Il en existe beaucoup d'autres : attendu, avant, avec, concernant, contre, dans, de, depuis, derrière, dès, devant, durant, entre, envers, excepté, hormis, hors, malgré, moyennant, outre, par, parmi, passé, pendant, plein, pour, près, proche, selon, sous, suivant, supposé, sur, touchant, vu, etc.
Les formes de la préposition
Lorsqu'elle est simple, elle est formée d'un seul mot. à, de, pour, par, en, dans, sans, avec, parmi, sous, chez, sur… Lorsqu'elle est complexe (ou composée), elle est formée de deux ou plusieurs mots. à cause de, afin de, avant de, au-dessus de, de manière à, jusqu'à, quant à…
Les principales prépositions sont : à, de, pour, par, dans, chez, sur, sous, en, dès, depuis, devant, avec, entre, comme, etc. Quand une préposition est formée de plusieurs mots, c'est une locution prépositive. Exemple : près de, à côté de, jusqu'à, afin de, loin de, quant à, etc.
Il existe trois sortes de propositions subordonnées : – les propositions subordonnées complétives ; – les propositions subordonnées circonstancielles ; – les propositions subordonnées relatives.
- Une proposition est composée d'un verbe, en général conjugué, qui peut être accompagné d'un sujet et de compléments. Ex. [Il ne viendra pas] : [il prépare son exposé]. : propositions indépendantes juxtaposées. ou ● coordonnées (=reliées par une conjonction de coordination ou un adverbe de liaison).
Proposition principale : Une autre proposition dépend d'elle. Ex : Je mange parce que j'ai faim. Propositionsubordonnée : Elle dépend d'une autre proposition. Ex : Je mange parce que j'ai faim.
La proposition principale se trouve généralement avant la subordonnée : Je vous recontacterai (principale) dès que la décision sera prise (subordonnée). Mais elle peut se placer après la subordonnée : Dès que la décision sera prise (subordonnée), je vous recontacterai (principale).
Une proposition subordonnée est une proposition qui dépend d'une proposition principale. Elle se rattache à la proposition principale pour apporter une précision en lien avec celle-ci.
Remarque : Dans la proposition subordonnée relative, le pronom « que » remplace un nom (= c'est un antécédent). Remarque : Dans la proposition subordonnée complétive, « que » n'est pas un pronom : il ne remplace rien, il se trouve juste après le verbe : C'est une conjonction de subordination.
La proposition principale est la proposition dont dépend une (ou plusieurs) autre proposition qui ne peut pas exister sans elle.
Pour mémoriser les principales prépositions, on peut utiliser le moyen mnémotechnique suivant : Adam part pour Anvers avec cent sous, entre derrière chez Decontre. [À] [dans] [par] [pour] [en] [vers] [avec] [sans] [sous] [entre] [derrière] [chez] [de] [contre]. Ce sont les principales prépositions.
Une préposition est un petit mot invariable qui introduit un complément en lui donnant un sens : Exemple : Je suis à la maison. Exemple : Je suis devant la maison. Exemple : Je suis chez Pierre.
Tout(e) est un déterminant quantitatif singulier.
En français, DE peut être une préposition ou un article. La plupart du temps, DE est une préposition. On l'utilise notamment pour indiquer l'appartenance ou la provenance.
« Mais où est donc Ornicar ? », ou « Mais où est donc Carnior ? » en Belgique, en France, au Maroc, au Liban et au Québec, est une phrase mnémotechnique permettant de retenir les conjonctions de coordination en français (à savoir : mais, ou, et, donc, or, ni, car).
Les prépositions sont des mots qui relient deux parties connexes dans une phrase. Les prépositions françaises se placent généralement devant les noms ou les pronoms pour indiquer une relation entre ce nom/pronom et un verbe, adjectif ou nom qui le précède.
Une proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif simple : qui, que, quoi, dont, où, ou composé : lequel, auquel, duquel… Le chat [que l'on m'a donné] est un bon chasseur de souris. Elle complète un nom ou un pronom appelé antécédent et dont elle est une expansion.
1 LA SUBORDONNÉE CIRCONSTANCIELLE DE CAUSE
Subordonnants : comme, du moment que, d'autant plus que, parce que, puisque, sous pré- texte que, etc. Comme il est malade, il ne s'est pas présenté à l'examen. L'élève est absent parce qu'il aurait la grippe.
Il ne faut pas confondre la proposition subordonnée complétive introduite par la conjonction que et la proposition subordonnée relative introduite par le pronom relatif que. La proposition complétive conjonctive se rapporte à un verbe tandis que la proposition relative complète un nom.
La proposition relative est une subordonnée introduite par un pronom relatif (qui, que, quoi, dont, où, lequel, quiconque). a) C'est le bureau dans lequel il a toujours travaillé. b) Vous compléterez le dossier que vous avez reçu.
La phrase contient une ou plusieurs propositions. On distingue trois sortes de propositions: La proposition indépendante comme son nom l'indique, ne dépend de rien, et rien ne dépend d'elle; elle se suffit à elle-même.
On dit que deux propositions indépendantes sont coordonnées quand elles sont reliées par un mot de liaison : Mais, ou, et, donc, or, ni, car sont des conjonctions de coordination.
Pour découper le texte en propositions, il faut s'aider du sens de la phrase. Une proposition est composée d'un verbe conjugué et de tous les mots qui y sont rattachés. Dans la phrase "Je suis déçu, j'ai perdu mes billes alors que la récréation n'était pas terminée", il y a trois propositions : "Je suis déçu,"
Définition de la phrase nominale
La phrase nominale (qui n'est pas seulement constituée d'un nom, mais peut aussi être formée d'un adjectif, d'un adverbe...) est en réalité une phrase sans verbe. Privée de l'ancrage situationnel donné par le verbe, la phrase nominale est particulièrement sensible au contexte.