Dans l'Ancien Testament, 40 livres ont été écrits en hébreu, avec quelques passages en araméen. Ces deux langues, de même que l'arabe, ne s'écrivent qu'avec les consonnes. C'est au lecteur d'ajouter les voyelles selon le sens qu'il comprend.
Ce que les chrétiens appellent Ancien Testament provient d'un ensemble de textes religieux rédigés, pour leur très grande majorité, à l'origine en hébreu, et qui nous est parvenu sous la forme de copies. Cette Bible hébraïque est traduite en grec à partir du milieu du III e siècle av.
C'est en hébreu qu'a été rédigé l'essentiel de la Bible – si l'on met à part le Nouveau Testament de la Bible chrétienne.
Ils sont rédigés sur parchemin ou papyrus, en majorité écrits en hébreu, mais aussi en araméen et en grec. Ils couvrent quatre siècles, de 300 avant J.C à 100 ans après.
De l'hébreu, on passa à l'araméen, puis au grec. Ce sont les trois langues que l'on trouve dans la Bible.
Quelle est la version Segond 21 ? C'est la version française la plus répandue, chez les catholiques et les protestants (évangéliques) . Cette version reste le plus fidèle possible à l'original en se basant sur les textes originaux hébreux, araméens et grecs en utilisant la langue française du XXIème siècle( donc 21).
L'araméen remplace l'hébreu. L'araméen devient la langue vernaculaire du peuple d'Israël, lors de la destruction de son indépendance et de la déportation ou de l'exode d'une importante partie de sa population. Selon le lieu et les idées politico-religieuses, il remplace totalement l'hébreu ou s'hybride avec lui.
L'araméen est surtout connu comme la langue de Jésus. Cette langue sémitique, originaire de la région du cours moyen de l'Euphrate, avait essaimé jusqu'en Syrie et en Mésopotamie entre 800 et 600 avant Jésus- Christ.
Le Nouveau Testament a été écrit en grec car c'était la langue principale du monde méditerranéen. La version Chouraqui tente de restituer des étymologies et des jeux de mots, au risque de compliquer la bonne compréhension du texte.
Nous montrons par exemple une page de la Torah où l'hébreu est entouré d'un côté du targum, sa traduction en araméen, langue véhiculaire, de communication, et de l'autre d'un commentaire du texte. L'hébreu est premier, mais la Torah s'ouvre d'emblée sur une pluralité de langues et d'interprétations.
En son sens premier, la Torah désigne le Pentateuque, dont la tradition juive attribue la rédaction à Moïse, inspiré par Dieu. Le Talmud l'appellera plus tard Torah chébiketav, la « Torah-qui-est-par-écrit ». Elle comprend des commandements (la tradition en compte 613) et de multiples récits.
La Tradition attribue les cinq premiers livres à Moïse, le livre des Psaumes à David ou tel autre encore au prophète Isaïe ou à Jérémie. On sait aujourd'hui que la composition de la Bible a été longue et complexe, faite d'emprunts à des traditions orales, à des chroniques royales ou encore à des écoles de pensée.
En gros, la Torah serait née de la fusion - en plusieurs étapes - de deux grandes sources bien distinctes: l'écriture «yahviste» en cours au royaume de David, au Xe siècle avant Jésus-Christ, et l'écriture sacerdotale «élohiste», remontant au VIIIe siècle avant l'ère chrétienne.
L'Ancien Testament a été écrit presque entièrement en hébreu, mais aussi en araméen et en grec, sans doute entre le 7e et le 2e siècle avant J. -C. La Bible juive est composée de trois textes : la Torah, qui signifie la Loi, Neviim, ou les Prophètes, et enfin Ketouvim, les Écrits.
Translittération de l'hébreu יהוה est le nom divin et c'est le tétragramme de Dieu dans la Bible hébraïque en lettre se traduit ainsi YHWH composé des quatre lettres yōḏ (י), hē (ה), wāw (ו), hē (ה) qui se traduit avec les voyelles suivants YAHWEH – YAHUAH – YAH.
La Bible hébraïque : « Le mot Torah est formé à partir d'une racine hébraïque yarah qui signifie "enseigner". Torah désigne d'abord les cinq premiers livres de la Bible ou Pentateuque, mais aussi le rouleau de parchemin sur lequel est copié le texte de la Torah, et par extension, tous les écrits sacrés du judaïsme.
La Bible*, ou du moins celle que les chrétiens appellent « Ancien Testament », est un ensemble de livres composés, peu à peu, dans le milieu de la communauté d'Israël* au cours du Ier millénaire avant notre ère.
8 Ainsi l'Eternel les dispersa de là par toute la terre, et ils cessèrent de bâtir la ville. 9 C'est pourquoi son nom fut appelé Babel ; car l'Eternel y confondit le langage de toute la terre, et de là il les dispersa sur toute la terre.
Parce que le Christ voulait être compris des foules, notamment celles qui venaient écouter ses enseignements, ce dernier s'exprimait en araméen, parlé par un nombre important de peuples du Moyen-Orient. Toutefois, l'hébreu ayant subsisté dans la liturgie, il parlait également cette langue.
Ainsi, la forme Yeshoua (ישוע) est souvent employée dans les traductions du Nouveau Testament en hébreu. Le nom Yeshoua est aussi utilisé dans des textes historiques d'hébreu israélites pour parler d'autres Joshua mentionnés dans des textes en grec comme Jésus ben Ananias ou Jésus ben Sira.
Jésus parlait donc l'araméen dans la vie de tous les jours, et parce qu'il voulait être compris des foules qui venaient l'écouter, ses enseignements étaient donnés en araméen. Le texte des évangiles en porte d'ailleurs la trace.
Dans les Évangiles, des expressions araméennes de Jésus sont transcrites : « Talita qoum » (Mc 5,41), « Ephphata » (Mc 7,33), ainsi que le « Rabbouni » dont Marie de Magdala l'honorait (Jn 20,16).
Cette adoption de l'arabe est influencée par l'usage littéraire du syriaque ou de l'araméen palestinien, ainsi que par l'usage vernaculaire de parlers araméens.
L'araméen est encore la langue liturgique de certaines Églises orientales, sous la forme du syriaque, langue dans laquelle a été diffusé le christianisme oriental. L'araméen moderne est parlé aujourd'hui comme première langue par de nombreuses petites communautés éparses, principalement en Syrie.
La plus célèbre citation de La Bible est : Ce que Dieu a uni, que l'homme ne le sépare pas ! .