité : Se montrer juste à l'égard de ses subordonnés. 2. Qui est conforme au droit, à l'équité : Une décision juste.
Le Royaume des Cieux et Sa justice sont donc la bonté, la délivrance, la paix, la joie, la guérison, l'accomplissement des promesses, le pardon des péchés, la justification, le plan de bonheur de Dieu pour l'humanité et la vraie justice qui vient de Dieu pour toute la Terre entière.
« Quand un malheureux crie, l'Éternel entend, Et il le sauve de toutes ses détresses ». Psaume 34 : 7. Dieu est bon, il est amour, et il n'est pas sourd, car il entend le malheureux, il entend le malade, il entend les cris de souffrance, de désespoir.
Les grands principes de la justice
La justice est indépendante car séparée des pouvoirs (exécutif et législatif), gratuite, égale et ouverte à tous sans aucune discrimination.
La justice civile permet de résoudre les conflits entre particuliers et ceux du monde du travail. Le tribunal d'instance arbitre les conflits concernant la vie quotidienne. Le tribunal de grande instance s'occupe du droit de la famille. Le conseil des prud'hommes juge les conflits du monde du travail.
La Justice fait respecter les règles de la vie en société. Elle sanctionne les actes et comportements interdits par la loi, mais pas seulement ! Elle protège les personnes les plus fragiles comme les enfants. Elle est aussi là pour mettre fin à des conflits*.
1. Principe moral qui exige le respect du droit et de l'équité : Faire régner la justice. 2. Qualité morale qui invite à respecter les droits d'autrui : Agir en tout avec justice.
Le glaive et l'épée de Justice sont avant tout des symboles de puissance qui se démarquent de la balance, symbole d'équité non-violent. Sans force pour appliquer les décisions, la balance est inutile, ces deux armes symbolisent cette fonction.
Étymologie. Du latin iustitia , de iustus (« juste »), lui-même dérivé de ius (« le droit »).
Le Royaume de Dieu ou Règne de Dieu ou Royaume des cieux est un concept théologique à dimension eschatologique du judaïsme et du christianisme ainsi que, dans une moindre mesure, de l'islam. Il reprend un concept plus ancien de royauté divine que l'on trouve dans le Proche-Orient ancien.
L'unification de la justice royale au Moyen Âge
Plus tard, Charlemagne tente de réaliser l'unité et la centralisation du territoire par la création d'une administration centrale dotée de contrôleurs itinérants, les missi dominici, chargés notamment de surveiller les pouvoirs locaux dans l'exercice de la justice.
La justice comme valeur a une réalité. C'est par la raison que l'on peut l'atteindre. C'est la thèse de l'intellectualisme moral. Elle énonce l'idée que par la raison, c'est-à-dire la faculté logique de notre esprit, nous pouvons atteindre la vision intellectuelle de l'idée du Bien et du Juste.
Pourquoi le besoin de justice? Si on a ce besoin, c'est parce qu'il y a rareté des biens disponibles, et des inégalités physiques, psychologiques, etc., entre les hommes. Nous en avons donc besoin comme critère pour répartir les biens rares et établir une symétrie.
La justesse de la justice se mesure à la manière dont celle-ci est rendue. Au-delà des principes, la justice est une affaire de personnes, d'individus, compris et entendus dans leur subjectivité. Juste, équitable, impartiale, compétente, sereine. Naturellement, la justice doit être tout cela.
Dans l'une et l'autre définition, il s'agit de l'ensemble de règles qui régissent les relations des hommes et des femmes vivant en communauté ; il est donc question d'un instrument qui permet de vivre en société et en harmonie.